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  • Auteurs: Emil Anton
  • Auteurs: Henri Mansvic
  • Auteurs: Henri Spade

N° 2914 - La grimpe d'après le roman d'Henri Spade

3,75 €
Extrait : Serge, le fils de Raymond Pascal et de Victorine, contemplait la Barre des Tuilerets. Ebloui par le soleil, il clignait les yeux pour mieux voir scintiller le glacier, suivre le dessin de ses ombres vertes. A droite, une grande fissure noire escaladait la montagne jusqu'à la naissance des neiges. Un nuage, petit, tourmenté de forme, gris, immobile, semblait surveiller la face nord. …

N° 190 - Au bord de l'étang vert (Emil Anton)

9,90 €
Sylvie des Ecoutes a seize ans. Elle habite avec son père, officier de marine en retraite, et une vieille domestique sourde, un ancien château-fort qui se dresse, en pleine forêt morvandelle, sur un rocher de granit, au-dessus d'une rivière. Il n'est pas entretenu et menace ruines mais on raconte qu'un triple trésor est caché dans ses souterrains. Est-ce pour la beauté de Sylvie ou pour les richesses enfouies dans sa demeure que Serge Bronsac, riche affairiste, s'est lié avec le frère du baron, a fait envoyer à ce dernier un domestique bénévole aux agissements louches et demande la main de la jeune fille ? Comment celle-ci échappera-t-elle aux embûches tendues par des aventuriers sans scrupules ? Quel rôle jouera, dans sa vie, Lionel Dechaume, peintre célèbre qui s'est installé chez un notaire voisin et a entrepris son portrait ? Le trésor des Ecouttes existe-t-il ? Qui, finalement, le découvrira et après quelles péripéties ? En quoi consiste-t-il ?

N° 544 - Celle qui aime... (Henri Mansvic)

3,74 €
Extrait :  En pleine Sarthe, sur la pente d'une colline boisée au pied de laquelle une rivière ondule, se dresse le vieux château de Menonville. On y accède par un chemin moussu, tout bordé de haies vives, qui, par ce matin de mai ensoleillé, verdoient et parfument. A l'heure où nous y pénétrons avec notre lecteur, un homme, presque un vieillard, est assis dans un petit salon solitaire. Les coudes sur une table, l'oeil fixe, la tête dans ses deux mains, il songe. Et ce à quoi il songe doit être profondément triste, car de longs soupirs s'échappent par instants de sa poitrine oppressée. Les mauvaises nouvelles, qu'il pressentait il y a quelques jours, s'étaient en effet confirmées hier. Il n'y avait plus de doute possible, et le désastre était absolu de la banque qui détenait sa fortune…
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