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  • Auteurs: Claude Ullin
  • Auteurs: Hélène Marval
Défense d'embarquer (Claude Ullin) - Les sentiers de l'aube N° 15 - Librairie PLON
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Défense d'embarquer (Claude Ullin) - Les sentiers de l'aube N° 15

9,90 €
Deux jeunes filles voyageant seules à bord d'un paquebot attirent forcément l'attention. D'autant plus que les « petites Fournier » sont bien jolies… Le jeune homme brun qui part pour les pays du pétrole, s'intéresse à Camille. La vieille dame anglaise, dont la robe noire est déparée par une affreuse araignée de laiton jaune, voudrait prendre Catherine sous sa protection… Dès le premier soir, sur une Méditerranée de tout repos, les deux soeurs sentent venir à elle l'Aventure : quelques mots d'avertissement câblés d'Alexandrie. Mais quel danger les menace ? Elles n'en savent rien... A qui confier leur inquiétude ? Chacun des passagers ne peut être que suspect à leurs yeux. Le jeune homme brun, la vieille dame sont sans nul doute les plus redoutables. Quel dommage ! Il faudra l'incident de Naples pour qu'elles découvent leurs vrais amis et concluent avec eux un pacte de défense. Pour Camille le pacte durera toute la vie. L'amour y inscrira sa signature. Défense d'embarquer ? Pas tout à fait... Mais que de périls au long de ce voyage à bord de  L'Antakié  !

Coup de mistral (Claude Ullin) - Les sentiers de l'aube N° 45

5,45 €
« Son nom me bouleversa : Pier Giorgio Sermieri. Peut-on s'appeler ainsi sans avoir l'âme noble et le coeur tourmenté d'orgueil ? » Ainsi rêve Brigitte. Mais la réalité n'a jamais les couleurs du rêve. Le contrebandier Serpieri, évadé des prisons de Gênes, est peut-être un meurtrier. Dans les solitudes provençales où s'étiole le village des Olivettes, abandonné aux rudesses des saisons, l'aventure survient. Elle a les traits d'un garçon aux boucles brunes, aux yeux en détresse. Un perturbateur, un exilé, un proscrit, sans doute. Mais au delà des apparences il y a la vérité et elle est bien différente. Chacun la découvre selon son coeur. Le Berger qui sait tout, le Maître à qui l'on obéit, la Demoiselle au joli sourire, Yvon le taciturne, amoureux d'une étoile, orgueilleux et susceptible, blessant et meurtri lui-même ; Brigitte enfin, Brigitte sensible et fine, vive comme une alouette, dont l'amour est aussi grand que le monde, aussi frais et généreux qu'une pluie de printemps.

N° 1703 - La femme enchaînée (Hélène Marval)

2,92 €
Extrait  : Le soleil, passant par les hauts vitraux, jouait en taches multicolores sur les boiseries sombres de la salle à manger. En face de Chantal, l'immense tapisserie Renaissance figurant « la chasse de Thierry, premier comte de Bergues », en paraissait plus terne, plus triste encore que d'ordinaire, avec les verts fanés des frondaisons et la face sinistre et barbue du piqueur au premier plan. Depuis qu'elle était comtesse de Bergues, à chaque repas, Chantal avait devant elle ce visage qui finissait par hanter ses rêves comme un être de cauchemar. Mais si elle détournait ses yeux de la tapisserie, elle était obligée de voir Raymond, et c'était pis. Cent fois pis !… Ou encore, derrière Raymond de Bergues, un peu en retrait, le masque noir de Daoula, hautain, méprisant, odieux, les bras croisés sur sa poitrine énorme, dans sa livrée rouge. Daoula, le serviteur nègre que Raymond avait ramené du Sénégal et qui lui était dévoué comme un chien. Chantal soupira, sans s'en rendre compte, et repoussa légèrement son assiette…

N° 1703 - La femme enchaînée (Hélène Marval)

3,05 €
Extrait : Le soleil, passant par les hauts vitraux, jouait en taches multicolores sur les boiseries sombres de la salle à manger. En face de Chantal, l'immense tapisserie Renaissance figurant « la chasse de Thierry, premier comte de Bergues », en paraissait plus terne, plus triste encore que d'ordinaire, avec les verts fanés des frondaisons et la face sinistre et barbue du piqueur au premier plan. Depuis qu'elle était comtesse de Bergues, à chaque repas, Chantal avait devant elle ce visage qui finissait par hanter ses rêves comme un être de cauchemar. Mais si elle détournait ses yeux de la tapisserie, elle était obligée de voir Raymond, et c'était pis. Cent fois pis !… Ou encore, derrière Raymond de Bergues, un peu en retrait, le masque noir de Daoula, hautain, méprisant, odieux, les bras croisés sur sa poitrine énorme, dans sa livrée rouge. Daoula, le serviteur nègre que Raymond avait ramené du Sénégal et qui lui était dévoué comme un chien. Chantal soupira, sans s'en rendre compte, et repoussa légèrement son assiette…
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