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  • Auteurs: Heather McCann
  • Auteurs: Jacques Sanluys
  • Auteurs: Jean Vignaud

N° 35 - La petite fille qui voulait devenir détective (Heather McCann)

2,46 €
Comme toutes les petites filles, Caitlin Ashley Emerson joue à la poupée Barbie et rêve d'aller un jour à Disneyworld. Mais sa vraie passion, ce qu'elle adore par-dessus tout, c'est le métier de détective. C'est ce qu'elle fera quand elle sera grande. Ou alors, écrivain. Ce sera son travail de connaître des tas de trucs sur les gens. D'ailleurs, c'est déjà le cas : si les « grands » savaient quel secret elle a découvert ! Seulement voilà : comme on ne la croirait pas si elle le disait, elle mène l'enquête sans que personne ne s'en aperçoive - ni sa tante Margaret, chargée de la garder pendant 15 jours dans cette maudite maison du Vermont louée à une certaine Mme Knox, ni sa mère, Sandy, partie soi-disant se reposer en Californie, alors qu'elle n'est même pas malade, ni son beau-père, Robert, qui la déteste, et qui joue au papa parfait devant les autres. Mais ça fait longtemps qu'elle a compris ses manigances ! Les preuves ? Elle les note dans un petit carnet - ça lui servira plus tard, pour écrire son roman policier -, et elle en a plein : à commencer par la disparition suspecte de Mme Knox. Robert raconte qu'elle est en voyage en Europe, mais Caitlin, elle, sait que Mme Knox n'est pas Mme Knox, parce que Mme Knox est morte…

La maison du maltais (Jean Vignaud) - Collection Gründ illustrée N° 16

4,50 €
Extrait : Chapitre VII Le matin jeta dans la rue un autre Matteo, un Matteo impatient, qui, dans sa hâte de se mettre au travail, bouscula sans le reconnaître le fumigateur dont l'encens parfumé de benjoin distribue, pour la semaine, du bonheur dans chaque maison. Franchie la Porte de la mer, il enleva ses sandales pour courir plus vite vers le quai aux phosphates. Il avait suffi d'une nuit d'amour pour opérer ce miracle. Jamais Matteo n'avait connu semblables délices ; certains mots l'exaltaient encore comme si Safia eût été présente. Lui, pauvre portefaix, avait été salué par cette beauté des îles comme un prophète « Ia Robbi, Ia Allah, ô mon maître, ô mon Dieu ! » Safia entre ses bras avait soupiré ces paroles, le corps palpitant comme celui d'un pigeon qu'on étouffe. Et c'est pour réentendre ces mots, ces soupirs, qu'il lui fallait de l'argent. Il voulait, tout comme les notables qui cachaient des fortunes derrière leurs haies de tabias, dans la banlieue sfaxienne, pouvoir parer sa maîtresse, l'étourdir de cadeaux. Fini, désormais, le temps où Matteo musait d'une barque à l'autre, criblant de ses quolibets Maltais et Siciliens ; finies, les flâneries chez Gordina, les siestes sur le sable chaud du chenal. Tout cela était le passé, un cadavre que Safia avait piétiné de ses petits talons marqués de henné…

N° 1917 - Le dernier mot du coeur (Jacques Sanluys)

3,95 €
Extrait : A regret je franchis le portillon. C'était stupide d'avoir choisi le métro comme moyen de transport ! Il y avait une vingtaine d'arrêts, deux changements, pour aller jusqu'à « La Fourche ». Un bien long voyage ! Je m'étais privée sans raison du beau soleil d'octobre... Le bruit de la rame qui arrivait coupa court à mes réflexions. Trop tard pour changer d'avis !... Je me dirigeai vers le milieu du quai, là où allait venir se placer le wagon des « premières ». Des cris d'effroi, soudain me glacèrent… Le train stoppa net, durement. Des gens s'élancèrent vers la voiture de tête. Le conducteur sortit d'un bond de sa cabine. Il sauta sur la voie, suivi par le chef de train… Déjà, des voyageurs formaient un cercle. Je ne voulu pas me mêler à la foule. C'était un suicide, sans aucun doute. L'affreux spectacle ne m'attirait pas ! Le chef de station, qui s'était précipité pour aider ses camarades de travail à secourir la victime revenait au pas de charge vers la cabine vitrée qui lui sert de bureau…
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