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Il y a 6 produits.

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  • Auteurs: Heather McCann
  • Auteurs: Marie Desplechin
  • Auteurs: Max Dervioux

N° 35 - La petite fille qui voulait devenir détective (Heather McCann)

2,46 €
Comme toutes les petites filles, Caitlin Ashley Emerson joue à la poupée Barbie et rêve d'aller un jour à Disneyworld. Mais sa vraie passion, ce qu'elle adore par-dessus tout, c'est le métier de détective. C'est ce qu'elle fera quand elle sera grande. Ou alors, écrivain. Ce sera son travail de connaître des tas de trucs sur les gens. D'ailleurs, c'est déjà le cas : si les « grands » savaient quel secret elle a découvert ! Seulement voilà : comme on ne la croirait pas si elle le disait, elle mène l'enquête sans que personne ne s'en aperçoive - ni sa tante Margaret, chargée de la garder pendant 15 jours dans cette maudite maison du Vermont louée à une certaine Mme Knox, ni sa mère, Sandy, partie soi-disant se reposer en Californie, alors qu'elle n'est même pas malade, ni son beau-père, Robert, qui la déteste, et qui joue au papa parfait devant les autres. Mais ça fait longtemps qu'elle a compris ses manigances ! Les preuves ? Elle les note dans un petit carnet - ça lui servira plus tard, pour écrire son roman policier -, et elle en a plein : à commencer par la disparition suspecte de Mme Knox. Robert raconte qu'elle est en voyage en Europe, mais Caitlin, elle, sait que Mme Knox n'est pas Mme Knox, parce que Mme Knox est morte…

Le journal d'Aurore T2 : Toujours fâchée (Marie Desplechin)

2,95 €
« — Je n'ai jamais rien entendu de plus laid, de plus ennuyeux et de plus nuisible que ce que tu joues avec ton groupe. Il vient de tomber par terre. Il se roule dans le sable en se tenant le ventre. C'est le soldat Ryan. Peut-être qu'il va mourir sur la plage. Je vais lui flanquer un coup de pied pour abréger ses souffrances. Je suis malheureusement interrompue par l'arrivée de Samira et d'Hélène qui s'approchent de nous avec des airs légèrement envieux. — De quoi vous parlez ? demande Samira. Vous avez l'air de bien vous marrer. Il se relève, il essuie ses yeux et il montre du doigt. — C'est elle, gémit-il. Elle n'arrête pas de m'agresser, elle est trop marrante. Bon. Je me suis fait un nouvel ami masochiste. Il me regarde avec des yeux émerveillés. Il m'adore, c'est clair.»

N° 1663 - Le maître des coeurs (Max Dervioux)

3,74 €
Extrait : Renaud Sorel regarda la maison de granit située à l'entrée de cette petite ville du Morbihan où il était venu chercher oubli et solitude. — On dit qu'elle est hantée, remarqua-t-il en souriant. La vieille dame chargée de la location hocha la tête gravement : — Cela dépend des gens qui l'habitent. Ceux qui ont peur, dame… C'est pour ça que le prix en est si bas, m'sieu le Parisien. —Oh ! je ne redoute pas les fantômes, cela m'amuserait même de me rencontrer avec l'un d'eux, fit-il avec quelque ironie. — Monsieur est peut-être venu ici pour faire des expériences ? — Qui sait… Il s'adonnait, en amateur, aux sciences diverses, lorsque l'art, dans lequel il s'était illustré, lui laissait des loisirs. Paysagiste déjà célèbre par ses toiles hardies, Sorel avait révolutionné les lois de la peinture, en la ramenant vers plus de logique tout en laissant aux jeux de la lumière une prépondérance pleine d'intensité…

N° 1630 - L'aveu d'une honte (Max Dervioux)

3,74 €
Extrait : — On peut vous embaucher pour aider à la décoration de la salle, il y aura un grand gala, demain soir au casino et il nous faut des girandoles d'ampoules électriques… Puisque vous vous y connaissez… Pierre Guerlin murmura : — J'accepte… Il avait faim… Après avoir tenté vainement de trouver divers emplois, à Paris, il avait pris le train pour Deauville en plein mois d'août, espérant bien dénicher du travail enfin. Les excellentes études qu'il avait faites ne lui avaient servi à rien mais il possédait à son actif quelque adresse manuelle. C'était son plus sûr bagage. Tous les siens étaient morts, il n'avait pas de bien, que ses deux mains et son cerveau, inutilement meublé des connaissances courantes réclamées dans les examens. C'était un grand garçon au maigre visage, aux yeux d'acier bleu, racé en dépit de ses brusques façons, dues à l'amertume que lui inspiraient ses nombreuses déconvenues dans ses recherches pour une situation. A Deauville il allait pouvoir vivre pendant quelques semaines, puis il repartirait chercher de l'ouvrage ailleurs…

N° 1147 - L'amour aux enchères (Marx Dervioux)

3,05 €
Extrait : Lia Bermin relut plusieurs fois d'un air atterré, la lettre qu'elle tenait entre ses mains... Francis, son petit Francis, c'était impossible... Il n'avait pas fait ça. Elle sentait le sol se dérober sous elle, dans la modeste chambre de cette pension de famille située sur les hauteurs de Dinard. Cette catastrophe était pire que tout, et pourtant, le destin ne l'avait guère ménagée jusqu'alors… Orpheline de père et de mère à dix-huit ans et complètement ruinée, mal préparée pour la lutte, elle avait dû prendre le premier emploi venu, celui de manucure dans un institut de beauté parisien, qui l'avait envoyée sur cette plage pour la saison d'été dans une succursale proche des grands hôtels. Son frère Francis, un peu plus jeune qu'elle, en sortant de l'Ecole du Commerce, avait trouvé un poste de comptable dans une fabrique de Limoges. Brun, autant qu'elle était blonde, séduisant, fougueux, révolté souvent contre le sort rude il avait connu, dans la ville qu'il habitait, une jeune femme mariée dont il avait fait sa maîtresse, et, pour satisfaire les caprices de celle-ci, ne s'était-il pas peu à peu endetté, puis affolé il avait volé une somme de cent mille francs dans la caisse qui lui était confiée : Voilà ce qu'il avouait à sa soeur…

N° 1566 - Tu seras comtesse (Max Dervioux)

3,74 €
Extrait : Mireille regarda avec admiration autour d'elle. Le vieux château, situé en plein Rouergue, d'une si fière allure, entouré de bois, faisait une fameuse opposition avec l'humble logis qu'elle avait habité jusqu'alors, en compagnie de son père, ancien domestique retraité des comtes de Girac. Elle avait passé son enfance en Dordogne, chez sa grand-mère, qui l'avait élevée quand elle était orpheline et pendant que Gustave Méchain était encore en service au manoir de ses maîtres. Mireille avait vécu comme une paysanne, puis elle était entré dans une modeste pension, où elle avait acquis une solide instruction. L'aïeul était morte au moment où la jeune fille atteignait ses dix-huit ans, et son père, qui avait vu ses forces décliner après plusieurs bronchites successives, était revenu vivre auprès d'elle, au pays. A soixante ans, après avoir servi fidèlement le vieux comte de Girac, il avait reçu de lui une pension de trente mille francs. Celle-ci eût été insuffisante s'il n'y avait ajouté le revenu de son petit bien…
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