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  • Auteurs: Henri Mansvic
  • Auteurs: Jean Glachant
  • Auteurs: Odile Granville

N° 3198 - La nuit du Vaudou (Odile Granville) - Le cadre d'ébène (Oliver Banks)

4,50 €
Encarts Lecture BS 3198 à détacher Extraits  : La nuit du Vaudou d'après le roman de Odile Granville La voix de la femme de chambre se fit entendre à la cantonade : — Vous direz à Mathieu de venir prendre les bagages de la jeune Madame de Brétigny et de les mettre dans le coffre de la voiture. Ces instructions firent sourire Irène. Depuis quelques heures, c'était elle la jeune Madame de Brétigny. Depuis que, tout d'abord devant le maire, puis devant le vieux curé de campagne, elle avait accepté en ce clair matin d'hiver de prendre pour époux Michel de Brétigny. … Le cadre d'ébène d'après le roman policier de Oliver Banks Il faisait froid et gris en cet après-midi de novembre, lorsque Weinstock se trouva sur le palier de Mrs. Caroline Emerson, dans Louisburg Square. Bien que sa galerie fût située à peu de distance de là, il était rare qu'on lui demande de venir expertiser un tableau dans un de ces beaux immeubles de Beacon Hill. Il sonna, et la porte s'entrebâilla. …

N° 65 - Les orages du désir (Odile Granville)

2,56 €
Qui est le vrai Ludovic, celui auquel Marie-Ange a lié sa vie dans un élan de tout son être : un charmeur cynique ou un homme éperdument épris ? Le mystérieux attrait qui les a irrésistiblement entraînés l'un vers l'autre sera-t-il assez puissant pour les faire triompher des obstacles qui se dressent entre eux ?…

Les sortilèges de l'Amour (Odile Granville)

2,60 €
L'amour est un magicien qui use de tous les sortilèges pour ensorceler ses victimes… A-t-il pris les traits du beau François Monceau, dont le charme affole les femmes, pour perdre Annie ? Ce séducteur distant et hautain jusqu'à la dureté laisse parfois tomber le masque pour n'être plus qu'un homme ardent et tendrement épris…

N° 544 - Celle qui aime... (Henri Mansvic)

3,74 €
Extrait :  En pleine Sarthe, sur la pente d'une colline boisée au pied de laquelle une rivière ondule, se dresse le vieux château de Menonville. On y accède par un chemin moussu, tout bordé de haies vives, qui, par ce matin de mai ensoleillé, verdoient et parfument. A l'heure où nous y pénétrons avec notre lecteur, un homme, presque un vieillard, est assis dans un petit salon solitaire. Les coudes sur une table, l'oeil fixe, la tête dans ses deux mains, il songe. Et ce à quoi il songe doit être profondément triste, car de longs soupirs s'échappent par instants de sa poitrine oppressée. Les mauvaises nouvelles, qu'il pressentait il y a quelques jours, s'étaient en effet confirmées hier. Il n'y avait plus de doute possible, et le désastre était absolu de la banque qui détenait sa fortune…

N° 925 - Nuit de folie... (Jean Glachant)

2,92 €
Extrait : A six heure du soir, la rue de la Paix était emplie, comme de coutume, du fourmillement joyeux des ouvrières sortant des grandes maisons de couture. Il y en avait de toutes sortes, et un oeil avisé eût discerné en elles leurs attributions respectives : les plus jeunes, de douze à quinze ans, aux manières gamines et bruyantes, rentraient sans hâte à la maison paternelle ; c'étaient « les arpètes » dont le nez retroussé, les lèvres moqueuses, semblaient rire de tout… narguer la vie. Les autres, élancées, élégantes, aux visages savamment fardés, aux robes d'un chic simple mais étudié, étaient la réclame vivante de la maison, les poupées qui revêtent par jour mille robes différentes pour le seul bon plaisir du « client » : les mannequins. A leurs côtés, et comme des parentes pauvres, venait la cohue des ouvrières d'atelier dont la plupart, vêtues simplement, semblaient pressées de retrouver le home familial où les attendaient, impatiemment sans doute, le mari, les enfants… et peut-être aussi un amoureux ?…
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