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  • Auteurs: Henri Mansvic
  • Auteurs: Jackie Valabrègue-Landreaux
  • Auteurs: Melissa Senate

N° 3006 - Jordana d'après le roman de Jackie Valabrègue-Landreaux

3,75 €
En Louisiane, à la fin du siècle dernier, sur le domaine de Jordan, vaste plantation de canne à sucre et de coton sur laquelle Richard Malerive, planteur débonnaire et tyrannique, règne en maître, quatre adolescents grandissent, aiment et souffrent. Kurli, l'Indien, et Pedre Malerive ont eu tous deux leur enfance bouleversée par un génocide identique. Il leur faut maintenant grandir côte à côte unis par la haine et par une amitié complice. L'amour d'Alice, fille du Maître, pour Kurli, et de son frère Thomas pour Julia, une esclave noire, déchaînera les passions raciales. La guerre va briser cet univers et préparer les futures générations de l'Amérique.

N° 2 - Célibataire à New York (Melissa Senate)

2,95 €
Ma vie est un désastre. Voilà déjà trois ans que je travaille à la Posh, une maison d'édition new-yorkaise, où je n'ai pas la moindre perspective d'avenir. Ma vie sentimentale ? C'est un puits sans fond, une page pleine de ratures, sans compter que je vais bientôt passer le cap fatidique des 30 ans. 30 ans ! Et dire que quand J-le-tombeur — accessoirement mon chef direct — pointe son nez à moins de dix mètres de moi, je deviens carrément rose-framboise ! Et je ne vous parle pas de l'état de mes jambes quand il me frôle sans me voir dans le couloir. Toujours célibataire... Et je ne vous ai pas encore dit que la seule famille qui me reste a les yeux braqués sur ma cousine Dana, une peste invétérée qui, elle, vit un conte de fées. Elle épouse, par on ne sait quel miracle, l'homme le plus beau et le plus riche de la terre... Au plaza, s'il vous plaît. Un vrai désastre... Mais ça je vous l'ai déjà dit. Et encore, ce n'est que le début de l'histoire...

N° 544 - Celle qui aime... (Henri Mansvic)

3,74 €
Extrait :  En pleine Sarthe, sur la pente d'une colline boisée au pied de laquelle une rivière ondule, se dresse le vieux château de Menonville. On y accède par un chemin moussu, tout bordé de haies vives, qui, par ce matin de mai ensoleillé, verdoient et parfument. A l'heure où nous y pénétrons avec notre lecteur, un homme, presque un vieillard, est assis dans un petit salon solitaire. Les coudes sur une table, l'oeil fixe, la tête dans ses deux mains, il songe. Et ce à quoi il songe doit être profondément triste, car de longs soupirs s'échappent par instants de sa poitrine oppressée. Les mauvaises nouvelles, qu'il pressentait il y a quelques jours, s'étaient en effet confirmées hier. Il n'y avait plus de doute possible, et le désastre était absolu de la banque qui détenait sa fortune…
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