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  • Auteurs: Claude Virmonne
  • Auteurs: Hélène Marval

N° 531 - Le Secret du lys rouge (Claude Virmonne)

5,94 €
Dans sa somptueuse villa de Florence, la comtesse della Torre est minée par un double chagrin : la mort de son mari à laquelle s'ajoute le remords d'avoir chassé du foyer de son père Francesca, sa belle-fille. Elle a vainement essayé de l'oublier… Bien des années ont passé lorsqu'une jeune parente de la comtesse, Irène, lui suggère un jour de chercher Francesca qui n'a jamais donné signe de vie, ou, à défaut, ses descendants. Une annonce est insérée dans la presse. Elle conduit à la villa un jeune homme, Fausto, qui se dit le fils de Francesca. Il a beaucoup de charme ! Vite conquise, la comtesse favorise une idylle entre Fausto et Irène La jeune fille est cependant troublée par Emmanuel, le secrétaire aux allures de prince. Quand Emmanuel — poussé par la jalousie, peut-être — accuse Fausto d'imposture, c'est le drame…

N° 438 - Au risque d'aimer (Claude Virmonne)

4,54 €
« Surtout, ne te risque pas à aimer. L'amour est source de souffrance et de douleur… » Ainsi la mère de Monique l'avertissait-elle avant de mourir. Que valent les recommandations d'une mère pour celle qui n'est plus une enfant mais une femme à la recherche du bonheur ? Ce bonheur, à plus de vingt ans Monique l'attend toujours, irrésistiblement attirée par le château de Montclare qui semble pourtant avoir été la scène où sa mère a vécu, au temps de sa jeunesse, un véritable drame. A Monique elle n'a dévoilé qu'une partie de son passé, justifiant sa mise en garde. Monique, néanmoins, se rend à Montclare et devient la dame de compagnie de la vieille châtelaine, Mme del Florido qui l'accueille avec sympathie, alors que son entourage reste hostile à la nouvelle venue. Mêlée bientôt malgré elle aux angoisses qui accablent la famille del Florido, en essayant de les alléger Monique va connaître le déchirement d'un amour qui choisit de se sacrifier. « Surtout, ne te risque pas à aimer… » disait sa mère. Avec raison ?

Le chemin de mensonges (Claude Virmonne)

3,98 €
Extrait : Si des fleurs blanches et de la verdure en quantité décoraient l'église ancienne, la cérémonie avait été très simple, en présence des seuls témoins. Tout, pour Jasmine, s'était déroulé comme dans un rêve ; elle en émergea seulement quand, après le prélude concernant les devoirs réciproques des époux, le prêtre fut devant elle pour lui poser la question rituelle…

N° 1703 - La femme enchaînée (Hélène Marval)

2,92 €
Extrait  : Le soleil, passant par les hauts vitraux, jouait en taches multicolores sur les boiseries sombres de la salle à manger. En face de Chantal, l'immense tapisserie Renaissance figurant « la chasse de Thierry, premier comte de Bergues », en paraissait plus terne, plus triste encore que d'ordinaire, avec les verts fanés des frondaisons et la face sinistre et barbue du piqueur au premier plan. Depuis qu'elle était comtesse de Bergues, à chaque repas, Chantal avait devant elle ce visage qui finissait par hanter ses rêves comme un être de cauchemar. Mais si elle détournait ses yeux de la tapisserie, elle était obligée de voir Raymond, et c'était pis. Cent fois pis !… Ou encore, derrière Raymond de Bergues, un peu en retrait, le masque noir de Daoula, hautain, méprisant, odieux, les bras croisés sur sa poitrine énorme, dans sa livrée rouge. Daoula, le serviteur nègre que Raymond avait ramené du Sénégal et qui lui était dévoué comme un chien. Chantal soupira, sans s'en rendre compte, et repoussa légèrement son assiette…

N° 1703 - La femme enchaînée (Hélène Marval)

3,05 €
Extrait : Le soleil, passant par les hauts vitraux, jouait en taches multicolores sur les boiseries sombres de la salle à manger. En face de Chantal, l'immense tapisserie Renaissance figurant « la chasse de Thierry, premier comte de Bergues », en paraissait plus terne, plus triste encore que d'ordinaire, avec les verts fanés des frondaisons et la face sinistre et barbue du piqueur au premier plan. Depuis qu'elle était comtesse de Bergues, à chaque repas, Chantal avait devant elle ce visage qui finissait par hanter ses rêves comme un être de cauchemar. Mais si elle détournait ses yeux de la tapisserie, elle était obligée de voir Raymond, et c'était pis. Cent fois pis !… Ou encore, derrière Raymond de Bergues, un peu en retrait, le masque noir de Daoula, hautain, méprisant, odieux, les bras croisés sur sa poitrine énorme, dans sa livrée rouge. Daoula, le serviteur nègre que Raymond avait ramené du Sénégal et qui lui était dévoué comme un chien. Chantal soupira, sans s'en rendre compte, et repoussa légèrement son assiette…
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