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  • Auteurs: Alex Redry
  • Auteurs: Halden
  • Auteurs: Juliette Goublet
Dofus, Vous êtes maître du récit T2 : Le fil pourpre - Bayard Jeunesse
  • Promo !

Dofus, Vous êtes maître du récit T2 : Le fil pourpre (Halden)

6,25 €
Il était une fois… un jeune aventurier qui rêvait de trouver les six Dofus, les six oeufs de dragon convoités par tous. Vous êtes cet aventurier. Bien des années auparavant, le Dofus Pourpre a disparu. On dit qu’il serait entre les mains  d’une créature si dangereuse que les dieux eux-mêmes auraient exigé qu’elle soit enfermée pour l’éternité dans un dédale de salles et de couloirs balayés par des vents hostiles. De nombreux héros ont pénétré dans l’antique sanctuaire pour tenter de vaincre le monstre. Nul n’a plus entendu parler d’eux. Aujourd’hui, c’est à vous de tenter votre chance. Avec l’aide d’Oskar le fantôme, parviendrez-vous à triompher des épreuves qui vous attendent dans le Labyrinthe du Minotoror ?

N° 576 - La Sicile en auto (Juliette Goublet)

4,90 €
Extrait : I - LA BELLE AFFICHE C'était dans les premiers jours de l'automne. Marie-Claude et Gilbert étaient tombés en arrêt devant l'un des bureaux du tourisme qui avoisinent la place de l'Opéra. C'est en vain que leur père essayait de les entraîner vers le boulevard des Italiens. Ils ne se lassaient pas d'admirer une affiche multicolore où l'on voyait, au bord d'une mer très bleue, un rivage planté d'orangers fleuris. Ne pouvant en distraire ses enfants, M. Dupont prit le parti de s'intéresser lui aussi à l'affiche. « Tu vois, papa, dit Marie-Claude, c'est un paysage de Sicile. Ne trouves-tu pas que ce pays paraît charmant ? » Cependant, M. Dupont lisait lui aussi les réclames inscrites à droite et à gauche : Visitez la Sicile, l'île du Soleil . « Au fait, dit-il, pourquoi n'irions-nous pas passer quelques jours là-bas ? Qu'en diriez-vous, mes enfants ? Par avion, nous serons vite rendus… »

N° 1546 - Son plus beau rôle (Alex Redry)

3,74 €
Extrait : Marianne ne pouvait détacher son regard du revolver dont le canon pointait vers sa poitrine à travers la poche de l'homme assis en face d'elle. Ce geste n'était pas une vaine menace : il suffisait de voir la tête du bandit pour se convaincre qu'il était capable de tout. Le mieux était qu'elle demeurât « sage » - comme il le lui recommandait - en subissant passivement son sort. D'ailleurs, qu'aurait-elle pu faire pour y échapper ? Même si elle essayait de se révolter, qui entendrait son appel au secours ? L'auto roulait à une vitesse folle sur la route de « quarante sous », doublant les plus rapides ; et ses glaces étaient levées, comme celles des voitures qu'elle dépassait, car le droit était vif. Malgré tout son courage, Marianne ne voyait ses ravisseurs qu'à travers un voile de larmes. Elle était entièrement, définitivement à leur merci. Rien ne pouvait plus la sauver…
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