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  • Auteurs: Alice Sharpe
  • Auteurs: Henri Mansvic
  • Auteurs: Jean Tempest

N° 33 - Tendre chassé-croisé (Jean Tempest)

3,18 €
Le docteur Ellsworth a trois jolies filles : Daphné, Elyse et Virna, toutes trois infirmières dans le vieil hôpital qu'il dirige… et qui date de la reine Victoria ; aussi, certaines personnes font-elles campagne, en ville, pour obtenir la démolition des bâtiments jugés vétustes. Les filles du docteur ont chacune une idylle ; celle de Daphné a des résonances inattendues qui vont compliquer la situation : la jeune fille a, en effet, rompu ses fiançailles avec Clay Derrille pour épouser un riche Américain. Humilié, le père de Clay dirige la cabale contre Ellsworth et empêche ce dernier de toucher les fonds qu'il réclamait pour moderniser son hôpital… Mais les choses n'en resteront pas là car les filles du médecin n'ont pas dit leur dernier mot. Vous aimerez ce charmant roman aux péripéties originales et amusantes.

N° 1695 - Un bonheur tant attendu (Alice Sharpe)

2,56 €
En contemplant le beau visage de Ryder tourné vers la mer, Amelia fut submergée d'émotion. Certes, ils avaient rompu depuis près de quatre mois, mais elle le trouvait toujours aussi séduisant, et porter son enfant le lui rendait plus précieux encore… A la pensée du petit être qui verrait bientôt le jour, Amelia sentit son espoir renaître. Même si la trahison que lui avait infligée Ryder rendait impossible toute réconciliation, peut-être prendrait-il son rôle de père au sérieux, et accepterait-il de s'occuper de son enfant, de  leur  enfant ? A moins qu'il ne soit déjà trop tard…

N° 544 - Celle qui aime... (Henri Mansvic)

3,74 €
Extrait :  En pleine Sarthe, sur la pente d'une colline boisée au pied de laquelle une rivière ondule, se dresse le vieux château de Menonville. On y accède par un chemin moussu, tout bordé de haies vives, qui, par ce matin de mai ensoleillé, verdoient et parfument. A l'heure où nous y pénétrons avec notre lecteur, un homme, presque un vieillard, est assis dans un petit salon solitaire. Les coudes sur une table, l'oeil fixe, la tête dans ses deux mains, il songe. Et ce à quoi il songe doit être profondément triste, car de longs soupirs s'échappent par instants de sa poitrine oppressée. Les mauvaises nouvelles, qu'il pressentait il y a quelques jours, s'étaient en effet confirmées hier. Il n'y avait plus de doute possible, et le désastre était absolu de la banque qui détenait sa fortune…
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