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  • Auteurs: Claude-Andrée Bert
  • Auteurs: Henri Pellier
D'une seule caresse d'après le roman de Claude-Andrée Bert - BS Lecture 2918
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N° 2918 - D'une seule caresse d'après le roman de Claude-Andrée Bert

2,90 €
Encart Lecture BS 2918 à détacher D'une seule caresse  d'après le roman de Claude-Andrée Bert Extrait : Tout à commencé, ou plutôt tout a recommencé ce soir-là. Jusqu'alors, j'étais heureuse, ou du moins je le croyais. Dans mon univers, tout était calme et  tranquillité. Mon bonheur n'était pas parfait, mais j'étais assez raisonnable pour savoir que le bonheur parfait n'est pas de ce monde. Beaucoup de femmes m'enviaient : j'avais un mari célèbre, trois enfants en excellente santé, un appartement luxueux, une belle voiture, en somme tout ce qu'une femme peut désirer. Ce soir-là, donc, je venais de fermer la porte de la chambre de mes filles. Aucun bruit, pas de chuchotements furtifs, Christine et Sabine dormaient déjà, paisibles, dans leurs petits lits. Devant moi, sur le satin bleu pâle, une robe de dentelle noire était étalée. Je n'avais pas envie de le mettre tout de suite, et je flânai quelques minutes dans la chambre bleue que j'aimais tant. Je m'installai enfin à ma toilette et commençai à me maquiller sans grand enthousiasme. Soudain on frappa discrètement… Vendu sans la nouvelle policière annoncée sur la première page

Le Lion de Tolède (Claude-Andrée Bert)

3,95 €
Une semaine de vacances à Lanzarote, aux Canaries, Marianne Lancey qui étudie l'espagnol à Paris, a pu réaliser ce rêve en économisant beaucoup. Par chance, elle bénéficie d'une place de première classe. Dans l'avion, commence alors pour elle une merveilleuse et redoutable aventure… Son voisin, José-Luis de Laritonga, est un noble et riche Espagnol. Un garçon follement séduisant ! Il fait la cour Marianne, et la voilà qui s'invente un nom ronflant, des ancêtres glorieux, un château en Touraine… Un jeu dangereux. Le jeu s'aggrave et les mensonges aussi quand les jeunes gens se revoient à Lanzarote. C'est l'amour… Marianne, pourtant, regagne Paris. Le jeu se changera en drame durant l'été suivant. Marianne n'a pas eu le courage de refuser une invitation au palais de Laritonga, à Tolède : elle y affronte l'hostilité de dons Dolorès, la douairière implacable et trop lucide. Pour Marianne, le cauchemar devient perpétuel. Comment réagirait José-Luis, si…

N° 223 - La jeune infirmière (Henri Pellier)

8,00 €
12 Gravures Extrait : Date mémorable et terrible que celle du 2 août 1914. Ce jour-là, dans toute la France, se répandait la nouvelle de la guerre avec l'Allemagne. Nous étions provoqués et la Belgique allait être envahie. L'heure de la diplomatie avait vite passé. Et voilà que déjà sonnait celle de l'action, celle de la résistance armée où chacun devait faire son devoir et se préparer aux plus grands sacrifices. Que de tragédies sublimes se jouèrent ce jour-là, et qu'il y eut de noble dévouement et d'admirables héroïsme dans un simple sourire, dans un regard où se cachaient les larmes, dans un bout de dialogue où l'on dissimulait le déchirement du coeur sous une phrase alerte ! Les Françaises furent vraiment à la hauteur de leur tâche. Elle avaient à souffrir dans leurs plus chères affections, et il leur fallait encore dissimuler leur douleur et leurs craintes pour ne pas attrister ceux qui allaient se battre…

N° 527 - En Indochine (Henri Pellier)

4,95 €
Extrait : I - UNE FAMILLE D'EXPLORATEURS Quand Jean et Francis étaient tout jeunes, une de leurs grandes joies était de se faire raconter, par leur père, des histoires d'Indochine. C'était, pour eux, plus beau que des contes de fées. D'abord, dans ces histoires-là, il était toujours question de la famille. On leur disait les aventures de leur aïeul Alexandre Duvernier, qui s'était embarqué, en 1789, pour la Cochinchine, ou bien les exploits de leur grand oncle Louis Duvernier, qui avait combattu, au Tonkin sous les ordres du lieutenant de vaisseau Francis Garnier et du commandant Rivière. Puis Jean et Francis pouvaient poser des questions à celui qui leur faisait tous ces beaux récits, car leur père, Robert Duvernier, passait huit mois de l'année dans ses domaines du Tonkin, sur le bord du fleuve Rouge. Il était même ravi de voir ses deux fils s'intéresser à ces souvenirs d'ancêtres et à ces récits d'aventures coloniales, car Robert Duvernier appartenait à une famille d'explorateurs, et il espérait bien que ses deux garçons continueraient la tradition…

Rosamaria (Claude-Andrée Bert)

3,26 €
C'est dans les sites enchanteurs de la Sicile que Rosamaria s'est éprise, depuis son adolescence, de Tommaso, jeune officier de marine. Elle rêve d'une vie simple et heureuse à son côté. Mais, un jour, elle le surprend en compagnie de Bianca et ne peut douter de son infidélité. Meurtrie, désabusée, elle part pour l'Angleterre où elle rencontre Craig, qui ne tarde pas à s'éprendre d'elle. Il est sérieux, sincère et lui promet le bonheur. Elle décide de lui faire confiance. Rosamaria rentre à Palerme où son fiancé vient la rejoindre. Soudain, au hasard d'un voyage à Syracuse, Tommaso se jette entre eux : — C'est moi que tu aimes, s'écrie-t-il, réfléchis avant de gâcher ta vie ! Que va faire Rosamaria ? Va-t-elle céder à l'attrait du passé, à la poésie du premier amour, ou Tommaso lui est-il devenu totalement indifférent ? La passion que ressent Craig sera-t-elle assez forte pour la retenir ?

