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  • Auteurs: Hélène Marval
  • Auteurs: Maurice Métral

N° 3159 - Le visage perdu d'après le roman de Maurice Métral

3,75 €
Extrait : Nadia allait-elle faire une bêtise ? Pourquoi répondre à ce rendez-vous insolite, entre la campagne et la forêt, dans un chalet isolé, où seul un jardinier venait entretenir le parc et aérer les pièces aménagées sur deux étages ? Une maison étrange, mi-bois, mi-pierre, surmontée d'un clocheton. On savait certes à qui la demeure appartenait : une famille anglaise, les Cummings…

N° 3121 - L'aube rouge d'après le roman de Maurice Métral

3,75 €
Elle voulait un enfant de lui, au risque de sacrifier sa propre vie… Elle désirait une victoire à la mesure du sentiment qui la dévorait… B.S. vous propose un roman de Maurice Métral, L'AUBE ROUGE, un récit qui vous bouleversera, avec, comme une confrontation dans la lumière valaisanne, la fatalité et l'amour.

N° 2963 - Le refuge de la tendresse (Maurice Métral) - Les jeudis de Julie (Georges-Jean Arnaud)

4,50 €
Encarts BS Lecture 2963 à détacher Le refuge de la tendresse  d'après le roman de Maurice Métral Deux guides valaisans, Jean-Philippe et Helga, alternent la solitude amère et les retrouvailles heureuses. Une vie sans histoire jusqu'au moment où Jean-Philippe est victime d'un grave accident de montagne. Pendant qu'on le transporte par hélicoptère dans un hôpital, Helga donne la vie à son premier enfant. Eprouvée par la douleur physique, la jeune maman l'est davantage par la souffrance morale : Jean-Philippe pourra-t-il exercer de nouveau son métier, vaincra la montagne ? Entre-temps, comme il faut bien vivre. Helga prend la place de son mari… Jean-Philippe, comme un enfant, doit tout recommencer, refaire un pas, un autre pas, deux pas. L'amour d'une femme, la tendresse et le dévouement de sa mère, suffiront-ils pour « ressusciter un homme » ? Les jeudis de Julie  d'après le roman de Georges-Jean Arnaud Extrait : Marie Lacaze travaillait à Sigean depuis la mort de son mari et ne pouvait s'occuper de sa petite fille Julie comme elle l'aurait souhaité. L'enfant devait rentrer seule dans leur vieille maison isolée au bord de l'étang, préparer son goûter, faire ses devoirs avec l'entière confiance de sa mère. La première fois où Marie prit conscience que sa fille avait un camarade fut un jeudi soir…

N° 1703 - La femme enchaînée (Hélène Marval)

2,92 €
Extrait  : Le soleil, passant par les hauts vitraux, jouait en taches multicolores sur les boiseries sombres de la salle à manger. En face de Chantal, l'immense tapisserie Renaissance figurant « la chasse de Thierry, premier comte de Bergues », en paraissait plus terne, plus triste encore que d'ordinaire, avec les verts fanés des frondaisons et la face sinistre et barbue du piqueur au premier plan. Depuis qu'elle était comtesse de Bergues, à chaque repas, Chantal avait devant elle ce visage qui finissait par hanter ses rêves comme un être de cauchemar. Mais si elle détournait ses yeux de la tapisserie, elle était obligée de voir Raymond, et c'était pis. Cent fois pis !… Ou encore, derrière Raymond de Bergues, un peu en retrait, le masque noir de Daoula, hautain, méprisant, odieux, les bras croisés sur sa poitrine énorme, dans sa livrée rouge. Daoula, le serviteur nègre que Raymond avait ramené du Sénégal et qui lui était dévoué comme un chien. Chantal soupira, sans s'en rendre compte, et repoussa légèrement son assiette…

N° 1703 - La femme enchaînée (Hélène Marval)

3,05 €
Extrait : Le soleil, passant par les hauts vitraux, jouait en taches multicolores sur les boiseries sombres de la salle à manger. En face de Chantal, l'immense tapisserie Renaissance figurant « la chasse de Thierry, premier comte de Bergues », en paraissait plus terne, plus triste encore que d'ordinaire, avec les verts fanés des frondaisons et la face sinistre et barbue du piqueur au premier plan. Depuis qu'elle était comtesse de Bergues, à chaque repas, Chantal avait devant elle ce visage qui finissait par hanter ses rêves comme un être de cauchemar. Mais si elle détournait ses yeux de la tapisserie, elle était obligée de voir Raymond, et c'était pis. Cent fois pis !… Ou encore, derrière Raymond de Bergues, un peu en retrait, le masque noir de Daoula, hautain, méprisant, odieux, les bras croisés sur sa poitrine énorme, dans sa livrée rouge. Daoula, le serviteur nègre que Raymond avait ramené du Sénégal et qui lui était dévoué comme un chien. Chantal soupira, sans s'en rendre compte, et repoussa légèrement son assiette…
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