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  • Auteurs: Claude Clément
  • Auteurs: Henri Mansvic
  • Auteurs: Jerry Spinelli
L'étrangleur (Jerry Spinelli) - Collection Medium - L'école des loisirs

L'étrangleur (Jerry Spinelli)

3,50 €
Tous les anniversaires ne sont pas des fêtes. Palmer Larue va mal. Pourtant ce sont les grandes vacances et la Fête de la Famille va bientôt commencer. Une semaine de réjouissances dont le moment fort est la Foire aux Pigeons. Ce jour-là, les meilleures gâchettes des environs se retrouvent pour exterminer un maximum de volatiles. Et les garçons de plus de dix ans sont chargés d'étrangler les oiseaux blessés. Si Palmer Larue va mal, c'est précisément parce qu'il vient d'avoir dix ans, et depuis son plus jeune âge, il tremble à l'idée de devenir à son tour « étrangleur ». Mais quand votre propre père a remporté le trophée du Meilleur Tireur et qu'on vient d'être admis dans la bande de « Cassoulet », le caïd de Waymer, difficile de jouer les hommelettes. Collection Médium : De 11 à 13 ans.
La fille qui venait d'ailleurs d'après le roman de Claude Clément - BS Lecture 3054

N° 3054 - La fille qui venait d'ailleurs d'après le roman de Claude Clément

3,75 €
Extrait : Catherine émergeait avec difficulté sur le pont du « Poséidon ». Un vent violent la bouscula. Elle dut s'arcbouter pour traverser le navire entre deux rafales et atteindre le bastingage, où elle s'accouda. Les côtes de Crète n'étaient pas encore en vue. Pourtant, quelques mouettes suivaient déjà le bateau, dont le flanc broyait un remous tumultueux. …
Celle qui aime... (Henri Mansvic) - Le Petit Livre Ferenczi N° 544

N° 544 - Celle qui aime... (Henri Mansvic)

3,74 €
Extrait :  En pleine Sarthe, sur la pente d'une colline boisée au pied de laquelle une rivière ondule, se dresse le vieux château de Menonville. On y accède par un chemin moussu, tout bordé de haies vives, qui, par ce matin de mai ensoleillé, verdoient et parfument. A l'heure où nous y pénétrons avec notre lecteur, un homme, presque un vieillard, est assis dans un petit salon solitaire. Les coudes sur une table, l'oeil fixe, la tête dans ses deux mains, il songe. Et ce à quoi il songe doit être profondément triste, car de longs soupirs s'échappent par instants de sa poitrine oppressée. Les mauvaises nouvelles, qu'il pressentait il y a quelques jours, s'étaient en effet confirmées hier. Il n'y avait plus de doute possible, et le désastre était absolu de la banque qui détenait sa fortune…
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