N° 525 - A Madagascar (Henri Pellier)

4,45 €
Extrait : Autour de la reine, les dames d'honneur riaient et bavardaient, regardant des robes qui venaient d'arriver dans une grande caisse, et essayant des chapeaux. Tout à coup, la reine s'écrie en frappant dans ses mains : « Marina, apporte le jeu de loto ! » Quand la reine était fatiguée de contempler des toilettes et d'essayer des chapeaux, elle jouait aux dames et au loto ; ce dernier jeu lui plaisait surtout comme étant le moins compliqué. Marina qui a la confiance de la reine, est une jeune esclave. Nous sommes à Madagascar, en 1895, et, à cette époque, dans la grande île, l'esclavage n'avait pas encore été aboli. Mais il y avait à Madagascar, toute une catégorie d'esclaves appartenant à la Couronne et qui jouissaient d'avantages particuliers, même d'une certaine considération.

N° 704 - L'inventeur des allumettes (Jean Hesse, Henri Pellier)

5,90 €
Extrait : I - Quatre amis de collège Au collège de Dôle, parmi les plus grands, quatre amis se retrouvaient groupés, soit en classe, soit dans leurs jeux ou leurs promenades : Charles Sauria, Juditte Grévy, Fritz Kammerer et Léon Grincheux. Fritz était un jeune Allemand venu en France pour y étudier notre langue. Il était désireux de s'instruire, et ne manquait aucune occasion d'augmenter son bagage littéraire ou scientifique. Quant à celui qu'on nommait Grincheux, c'était un surnom, mais qui lui allait si bien qu'on ne l'appelait jamais autrement. Il avait pourtant de bons yeux et un petit nez en trompette qui prêtait à rire, et il était heureux chaque fois qu'il pouvait rendre service, mais toujours il se plaignait et grognait. Il avait une fâcheuse disposition à voir les choses du mauvais côté. Ses camarades avaient fini par s'en amuser et par lui donner ce surnom de Grincheux. Si Léon Grincheux se plaignait toujours, Fritz était rêveur et silencieux. Seuls Charles Sauria et Juditte Grévy aimaient échanger leurs idées et leurs projets d'avenir. Mais tandis que Juditte Grévy recherchait dans les livres les belles phrases et les discours, Charles Sauria ne s'occupait que de science, d'expériences et surtout de chimie…

N° 627 - La poupée de caoutchouc (Jean Hesse, Henri Pellier)

4,90 €
Extrait : En rentrant de son cours de chimie, André fut très étonné de trouver dans la cuisine sa mère et sa soeur en train de confectionner une superbe galette. Et dans la salle à manger le grand couvert était mis avec des fleurs sur la table et une bouteille de champagne sur le buffet. « Quel est le convive pour lequel on met ainsi les petits plats dans les grands ? demande André intrigué. — Ce convive, c'est toi ! » s'écrie en riant Madeleine, la soeur d'André. Et sa mère embrassant son fils, lui explique : « C'est fête aujourd'hui, mon cher André, parce que c'est le jour de tes quinze ans…

N° 551 - Walter Scott à Paris (Henri Pellier)

3,50 €
Extrait : I - LA PERLE DES ONCLES « Comment me trouvez-vous ? » demande une voix joyeuse. Et une fillette, gracieuse et souriante, s'avance en sautillant dans la grande pièce où Adrien Boucart et son neveu Jean examinaient une pièce de drap. « Tu est belle comme l'image d'un conte de fées, » dit Jean à sa soeur. Pour ce compliment la fillette fait une révérence qui prouve son habitude à se trouver dans un monde où l'on sait saluer. Thérère Boucart, qui venait d'avoir quatorze ans, était employée chez une célèbre fleuriste de la rue Saint-Honoré, dont l'enseigne « Au Fleurs de Lis » était bien connue. On était en 1828. Charles X était roi de France, et c'était « Aux Fleurs de Lis » que la cour confiait la décoration de ses salons les jours de réception. « Alors, vous me trouvez bien ? » insiste Thérèse en exécutant trois petits tours qui font bouffer sa robe blanche ornée d'une large ceinture rose, et agitait les boucles blondes de ses cheveux qui encadrent le plus charmant des visages…

N° 527 - En Indochine (Henri Pellier)

4,20 €
Extrait  : I - UNE FAMILLE D'EXPLORATEURS Quand Jean et Francis étaient tout jeunes, une de leurs grandes joies était de se faire raconter, par leur père, des histoires d'Indochine. C'était, pour eux, plus beau que des contes de fées. D'abord, dans ces histoires-là, il était toujours question de la famille. On leur disait les aventures de leur aïeul Alexandre Duvernier, qui s'était embarqué, en 1789, pour la Cochinchine, ou bien les exploits de leur grand oncle Louis Duvernier, qui avait combattu, au Tonkin sous les ordres du lieutenant de vaisseau Francis Garnier et du commandant Rivière. Puis Jean et Francis pouvaient poser des questions à celui qui leur faisait tous ces beaux récits, car leur père, Robert Duvernier, passait huit mois de l'année dans ses domaines du Tonkin, sur le bord du fleuve Rouge. Il était même ravi de voir ses deux fils s'intéresser à ces souvenirs d'ancêtres et à ces récits d'aventures coloniales, car Robert Duvernier appartenait à une famille d'explorateurs, et il espérait bien que ses deux garçons continueraient la tradition…
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