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  • Auteurs: Henri Mansvic
  • Auteurs: Jules Verne
  • Auteurs: Pierre Montanay
L'épave du Cynthia (Jules Verne, André Laurie) - Bibliothèque verte

L'épave du Cynthia (Jules Verne, André Laurie)

2,12 €
A la suite du naufrage d'un navire, le Cynthia, survenu sur les côtes de Scandinavie, un enfant a été recueilli par un pêcheur suédois. Quelle est la véritable identité du petit naufragé ? Personne ne s'en est soucié, jusqu'au jour où un médecin de Stockholm, séduit par l'intelligence du jeune garçon, s'efforce de trouver le mot de l'énigme…
Michel Strogoff (Jules Verne) - Bibliothèque Verte N° XIII - Hachette

N° XIII - Michel Strogoff (Jules Verne)

5,94 €
Une révolution menace de détacher de la Russie les provinces sibériennes. Entre Moscou et les pays soulevés, les communications sont coupées. Le frère du Tsar est en péril à Irkoutsk, à plus de 5.523 kilomètres. Comment le prévenir ? Pour passer, en dépit des difficultés sans nombre et presque insurmontables, il faudrait un courrier d'une intelligence et d'un courage quasi surhumains. Le capitaine sibérien Michel Strogoff est choisi et part, porteur d'une lettre du Tsar, en même temps qu'une jeune Livonienne, la belle Nadia, et deux reporters, l'Anglais Harry Blount et le Français Alcide Jolivet. Les incidents, tragiques souvent, se multiplient. Michel Strogoff parviendra-t-il au terme de son voyage ? Remplira-t-il sa mission ?…
Un drame en Livonie de Jules Verne - Bibliothèque Verte

Un drame en Livonie (Jules Verne)

2,74 €
A travers la nuit glaciale, surmontant la fatigue, la faim, le froid, un homme fuit vers la frontière qui sépare la Russie des Tsars des Pays baltes. Il fuit vers la liberté... Pris en chasse par une patrouille, l'infortuné tente de franchir une rivière au milieu des glaces craquantes. Plutôt la mort que la captivité ! La même nuit, un riche voyageur est dépouillé et tué dans une auberge isolée, proche de la frontière Livonienne. Un seul témoin pourrait faire la lumière sur ce meurtre, mais pour une raison incompréhensible, il refuse obstinément de parler. Dans cette région troublée par de multiples conspirations, la police va tenter de percer un secret jalousement gardé par les principaux acteurs du drame.
L'injustice d'un père (Pierre Montanay) - Le Petit Livre Ferenczi N° 1226

N° 1226 - L'injustice d'un père (Pierre Montanay)

3,05 €
Extrait : Sous le feuillage épais d'un tilleul centenaire, quatre personnages sont mollement étendus dans leurs chaises de toile, autour d'une petite table où figurent pêle-mêle le café et les liqueurs, les cendriers et la boîte de cigares. La chaleur intense de cette fin de juillet semble accabler ces deux couples de jeunes mariés qui somnolent à demi. L'heure sonne au clocher proche et fait tressauter Alain Givre. — Déjà une heure ! s'écrie-t-il, en se redressant… Ah ! je resterais volontiers ici… Qu'est-ce que je vais prendre pour aller jusqu'au tram ! Pas un brin d'ombre dans cette fournaise ! — Et pourquoi diable n'achetez-vous pas une auto ? demanda Philippe Belmont ; c'est tellement commode ! Alain sourit en haussant les épaules. — Pour vous, mon cher, qui voyagez par toute la France, je comprends, mais pour moi ?… Un modeste employé s'en allant au bureau en auto ! Je n'ai pas envie de me rendre ridicule…
Celle qui aime... (Henri Mansvic) - Le Petit Livre Ferenczi N° 544

N° 544 - Celle qui aime... (Henri Mansvic)

3,74 €
Extrait :  En pleine Sarthe, sur la pente d'une colline boisée au pied de laquelle une rivière ondule, se dresse le vieux château de Menonville. On y accède par un chemin moussu, tout bordé de haies vives, qui, par ce matin de mai ensoleillé, verdoient et parfument. A l'heure où nous y pénétrons avec notre lecteur, un homme, presque un vieillard, est assis dans un petit salon solitaire. Les coudes sur une table, l'oeil fixe, la tête dans ses deux mains, il songe. Et ce à quoi il songe doit être profondément triste, car de longs soupirs s'échappent par instants de sa poitrine oppressée. Les mauvaises nouvelles, qu'il pressentait il y a quelques jours, s'étaient en effet confirmées hier. Il n'y avait plus de doute possible, et le désastre était absolu de la banque qui détenait sa fortune…
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