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  • Auteurs: Henri Mansvic
  • Auteurs: Jean Glachant
  • Auteurs: Marie-Louise Assada

N° 3023 - L'Aigle sur la Sierra d'après le roman de Marie-Louise Assada

3,75 €
Quel destin fait se rencontrer, dans le tumulte de la guerre d'Espagne, la jeune et belle Castillane Guadalupe de Valmesada et le vaillant commandant Jean Aubry, fidèle serviteur de Napoléon ? Par le plus grand des hasards, cette séduisante aristocrate — peut-être une espionne — est amenée à sauver la vie de l'officier français qu'elle vient à peine de connaître. Peu de temps après, c'est ce dernier qui la tire d'une situation qui aurait pu lui être fatale. Quoique ennemis farouches, leurs coeurs se mettent à battre au même rythme, tandis que la guerre, impitoyable, continue ses ravages. Mais Guadalupe n'est-elle pas mariée à don Inigo, chef d'une bande de guérilleros ? Avec un art consommé, Marie-Louise Assada, l'auteur de L'AIGLE SUR LA SIERRA, nous livre un récit palpitant de cette tranche d'histoire de l'Empire.

N° 544 - Celle qui aime... (Henri Mansvic)

3,74 €
Extrait :  En pleine Sarthe, sur la pente d'une colline boisée au pied de laquelle une rivière ondule, se dresse le vieux château de Menonville. On y accède par un chemin moussu, tout bordé de haies vives, qui, par ce matin de mai ensoleillé, verdoient et parfument. A l'heure où nous y pénétrons avec notre lecteur, un homme, presque un vieillard, est assis dans un petit salon solitaire. Les coudes sur une table, l'oeil fixe, la tête dans ses deux mains, il songe. Et ce à quoi il songe doit être profondément triste, car de longs soupirs s'échappent par instants de sa poitrine oppressée. Les mauvaises nouvelles, qu'il pressentait il y a quelques jours, s'étaient en effet confirmées hier. Il n'y avait plus de doute possible, et le désastre était absolu de la banque qui détenait sa fortune…

N° 925 - Nuit de folie... (Jean Glachant)

2,92 €
Extrait : A six heure du soir, la rue de la Paix était emplie, comme de coutume, du fourmillement joyeux des ouvrières sortant des grandes maisons de couture. Il y en avait de toutes sortes, et un oeil avisé eût discerné en elles leurs attributions respectives : les plus jeunes, de douze à quinze ans, aux manières gamines et bruyantes, rentraient sans hâte à la maison paternelle ; c'étaient « les arpètes » dont le nez retroussé, les lèvres moqueuses, semblaient rire de tout… narguer la vie. Les autres, élancées, élégantes, aux visages savamment fardés, aux robes d'un chic simple mais étudié, étaient la réclame vivante de la maison, les poupées qui revêtent par jour mille robes différentes pour le seul bon plaisir du « client » : les mannequins. A leurs côtés, et comme des parentes pauvres, venait la cohue des ouvrières d'atelier dont la plupart, vêtues simplement, semblaient pressées de retrouver le home familial où les attendaient, impatiemment sans doute, le mari, les enfants… et peut-être aussi un amoureux ?…
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