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Il y a 3 produits.

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  • Auteurs: Henri Mansvic
  • Auteurs: Jean Dangery
  • Auteurs: Kay Wilding

N° 204 - Cendrillon a disparu (Kay Wilding)

2,54 €
Cela fait longtemps que Jackson Sherrod ne croit plus aux contes de fées, l'univers dans lequel il évolue ne laissant guère de place au rêve et au merveilleux. Pourtant, le temps d'une croisière à bord de l'American Dreamer, il a décidé de s'évader pour quelques semaines de la réalité impitoyable du monde des affaires. Il va suffire alors qu'une inconnue se trompe de cabine et lui apparaisse, fugitivement, dans la plus délicieuse des nudités, oubliant dans sa fuite éperdue une de ses pantoufles, pour que Jackson cède pour la première fois de sa vie à une impulsion : il va jouer les princes charmants pour cette ravissante Cendrillon !

N° 1089 - La douloureuse erreur (Jean Dangery)

3,05 €
Extrait : Colette de Rions pénétra dans le vestiaire où le valet de chambre s'empressa pour lui tendre sa cape. Un instant, devant un long miroir qui descendait presque jusqu'au parquet, elle s'immobilisa pour jeter un coup d'œil à sa coiffure et se remettre de la poudre. La glace lui renvoyait sa silhouette grande et mince, aux proportions harmonieuses, vêtue d'un fourreau de soie gris clair délicieusement discret, qui moulait ses hanches rondes, son torse sculptural, et laissait libres les bras roses et la gorge frémissante. A sa ceinture pendait une énorme rose jaune pâle, si lourde, si charnue et veloutée qu'on eut dit une parfaite imitation de la nature. Le gris délicat de cette toilette s'harmonisait d'exquise façon avec la blondeur de Colette, — une blondeur à la fois chaude et douce, ni le blond cendré trop éteint, ni l'ardent blond vénitien qui semble flamber au soleil…

N° 544 - Celle qui aime... (Henri Mansvic)

3,74 €
Extrait :  En pleine Sarthe, sur la pente d'une colline boisée au pied de laquelle une rivière ondule, se dresse le vieux château de Menonville. On y accède par un chemin moussu, tout bordé de haies vives, qui, par ce matin de mai ensoleillé, verdoient et parfument. A l'heure où nous y pénétrons avec notre lecteur, un homme, presque un vieillard, est assis dans un petit salon solitaire. Les coudes sur une table, l'oeil fixe, la tête dans ses deux mains, il songe. Et ce à quoi il songe doit être profondément triste, car de longs soupirs s'échappent par instants de sa poitrine oppressée. Les mauvaises nouvelles, qu'il pressentait il y a quelques jours, s'étaient en effet confirmées hier. Il n'y avait plus de doute possible, et le désastre était absolu de la banque qui détenait sa fortune…
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