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  • Auteurs: André Demaison
  • Auteurs: Henri Mansvic
  • Auteurs: Paul Loysel

Poupah l'éléphant et autres histoires de bêtes qu'on dit sauvages (André Demaison)

4,50 €
Voici une nouvelle série d'«histoires de bêtes qu'on dit sauvages ». Sauvage ce Poupah qui s'habitua si bien aux manières des hommes qu'il avait peur, seul, le soir dans la brousse ? Sauvages, les deux lionceaux qui, imbus de la majesté de leur race, brisaient les barreaux de la cage où ils voyageaient pour aller s'installer dans un compartiment de première classe ?…

La nouvelle arche de Noé (André Demaison)

6,95 €
Extrait : LA GOELETTE EN DERIVE Les hommes ne sont pas tellement nombreux, qui ont pu vivre leurs lectures d'enfance transposées dans la réalité. Quand je me vois coiffé d'un feutre à larges bords, vêtu de toile kakie et pieds nus dans des espadrilles à vingt-six sous, arpentant le pont de ma goélette jusqu'au moment où, fatigué de refaire sans cesse les mêmes trente-cinq pas, je m'accroupis près de la barre, enfoncé dans la chaleur et la solitude, je me demande si je ne vais pas être de ceux qui réussissent leur tour de chance. Il est encore plus rare qu'un homme accomplisse sa destinée de bout en bout selon ses aptitudes et ses espoirs. Qu'il arrive, en pleine jeunesse, avec des muscles souples et un regard tout neuf, à réussir un passage de sa vie, c'est déjà pour lui une immense faveur. Je crois que je suis sur cette voie. Les plus beaux horizons d'Afrique m'appartiennent. A vingt-trois ans, je recommence déjà une nouvelle existence…

N° 544 - Celle qui aime... (Henri Mansvic)

3,74 €
Extrait :  En pleine Sarthe, sur la pente d'une colline boisée au pied de laquelle une rivière ondule, se dresse le vieux château de Menonville. On y accède par un chemin moussu, tout bordé de haies vives, qui, par ce matin de mai ensoleillé, verdoient et parfument. A l'heure où nous y pénétrons avec notre lecteur, un homme, presque un vieillard, est assis dans un petit salon solitaire. Les coudes sur une table, l'oeil fixe, la tête dans ses deux mains, il songe. Et ce à quoi il songe doit être profondément triste, car de longs soupirs s'échappent par instants de sa poitrine oppressée. Les mauvaises nouvelles, qu'il pressentait il y a quelques jours, s'étaient en effet confirmées hier. Il n'y avait plus de doute possible, et le désastre était absolu de la banque qui détenait sa fortune…
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