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  • Auteurs: Henri Mansvic
  • Auteurs: Kay Wilding
  • Auteurs: Michelle Cambards

N° 204 - Cendrillon a disparu (Kay Wilding)

2,54 €
Cela fait longtemps que Jackson Sherrod ne croit plus aux contes de fées, l'univers dans lequel il évolue ne laissant guère de place au rêve et au merveilleux. Pourtant, le temps d'une croisière à bord de l'American Dreamer, il a décidé de s'évader pour quelques semaines de la réalité impitoyable du monde des affaires. Il va suffire alors qu'une inconnue se trompe de cabine et lui apparaisse, fugitivement, dans la plus délicieuse des nudités, oubliant dans sa fuite éperdue une de ses pantoufles, pour que Jackson cède pour la première fois de sa vie à une impulsion : il va jouer les princes charmants pour cette ravissante Cendrillon !

N° 478 - Viens dans mes rêves (Michelle Cambards)

2,75 €
Patricia Dermont a perdu son mari. Un homme manque à son foyer. On peut être une jeune infirmière dévouée, jolie, mère de deux enfants adorables et ne se sentir pas tout à fait heureuse... Quand ses petites filles lui demandent un « papa » pour passer le jour de Noël, la voilà en plein désarroi ! A qui confier ce rôle délicat ? Au Dr Eric Fontaine, sérieux et rempli d'attentions ? Son caractère est si bourru... Les autres amis de Patricia ne sont pas libres. Son choix se fixe donc sur Antoine Melville, un beau garçon un peu inquiétant qui vit dans une demeure isolée. L'infirmière a soigné une blessure qu'il s'est faite avec un revolver. Les petites sont perplexes après la fête. Ce « papa pour Noël » ne correspond guère à ce qu'elles imaginaient. Quant à Patricia, fascinée par Antoine, elle n'imagine ni les tentations ni les dangers qui la guettent... Parviendra-t-elle à sortir indemne de cette étrange aventure et à donner à ses filles un papa pour la vie ?

N° 544 - Celle qui aime... (Henri Mansvic)

3,74 €
Extrait :  En pleine Sarthe, sur la pente d'une colline boisée au pied de laquelle une rivière ondule, se dresse le vieux château de Menonville. On y accède par un chemin moussu, tout bordé de haies vives, qui, par ce matin de mai ensoleillé, verdoient et parfument. A l'heure où nous y pénétrons avec notre lecteur, un homme, presque un vieillard, est assis dans un petit salon solitaire. Les coudes sur une table, l'oeil fixe, la tête dans ses deux mains, il songe. Et ce à quoi il songe doit être profondément triste, car de longs soupirs s'échappent par instants de sa poitrine oppressée. Les mauvaises nouvelles, qu'il pressentait il y a quelques jours, s'étaient en effet confirmées hier. Il n'y avait plus de doute possible, et le désastre était absolu de la banque qui détenait sa fortune…
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