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Il y a 7 produits.

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  • Auteurs: Halden
  • Auteurs: Marie-Agnès Gaudrat
  • Auteurs: Max Dervioux

TOTO Bonne rentrée ! (Serge Bloch, Marie-Agnès Gaudrat)

4,28 €
J’ai retrouvé tous mes copains : Jojo, Mouloud, Mimi et Flagada. J’ai eu du mal à reconnaître Jojo. Il avait sa mèche collée sur le front, un sweat propre et je peux pas le jurer, mais je crois même qu’il s’était lavé les dents ! C’est bizarre comme idée de se déguiser pour la rentrée !
Dofus, Vous êtes maître du récit T2 : Le fil pourpre - Bayard Jeunesse
  • Promo !

Dofus, Vous êtes maître du récit T2 : Le fil pourpre (Halden)

6,25 €
Il était une fois… un jeune aventurier qui rêvait de trouver les six Dofus, les six oeufs de dragon convoités par tous. Vous êtes cet aventurier. Bien des années auparavant, le Dofus Pourpre a disparu. On dit qu’il serait entre les mains  d’une créature si dangereuse que les dieux eux-mêmes auraient exigé qu’elle soit enfermée pour l’éternité dans un dédale de salles et de couloirs balayés par des vents hostiles. De nombreux héros ont pénétré dans l’antique sanctuaire pour tenter de vaincre le monstre. Nul n’a plus entendu parler d’eux. Aujourd’hui, c’est à vous de tenter votre chance. Avec l’aide d’Oskar le fantôme, parviendrez-vous à triompher des épreuves qui vous attendent dans le Labyrinthe du Minotoror ?

Une surprise pour maman cochon (Marie-Agnès Gaudrat) - Les Belles Histoires N° 131

2,56 €
Depuis trois jours, dans la maison de la famille Cochon, il y a comme un air de mystère… C'est bientôt la fête des mères ! Charles a caché son cadeau, mais il n'arrête pas de le déballer pour voir comme il est beau. Marie s'entraîne à chanter une jolie chanson, et Bébé a très envie de tout raconter à maman ! Que d'excitation et de secrets ! Et quelle belle surprise pour maman Cochon ! De 3 à 7 ans.

N° 1663 - Le maître des coeurs (Max Dervioux)

3,74 €
Extrait : Renaud Sorel regarda la maison de granit située à l'entrée de cette petite ville du Morbihan où il était venu chercher oubli et solitude. — On dit qu'elle est hantée, remarqua-t-il en souriant. La vieille dame chargée de la location hocha la tête gravement : — Cela dépend des gens qui l'habitent. Ceux qui ont peur, dame… C'est pour ça que le prix en est si bas, m'sieu le Parisien. —Oh ! je ne redoute pas les fantômes, cela m'amuserait même de me rencontrer avec l'un d'eux, fit-il avec quelque ironie. — Monsieur est peut-être venu ici pour faire des expériences ? — Qui sait… Il s'adonnait, en amateur, aux sciences diverses, lorsque l'art, dans lequel il s'était illustré, lui laissait des loisirs. Paysagiste déjà célèbre par ses toiles hardies, Sorel avait révolutionné les lois de la peinture, en la ramenant vers plus de logique tout en laissant aux jeux de la lumière une prépondérance pleine d'intensité…

N° 1630 - L'aveu d'une honte (Max Dervioux)

3,74 €
Extrait : — On peut vous embaucher pour aider à la décoration de la salle, il y aura un grand gala, demain soir au casino et il nous faut des girandoles d'ampoules électriques… Puisque vous vous y connaissez… Pierre Guerlin murmura : — J'accepte… Il avait faim… Après avoir tenté vainement de trouver divers emplois, à Paris, il avait pris le train pour Deauville en plein mois d'août, espérant bien dénicher du travail enfin. Les excellentes études qu'il avait faites ne lui avaient servi à rien mais il possédait à son actif quelque adresse manuelle. C'était son plus sûr bagage. Tous les siens étaient morts, il n'avait pas de bien, que ses deux mains et son cerveau, inutilement meublé des connaissances courantes réclamées dans les examens. C'était un grand garçon au maigre visage, aux yeux d'acier bleu, racé en dépit de ses brusques façons, dues à l'amertume que lui inspiraient ses nombreuses déconvenues dans ses recherches pour une situation. A Deauville il allait pouvoir vivre pendant quelques semaines, puis il repartirait chercher de l'ouvrage ailleurs…

N° 1147 - L'amour aux enchères (Marx Dervioux)

3,05 €
Extrait : Lia Bermin relut plusieurs fois d'un air atterré, la lettre qu'elle tenait entre ses mains... Francis, son petit Francis, c'était impossible... Il n'avait pas fait ça. Elle sentait le sol se dérober sous elle, dans la modeste chambre de cette pension de famille située sur les hauteurs de Dinard. Cette catastrophe était pire que tout, et pourtant, le destin ne l'avait guère ménagée jusqu'alors… Orpheline de père et de mère à dix-huit ans et complètement ruinée, mal préparée pour la lutte, elle avait dû prendre le premier emploi venu, celui de manucure dans un institut de beauté parisien, qui l'avait envoyée sur cette plage pour la saison d'été dans une succursale proche des grands hôtels. Son frère Francis, un peu plus jeune qu'elle, en sortant de l'Ecole du Commerce, avait trouvé un poste de comptable dans une fabrique de Limoges. Brun, autant qu'elle était blonde, séduisant, fougueux, révolté souvent contre le sort rude il avait connu, dans la ville qu'il habitait, une jeune femme mariée dont il avait fait sa maîtresse, et, pour satisfaire les caprices de celle-ci, ne s'était-il pas peu à peu endetté, puis affolé il avait volé une somme de cent mille francs dans la caisse qui lui était confiée : Voilà ce qu'il avouait à sa soeur…

N° 1566 - Tu seras comtesse (Max Dervioux)

3,74 €
Extrait : Mireille regarda avec admiration autour d'elle. Le vieux château, situé en plein Rouergue, d'une si fière allure, entouré de bois, faisait une fameuse opposition avec l'humble logis qu'elle avait habité jusqu'alors, en compagnie de son père, ancien domestique retraité des comtes de Girac. Elle avait passé son enfance en Dordogne, chez sa grand-mère, qui l'avait élevée quand elle était orpheline et pendant que Gustave Méchain était encore en service au manoir de ses maîtres. Mireille avait vécu comme une paysanne, puis elle était entré dans une modeste pension, où elle avait acquis une solide instruction. L'aïeul était morte au moment où la jeune fille atteignait ses dix-huit ans, et son père, qui avait vu ses forces décliner après plusieurs bronchites successives, était revenu vivre auprès d'elle, au pays. A soixante ans, après avoir servi fidèlement le vieux comte de Girac, il avait reçu de lui une pension de trente mille francs. Celle-ci eût été insuffisante s'il n'y avait ajouté le revenu de son petit bien…
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