Accueil

Accueil

Il y a 3 produits.

Affichage 1-3 de 3 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Gudule
  • Auteurs: Jacques Redanges
  • Auteurs: Marguerite Soleillant

Horrible baby-sitting (Gudule)

2,74 €
« Ça te tente, un petit billet de cinquante euros, Léa ? » Et comment ! Un baby-sitting, une occasion en or pour Léa de compléter la cagnotte prévue pour l'achat de la play-station de ses rêves… Une grande et belle maison, un bébé tout mignon… oui mais un orage survient, une panne d'électricité, et tout va tourner au cauchemar… À partir de 8 ans.

Corinne l'aventureuse (Marguerite Soleillant)

12,00 €
Extrait : Chapitre I : LA MAISON DES BRODEUSES Sous le feuillage d'un grand frêne, à l'écart du village, il y avait la maison des brodeuses. Elle était petite cette maison et basse sous son toit de tuiles brunes où des plaques de mousse posaient leur éclat d'or. A côté de la porte une large fenêtre brillait de tous ses carreaux, derrière un pot de géranium en fleurs. Dans le pignon, sur le rebord de l'autre fenêtre plus étroite, était posée une cage de chardonnerets. Les chardonnerets pépiaient dans leur prison ; le vent chantait aux branches du frêne. Le soleil marquait 5 heures au-dessus de la montagne. La porte s'ouvrit. Menue dans sa robe de bure bien froncée à la taille, un pli d'inquiétude au front, une vieille femme s'avança sur la marche du seuil. Elle abrita  ses yeux avec sa main pour fouiller du regard le chemin montant entre les murettes de pierre où couraient des lézards. « Je ne la vois pas revenir, dit-elle, rentrant dans la maison. — Il n'est pas encore tard, grand-mère, » répondit une fillette, assise devant un métier à broder, près de la fenêtre. « Il n'est pas tard, mais elle sait bien que nous avons du travail et qu'il faudrait t'aider, et que mes pauvres yeux ne voient plus pour enfiler des aiguilles. Ah! si je ne t'avais pas pour me consoler, Eléonore !… »

N° 1265 - Pardonneras-tu jamais ? (Jacques Redanges)

2,92 €
Extrait : Dans un coin de son compartiment de troisième classe où, par bonheur, elle se trouvait seule, Madeleine Rullier écrasa une larme au bord de ses cils. Puis elle pensa qu'elle était seule et qu'elle n'avait besoin de se cacher de personne. Quand une autre larme coula le long de sa joue pâle, elle ne fit rien pour l'en empêcher, cette fois. Une scène était restée gravée dans son esprit et elle la revoyait sans cesse : un groupe de personnes vêtues de noir réunies autour d'une tombe, dans un cimetière de campagne, par une froide journée d'automne. Il lui semblait encore entendre à ses oreilles le bruit de la terre s'écrasant sur la tombe. A côté d'elle, Claudette, sa soeur, sanglotait. Sans doute, elle avait de la peine d'avoir perdu sa mère, mais elle, au moins, avait un mari, un brave garçon qui l'aimait. Elle avait aussi des enfants. Quand elle perdait sa mère, elle ne perdait pas tout, comme Madeleine…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire