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  • Auteurs: Gwladys Constant
  • Auteurs: Paul Claude
  • Auteurs: Pauline de Beauffort

L'oncle Mika (Gwladys Constant)

3,96 €
Jérémie est triste et inquiet. Son oncle Mika n'est pas venu déjeuner en famille le dimanche. Il n'est pas non plus venu l'attendre à la sortie de l'école mercredi. Il s'interroge mais les grandes personnes ne semblent pas vouloir répondre à ses questions. Oncle Mika a-t-il disparu ? A-t-il été Kidnappé ? Est-il fâché contre Jérémie ? Que cherche-t-on ainsi à lui cacher ?

Les soeurs del Gatofou (Pauline de Beauffort)

5,09 €
Dans le village de Tambouille, c'est l'agitation. Le jour du concours de cuisine est arrivé. Les soeurs del Gatofou tentent leur chance. Mais il leur faudra compter avec le Baron di Gorgonzola…

N° 1180 - Cette femme et lui (Paul Claude)

3,74 €
Extrait : Une fois de plus, Paulette Dorsannes et sa fillette, Baby-Rose, achèvent seules leur souper ; la mère consulte le carillon et l'enfant qui comprend traduit : — Il est méchant, papa. La jeune femme secoue la tête, elle n'en peut plus, non ! depuis un an que cela dure… Cela avait commencé un soir d'octobre à la même date qu'aujourd'hui qui se trouvait être la neuvième année de son mariage avec Georges. Ce jour-là, Baby avait pris ses huit ans, sa mère l'avait comblée de cadeaux, mais elle avait été seule à l'embrasser, son père avait oublié la double fête des anniversaires. Et ce soir… neuf ans. Neuf ans écoulés, non sans nuages, mais avec de longues éclaircies qui autrefois faisaient oublier les jours gris de l'hiver. Baby-Rose serrait sur son coeur sa nouvelle poupée, cadeau de petite mère, mais elle lui racontait des choses tristes comme celle-ci : — Tu n'auras jamais de peine, toi ! Tu n'auras pas un méchant papa…

N° 1250 - Le retour du bonheur (Paul Claude)

3,74 €
Extrait : Cette fin d'après-midi de dimanche, dans la campagne beauceronne, était infiniment paisible. Aux ardeurs du soleil d'août succédait une heure délicieuse, de celles qui semblent suspendre la marche rapide du temps pour accorder une halte de silence et d'oubli à tout le créé. Assis à califourchon, Martin Dupuis, contemplait la nature. Le regard plongé par-delà la grande cour de ferme où picore la volaille, où les canards s'ébrouent au bord de la mare, il considère l'étendue des champs de betteraves dont les larges feuilles dessinent sur le sol leurs arabesques et, plus loin, à perte de vue, la vaste plaine blonde, immobile sous le ciel. Un ciel d'azur sans nuages, calme et serein comme la terre. Le fermier subit ces instants de magique beauté sans les comprendre peut-être de la même façon que celui dont le front a ignoré les sueurs du travail acharné, parfois ingrat, que réclame le sol ; mais il jouit dans son âme silencieuse, attachée à la chaîne qu'il a toujours connue, toujours aimée, qui est depuis longtemps devenue sa liberté…
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