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  • Auteurs: Elizabeth Barnes
  • Auteurs: Henri Mansvic
  • Auteurs: Val McDermid
Noirs tatouages (Val McDermid) - J'ai lu N° 8964
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Noirs tatouages (Val McDermid) - J'ai lu N° 8964

2,55 €
Cet été-là, il a plu comme rarement à Lake District et la tourbière a livré son secret : un cadavre sans âge, couvert de tatouages. Jane Gresham, spécialiste du poète William Wordsworth, pense aussitôt à une légende locale : Fletcher Christian, le chef des mutins du Bounty , a fui Pitcairn pour regagner clandestinement l'Angleterre. Et son vieil ami Wordsworth a transformé son récit en poème épique. Persuadée que le précieux manuscrit se trouve chez un descendant du poète, Jane enquête. Mais, comme dans toutes les chasses au trésor, les convoitises s'éveillent, et les cadavres s'accumulent.

N° 1237 - Les leçons du passé (Elizabeth Barnes)

2,56 €
Nous sommes unis, Kathy, aussi étroitement que peuvent l'être un homme et une femme. Et ce lien ne se rompra jamais ! Les paroles de Reid résonnaient d'autant plus cruellement aux oreilles de Kathy qu'elle venait d'en mesurer la justesse. N'avait-il pas réussi, en un seul baiser, à réveiller le désir qui semblait l'avoir désertée depuis huit ans ? Depuis le moment, en fait, où ils s'étaient quittés. Seulement, si son corps n'avait pas oublié les étreintes de Reid, son coeur, lui, gardait aussi la trace indélébile de ses mensonges et de sa duplicité… Des souvenirs suffisamment douloureux pour qu'elle espère y puiser la force de lui résister.

N° 544 - Celle qui aime... (Henri Mansvic)

3,74 €
Extrait :  En pleine Sarthe, sur la pente d'une colline boisée au pied de laquelle une rivière ondule, se dresse le vieux château de Menonville. On y accède par un chemin moussu, tout bordé de haies vives, qui, par ce matin de mai ensoleillé, verdoient et parfument. A l'heure où nous y pénétrons avec notre lecteur, un homme, presque un vieillard, est assis dans un petit salon solitaire. Les coudes sur une table, l'oeil fixe, la tête dans ses deux mains, il songe. Et ce à quoi il songe doit être profondément triste, car de longs soupirs s'échappent par instants de sa poitrine oppressée. Les mauvaises nouvelles, qu'il pressentait il y a quelques jours, s'étaient en effet confirmées hier. Il n'y avait plus de doute possible, et le désastre était absolu de la banque qui détenait sa fortune…
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