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  • Auteurs: Henri Mansvic
  • Auteurs: Jean Glachant
  • Auteurs: Olivier Seigneur

Kongo l'éléphant (Olivier Seigneur) - Le livre de poche N° 6305

2,75 €
La chaleur est accablante. Bumba, ma grand-mère, veille sur les éléphants de sa harde. Un peu somnolents, nous mâchonnons depuis des heures les tendres pousses des végétaux qui croissent autour du marigot. Tout à coup, une terrible détonation et Kukawa, le plus beau des mâles, s'écroule. En marchant contre le vent, des braconniers ont donc réussi à tromper notre exceptionnel odorat. Il faut fuir à tout prix et vite... Le dossier sur mes origines, ma force, l'organisation de ma harde, les qualités exceptionnelles de ma trompe et la chasse à l'ivoire, vous en apprendra plus encore sur l'éléphant d'Afrique. Grâce aux pages de jeux, vous testerez enfin vos connaissances nouvelles, en vous amusant. Signé : Kongo l'éléphant PS  : Le moindre de mes propos a été approuvé par le Muséum National d'Histoire Naturelle. A partir de 8 ans

N° 544 - Celle qui aime... (Henri Mansvic)

3,74 €
Extrait :  En pleine Sarthe, sur la pente d'une colline boisée au pied de laquelle une rivière ondule, se dresse le vieux château de Menonville. On y accède par un chemin moussu, tout bordé de haies vives, qui, par ce matin de mai ensoleillé, verdoient et parfument. A l'heure où nous y pénétrons avec notre lecteur, un homme, presque un vieillard, est assis dans un petit salon solitaire. Les coudes sur une table, l'oeil fixe, la tête dans ses deux mains, il songe. Et ce à quoi il songe doit être profondément triste, car de longs soupirs s'échappent par instants de sa poitrine oppressée. Les mauvaises nouvelles, qu'il pressentait il y a quelques jours, s'étaient en effet confirmées hier. Il n'y avait plus de doute possible, et le désastre était absolu de la banque qui détenait sa fortune…

N° 925 - Nuit de folie... (Jean Glachant)

2,92 €
Extrait : A six heure du soir, la rue de la Paix était emplie, comme de coutume, du fourmillement joyeux des ouvrières sortant des grandes maisons de couture. Il y en avait de toutes sortes, et un oeil avisé eût discerné en elles leurs attributions respectives : les plus jeunes, de douze à quinze ans, aux manières gamines et bruyantes, rentraient sans hâte à la maison paternelle ; c'étaient « les arpètes » dont le nez retroussé, les lèvres moqueuses, semblaient rire de tout… narguer la vie. Les autres, élancées, élégantes, aux visages savamment fardés, aux robes d'un chic simple mais étudié, étaient la réclame vivante de la maison, les poupées qui revêtent par jour mille robes différentes pour le seul bon plaisir du « client » : les mannequins. A leurs côtés, et comme des parentes pauvres, venait la cohue des ouvrières d'atelier dont la plupart, vêtues simplement, semblaient pressées de retrouver le home familial où les attendaient, impatiemment sans doute, le mari, les enfants… et peut-être aussi un amoureux ?…
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