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  • Auteurs: Ariette Prêle
  • Auteurs: H.-Pierre Linel

N° 231 - L'invention du docteur Bombilius (H.-Pierre Linel)

4,50 €
12 Gravures Extrait : « Encore du pain tout noir ! — Et pas de beurre ! — Pas même un petit morceau de jambon, pas la moindre saucisse ! — Et plus de chocolat, plus un morceau de sucre ! » Et, continuant à se lamenter, Hans et Angelica Bombilius pleurnichaient tout en tapant rageusement sur leur assiette vide. En face d'eux leur père, de Dr Bombilius, restait songeur, regardant devant lui, la bouche pincée et le front ridé, plongé dans les plus profondes réflexions. Pourtant, comme Hans et Angelica accentuaient leurs plaintes et leur tapage à la vue d'un plat tout vert, composé d'herbes bouillies, le Dr Bombilius semble s'éveiller de son rêve et crie d'une petite voix de fausset : « En voilà assez ! A table on ne doit pas ouvrir la bouche pour hurler, mais bien pour manger… — Pour manger quoi ? interrompt Angelica d'un air rageur…

N° 632 - La surprise de l'oncle Marc (H.-Pierre Linel)

4,96 €
Extrait : « L'oncle Marc ne va pas tarder à arriver, dit Madeleine. — Avec la « surprise », déclare Alfred. Et il ajoute aussitôt en regardant ses parents : « Vous n'avez pas une idée de ce que peut être la surprise dont parlait l'oncle Marc dans sa dernière lettre ? — Si nous le savions, répond la maman, ce ne serait plus une surprise. — Ce doit être quelque bibelot bizarre et encombrant, comme mon frère en rapporte à chacun de ses lointains voyages », explique le papa. M. et Mme Levasseur habitaient une jolie maison près de Paris, à Chou, avec leurs deux enfants, Alfred et Madeleine, et une vieille bonne, Mélanie, qui servait dans la famille depuis plus de vingt ans…

N° 1892 - Amour ne dure (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait  : — Eloignez donc cette lampe de la fenêtre, Patricia. Les papillons sont insupportables ce soir, je n'en ai jamais autant vus ! Patricia mit quelques secondes à s'arracher à la fascination qu'exerçait sur elle le tournoiement affolé des insectes qu'attirait la lumière... Il y en avait de beiges piquetés de brun, des gris pâles qu'une main mystérieuse et habile s'était plu, semblait-il, à orner de délicates arabesques plus foncées, de funèbres dont les lunules noires, ovales, avaient l'apparence d'yeux veloutés taillés en amande… D'autres étaient casqués de fourrure fauve comme des lions minuscules, d'autres encore, d'une coquetterie discrète, laissaient entrevoir des éclairs de flamme sous un uniforme de cendre. — Vous avez entendu ce que je vous ai dit, Patricia, ou vous dormez ? La jeune femme se leva silencieusement, emporta dans ses bras le foyer lumineux qui était une potiche de Chine « sang de boeuf » enjuponnée de taffetas paille…

N° 1892 - Amour ne dure (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait : — Eloignez donc cette lampe de la fenêtre, Patricia. Les papillons sont insupportables ce soir, je n'en ai jamais autant vus ! Patricia mit quelques secondes à s'arracher à la fascination qu'exerçait sur elle le tournoiement affolé des insectes qu'attirait la lumière... Il y en avait de beiges piquetés de brun, des gris pâles qu'une main mystérieuse et habile s'était plu, semblait-il, à orner de délicates arabesques plus foncées, de funèbres dont les lunules noires, ovales, avaient l'apparence d'yeux veloutés taillés en amande… D'autres étaient casqués de fourrure fauve comme des lions minuscules, d'autres encore, d'une coquetterie discrète, laissaient entrevoir des éclairs de flamme sous un uniforme de cendre. — Vous avez entendu ce que je vous ai dit, Patricia, ou vous dormez ? La jeune femme se leva silencieusement, emporta dans ses bras le foyer lumineux qui était une potiche de Chine « sang de boeuf » enjuponnée de taffetas paille…

N° 1884 - A la lumière de cet été (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait : A l'heure de la sieste, la maisonnée tout entière plongeait dans le silence. Chacun était libre de dormir où il voulait : dans l'ombre de la sapinette sur les aiguilles de pins qui revêtaient la mousse d'une natte sèche et luisante, dans le fenil obscur plein de l'entêtante odeur des herbes rêches, dans l'ancienne magnanerie si l'on ne craignait pas les mouches ou dans la « chambre verte » que Sheila préférait à tout le reste. Mais elle arrivait rarement à s'annexer ce lieu de délices situé dans une aile inhabitée de la demeure, baignée de lumière glauque et de fraîcheur particulièrement favorables au sommeil : Delia et sa mère l'occupaient à tour de rôle, sauf cet après-midi là, puisque depuis le matin elles étaient parties faire des courses en ville. Sadi — le mari de Délia — Chris, le frère de Sheila et de Délia, Chad Maddelin enfin, le chef de la famille, allaient choir sur des couches improvisées aux alentours de la maison : sapinette, fenil, voire même bûcher ou buanderie quand il faisait très chaud comme aujourd'hui…
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