Accueil

Accueil

Il y a 3 produits.

Affichage 1-3 de 3 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Halden
  • Auteurs: Jacques Sanluys
  • Auteurs: Scott O'Dell
Dofus, Vous êtes maître du récit T2 : Le fil pourpre - Bayard Jeunesse
  • Promo !

Dofus, Vous êtes maître du récit T2 : Le fil pourpre (Halden)

6,25 €
Il était une fois… un jeune aventurier qui rêvait de trouver les six Dofus, les six oeufs de dragon convoités par tous. Vous êtes cet aventurier. Bien des années auparavant, le Dofus Pourpre a disparu. On dit qu’il serait entre les mains  d’une créature si dangereuse que les dieux eux-mêmes auraient exigé qu’elle soit enfermée pour l’éternité dans un dédale de salles et de couloirs balayés par des vents hostiles. De nombreux héros ont pénétré dans l’antique sanctuaire pour tenter de vaincre le monstre. Nul n’a plus entendu parler d’eux. Aujourd’hui, c’est à vous de tenter votre chance. Avec l’aide d’Oskar le fantôme, parviendrez-vous à triompher des épreuves qui vous attendent dans le Labyrinthe du Minotoror ?

Complainte de la lune basse (Scott O'Dell) - Castor Poche N° 216

2,74 €
Le printemps 1864 promettait l'abondance dans le Cañon de Chelly. Mais l'arrivée des soldats blancs, les Longs Couteaux, bouleverse ce bel univers. Sous les yeux des Indiens Navahos, réfugiés sur le plateau, les Longs Couteaux saccagent leur village, brûlent les cultures et anéantissent le troupeau. A demi morts de faim, Matin Ensoleillé et les siens doivent se rendre aux soldats. Poussés comme du bétail, ils sont conduits avec plusieurs milliers de leurs semblables à Fort Sumner, au Nouveau-Mexique, là où les Blancs ont décidé de les parquer. La tribu entière entre en captivité. Mais Matin Ensoleillé garde l'espoir d'une vie meilleure…

N° 1917 - Le dernier mot du coeur (Jacques Sanluys)

3,95 €
Extrait : A regret je franchis le portillon. C'était stupide d'avoir choisi le métro comme moyen de transport ! Il y avait une vingtaine d'arrêts, deux changements, pour aller jusqu'à « La Fourche ». Un bien long voyage ! Je m'étais privée sans raison du beau soleil d'octobre... Le bruit de la rame qui arrivait coupa court à mes réflexions. Trop tard pour changer d'avis !... Je me dirigeai vers le milieu du quai, là où allait venir se placer le wagon des « premières ». Des cris d'effroi, soudain me glacèrent… Le train stoppa net, durement. Des gens s'élancèrent vers la voiture de tête. Le conducteur sortit d'un bond de sa cabine. Il sauta sur la voie, suivi par le chef de train… Déjà, des voyageurs formaient un cercle. Je ne voulu pas me mêler à la foule. C'était un suicide, sans aucun doute. L'affreux spectacle ne m'attirait pas ! Le chef de station, qui s'était précipité pour aider ses camarades de travail à secourir la victime revenait au pas de charge vers la cabine vitrée qui lui sert de bureau…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire