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  • Auteurs: Henri Mansvic
  • Auteurs: Jacquie d'Alessandro
  • Auteurs: Nancy Gramm

N° 335 - L'élégante de la rue Sepulveda (Nancy Gramm)

2,56 €
Il fut soudain saisi par la vision d'une femme très brune assise au fond de la salle. D'une beauté éblouissante, celle-ci dénotait en ce lieu par son élégance classique et sobre, et cette assurance naturelle que confère la richesse. Que venait-elle faire dans ce bar de quartier qui respirait le poker, les oeufs frits et la bière ? Il observa l'inconnue avec plus d'attention. Sa présence l'intriguait, l'agaçait. Même s'il s'en réjouissait secrètement... Il se secoua. Il connaissait assez ce genre de femmes ! Et il n'était vraiment pas homme à se laisser piéger une nouvelle fois.

N° 1349 - La magie d'une nuit (Jacquie d'Alessandro)

2,56 €
Comment Matt Davidson a-t-il osé la réveiller ainsi au milieu de la nuit, prétextant qu’elle se trouve dans sa chambre d’hôtel ? D’autant plus qu’elle se doit, demain matin, d’avoir le teint clair, et les idées aussi, pour tenter de décrocher le contrat qui lui permettra d’obtenir la promotion qu’elle espère tant. Et, d’abord, que fait-il ici ? Le patron de l’agence de pub où ils travaillent tous les deux l’aurait-il envoyé pour le mettre en concurrence avec elle ? Quoi qu’il en soit, pas question de laisser Matt envahir son intimité, même s’il est diablement séduisant… Alors, s’il veut dormir, il a intérêt à se trouver une autre chambre et vite ! Sauf que l’hôtel affiche complet, lui assure Matt avec un grand sourire. Avec un grand soupir, Jilly se dit qu’une nuit, une seule, ce n’est pas un si mauvais moment à passer…

N° 544 - Celle qui aime... (Henri Mansvic)

3,74 €
Extrait :  En pleine Sarthe, sur la pente d'une colline boisée au pied de laquelle une rivière ondule, se dresse le vieux château de Menonville. On y accède par un chemin moussu, tout bordé de haies vives, qui, par ce matin de mai ensoleillé, verdoient et parfument. A l'heure où nous y pénétrons avec notre lecteur, un homme, presque un vieillard, est assis dans un petit salon solitaire. Les coudes sur une table, l'oeil fixe, la tête dans ses deux mains, il songe. Et ce à quoi il songe doit être profondément triste, car de longs soupirs s'échappent par instants de sa poitrine oppressée. Les mauvaises nouvelles, qu'il pressentait il y a quelques jours, s'étaient en effet confirmées hier. Il n'y avait plus de doute possible, et le désastre était absolu de la banque qui détenait sa fortune…
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