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  • Auteurs: Henri Mansvic
  • Auteurs: Margarett McKean
  • Auteurs: Yann Bernabot
Betty la Terreur (Yann Bernabot) - J'aime Lire N° 107 - BAYARD Jeunesse

Betty la Terreur (Yann Bernabot) - J'aime Lire N° 107

4,12 €
Le shérif fait régner la loi dans la petite ville de Wax City. Les habitants pourraient vivre tranquille mais ils ont peur. Peur de Betty et de ses bêtises. Même le shérif ne peut rien faire. En fait, Betty est sa fille et il est incapable de la punir. Mais, quand le célèbre bandit Killer Jo s'attaque à la banque de Wax City et blesse le shérif, tous les habitants sont terrorisés ! Tous, sauf Betty la Terreur, qui compte bien défendre sa ville... Dès 6 ans.
Les chevaux de l'aurore (Margarett McKean) - Harlequin Série chance N° 23

N° 23 - Les chevaux de l'aurore (Margarett McKean)

2,12 €
Après la mort de son mari, Diana a perdu le goût du bonheur. Elle a même renoncé aux folles chevauchées dans la campagne, qu'elle aimait tant autrefois. Elle a renié tout son passé… Pourtant, c'est son ancienne image de radieuse sauvageonne qu'elle retrouve dans les yeux de Ben, un talentueux peintre texan. Elle n'a jamais rencontré cet homme, mais lui affirme la connaître depuis très longtemps…
Celle qui aime... (Henri Mansvic) - Le Petit Livre Ferenczi N° 544

N° 544 - Celle qui aime... (Henri Mansvic)

3,74 €
Extrait :  En pleine Sarthe, sur la pente d'une colline boisée au pied de laquelle une rivière ondule, se dresse le vieux château de Menonville. On y accède par un chemin moussu, tout bordé de haies vives, qui, par ce matin de mai ensoleillé, verdoient et parfument. A l'heure où nous y pénétrons avec notre lecteur, un homme, presque un vieillard, est assis dans un petit salon solitaire. Les coudes sur une table, l'oeil fixe, la tête dans ses deux mains, il songe. Et ce à quoi il songe doit être profondément triste, car de longs soupirs s'échappent par instants de sa poitrine oppressée. Les mauvaises nouvelles, qu'il pressentait il y a quelques jours, s'étaient en effet confirmées hier. Il n'y avait plus de doute possible, et le désastre était absolu de la banque qui détenait sa fortune…
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