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Il y a 7 produits.

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  • Auteurs: Heather McCann
  • Auteurs: Philippe Berthet
  • Auteurs: Zaü

N° 35 - La petite fille qui voulait devenir détective (Heather McCann)

2,46 €
Comme toutes les petites filles, Caitlin Ashley Emerson joue à la poupée Barbie et rêve d'aller un jour à Disneyworld. Mais sa vraie passion, ce qu'elle adore par-dessus tout, c'est le métier de détective. C'est ce qu'elle fera quand elle sera grande. Ou alors, écrivain. Ce sera son travail de connaître des tas de trucs sur les gens. D'ailleurs, c'est déjà le cas : si les « grands » savaient quel secret elle a découvert ! Seulement voilà : comme on ne la croirait pas si elle le disait, elle mène l'enquête sans que personne ne s'en aperçoive - ni sa tante Margaret, chargée de la garder pendant 15 jours dans cette maudite maison du Vermont louée à une certaine Mme Knox, ni sa mère, Sandy, partie soi-disant se reposer en Californie, alors qu'elle n'est même pas malade, ni son beau-père, Robert, qui la déteste, et qui joue au papa parfait devant les autres. Mais ça fait longtemps qu'elle a compris ses manigances ! Les preuves ? Elle les note dans un petit carnet - ça lui servira plus tard, pour écrire son roman policier -, et elle en a plein : à commencer par la disparition suspecte de Mme Knox. Robert raconte qu'elle est en voyage en Europe, mais Caitlin, elle, sait que Mme Knox n'est pas Mme Knox, parce que Mme Knox est morte…

La petite fille qui ne souriait plus (Gilles Tibo, Zaü)

5,57 €
Lisa a un secret. Un terrible secret qu'elle ne peut raconter à personne. Seul un homme le connait. Un homme qui lui fait peur et qui lui donne des cadeaux pour qu'elle se taise. Alors, la petite fille s'enfonce dans le silence. Elle ne parle plus. Elle ne joue plus. Elle ne sourit plus. Elle vit nuit et jour avec ce mal cramponné à son ventre. Jusqu'au jour où l'un de ses dessins révèle ce qui la hante et l'amène enfin à trouver les mots. Les mots qui soulagent et qui libèrent. Son récit bouleversant rendra l'espoir à plus d'un enfant qui souffre en silence. De 6 à 8 ans.

Pin-up T1. (Philippe Berthet, Yann)

25,00 €
Les GI’s punaisaient (en anglais “To pin-up”) les dessins ou photos de leurs starlettes au mur de leurs casernes. Une traduction littérale de “Pin-Up” en français serait donc : “Punaise enfoncée”, ce qui n’a rien à voir et nous éloigne du sujet… Pin-Up donc, continuerons-nous de les appeler, ces créatures de rêves qui permettaient aux soldats d’échapper par instants à leur triste condition…

Pin-up T2. (Philippe Berthet, Yann)

19,90 €
Les GI’s punaisaient (en anglais “To pin-up”) les dessins ou photos de leurs starlettes au mur de leurs casernes. Une traduction littérale de “Pin-Up” en français serait donc : “Punaise enfoncée”, ce qui n’a rien à voir et nous éloigne du sujet… Pin-Up donc, continuerons-nous de les appeler, ces créatures de rêves qui permettaient aux soldats d’échapper par instants à leur triste condition…

Pin-up T3. (Philippe Berthet, Yann)

19,90 €
Les GI’s punaisaient (en anglais “To pin-up”) les dessins ou photos de leurs starlettes au mur de leurs casernes. Une traduction littérale de “Pin-Up” en français serait donc : “Punaise enfoncée”, ce qui n’a rien à voir et nous éloigne du sujet… Pin-Up donc, continuerons-nous de les appeler, ces créatures de rêves qui permettaient aux soldats d’échapper par instants à leur triste condition…

Pin-up T4. (Philippe Berthet, Yann)

19,90 €
Les GI’s punaisaient (en anglais “To pin-up”) les dessins ou photos de leurs starlettes au mur de leurs casernes. Une traduction littérale de “Pin-Up” en français serait donc : “Punaise enfoncée”, ce qui n’a rien à voir et nous éloigne du sujet… Pin-Up donc, continuerons-nous de les appeler, ces créatures de rêves qui permettaient aux soldats d’échapper par instants à leur triste condition…

Pin-up T5. (Philippe Berthet, Yann)

19,90 €
Les GI’s punaisaient (en anglais “To pin-up”) les dessins ou photos de leurs starlettes au mur de leurs casernes. Une traduction littérale de “Pin-Up” en français serait donc : “Punaise enfoncée”, ce qui n’a rien à voir et nous éloigne du sujet… Pin-Up donc, continuerons-nous de les appeler, ces créatures de rêves qui permettaient aux soldats d’échapper par instants à leur triste condition…
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