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  • Auteurs: Henri Pellier
  • Auteurs: Jean-François Chabas
  • Auteurs: Jennifer LaBrecque

Les lionnes (Jean-François Chabas)

2,74 €
Ce sont deux lionnes qui avancent sans bruit dans les herbes sèches. Il y a la mère. Un an plus tôt, deux de ses soeurs ont été tuées à coups de tonnerre court par les hommes à l'odeur nouvelle, avec des peaux par-dessus leurs peaux. Il y a la fille. Elle a eu des petits jadis, ils ont été dévorés par un mâle rival de leur père. Depuis, elle ne s'est plus accouplée. Ensemble, elles ont quitté la harde, côte à côte, d'un seul pas. Elles sont seules.

N° 223 - La jeune infirmière (Henri Pellier)

8,00 €
12 Gravures Extrait : Date mémorable et terrible que celle du 2 août 1914. Ce jour-là, dans toute la France, se répandait la nouvelle de la guerre avec l'Allemagne. Nous étions provoqués et la Belgique allait être envahie. L'heure de la diplomatie avait vite passé. Et voilà que déjà sonnait celle de l'action, celle de la résistance armée où chacun devait faire son devoir et se préparer aux plus grands sacrifices. Que de tragédies sublimes se jouèrent ce jour-là, et qu'il y eut de noble dévouement et d'admirables héroïsme dans un simple sourire, dans un regard où se cachaient les larmes, dans un bout de dialogue où l'on dissimulait le déchirement du coeur sous une phrase alerte ! Les Françaises furent vraiment à la hauteur de leur tâche. Elle avaient à souffrir dans leurs plus chères affections, et il leur fallait encore dissimuler leur douleur et leurs craintes pour ne pas attrister ceux qui allaient se battre…

N° 527 - En Indochine (Henri Pellier)

4,95 €
Extrait : I - UNE FAMILLE D'EXPLORATEURS Quand Jean et Francis étaient tout jeunes, une de leurs grandes joies était de se faire raconter, par leur père, des histoires d'Indochine. C'était, pour eux, plus beau que des contes de fées. D'abord, dans ces histoires-là, il était toujours question de la famille. On leur disait les aventures de leur aïeul Alexandre Duvernier, qui s'était embarqué, en 1789, pour la Cochinchine, ou bien les exploits de leur grand oncle Louis Duvernier, qui avait combattu, au Tonkin sous les ordres du lieutenant de vaisseau Francis Garnier et du commandant Rivière. Puis Jean et Francis pouvaient poser des questions à celui qui leur faisait tous ces beaux récits, car leur père, Robert Duvernier, passait huit mois de l'année dans ses domaines du Tonkin, sur le bord du fleuve Rouge. Il était même ravi de voir ses deux fils s'intéresser à ces souvenirs d'ancêtres et à ces récits d'aventures coloniales, car Robert Duvernier appartenait à une famille d'explorateurs, et il espérait bien que ses deux garçons continueraient la tradition…

Ba (Jean-François Chabas) - Casterman Poche N° 37

2,56 €
Je ne comprenais qu'à moitié. J'étais faible et fiévreuse. La seule chose que je savais, c'est qu'une femme étrangère, dans une cabane que je ne connaissais pas, se proposait de me planter une aiguille dans le front. — Tu ne me touches pas, sale chinetoque, ai-je répété. Assommée par une avalanche, Selma a été recueillie par Ba. Tout sépare les deux femmes, mais le danger va très vite se rapprocher ; autour de leur cabane perdue dans les neiges de l'Alaska, la mort est là, qui rôde. Dès 10 ans.

N° 525 - A Madagascar (Henri Pellier)

4,45 €
Extrait : Autour de la reine, les dames d'honneur riaient et bavardaient, regardant des robes qui venaient d'arriver dans une grande caisse, et essayant des chapeaux. Tout à coup, la reine s'écrie en frappant dans ses mains : « Marina, apporte le jeu de loto ! » Quand la reine était fatiguée de contempler des toilettes et d'essayer des chapeaux, elle jouait aux dames et au loto ; ce dernier jeu lui plaisait surtout comme étant le moins compliqué. Marina qui a la confiance de la reine, est une jeune esclave. Nous sommes à Madagascar, en 1895, et, à cette époque, dans la grande île, l'esclavage n'avait pas encore été aboli. Mais il y avait à Madagascar, toute une catégorie d'esclaves appartenant à la Couronne et qui jouissaient d'avantages particuliers, même d'une certaine considération.

Experts en séduction (Jennifer LaBrecque)

2,56 €
Deke est prêt à tout pour conquérir Abby Vandiver, une de ses collègues. Faisant appel aux compétences professionnelles de la jeune femme, il lui demande de devenir son coach et de l'aider à changer de look… juste le temps de séduire — prétend-il — une mystérieuse inconnue…

N° 704 - L'inventeur des allumettes (Jean Hesse, Henri Pellier)

5,90 €
Extrait : I - Quatre amis de collège Au collège de Dôle, parmi les plus grands, quatre amis se retrouvaient groupés, soit en classe, soit dans leurs jeux ou leurs promenades : Charles Sauria, Juditte Grévy, Fritz Kammerer et Léon Grincheux. Fritz était un jeune Allemand venu en France pour y étudier notre langue. Il était désireux de s'instruire, et ne manquait aucune occasion d'augmenter son bagage littéraire ou scientifique. Quant à celui qu'on nommait Grincheux, c'était un surnom, mais qui lui allait si bien qu'on ne l'appelait jamais autrement. Il avait pourtant de bons yeux et un petit nez en trompette qui prêtait à rire, et il était heureux chaque fois qu'il pouvait rendre service, mais toujours il se plaignait et grognait. Il avait une fâcheuse disposition à voir les choses du mauvais côté. Ses camarades avaient fini par s'en amuser et par lui donner ce surnom de Grincheux. Si Léon Grincheux se plaignait toujours, Fritz était rêveur et silencieux. Seuls Charles Sauria et Juditte Grévy aimaient échanger leurs idées et leurs projets d'avenir. Mais tandis que Juditte Grévy recherchait dans les livres les belles phrases et les discours, Charles Sauria ne s'occupait que de science, d'expériences et surtout de chimie…

N° 627 - La poupée de caoutchouc (Jean Hesse, Henri Pellier)

4,90 €
Extrait : En rentrant de son cours de chimie, André fut très étonné de trouver dans la cuisine sa mère et sa soeur en train de confectionner une superbe galette. Et dans la salle à manger le grand couvert était mis avec des fleurs sur la table et une bouteille de champagne sur le buffet. « Quel est le convive pour lequel on met ainsi les petits plats dans les grands ? demande André intrigué. — Ce convive, c'est toi ! » s'écrie en riant Madeleine, la soeur d'André. Et sa mère embrassant son fils, lui explique : « C'est fête aujourd'hui, mon cher André, parce que c'est le jour de tes quinze ans…

N° 551 - Walter Scott à Paris (Henri Pellier)

3,50 €
Extrait : I - LA PERLE DES ONCLES « Comment me trouvez-vous ? » demande une voix joyeuse. Et une fillette, gracieuse et souriante, s'avance en sautillant dans la grande pièce où Adrien Boucart et son neveu Jean examinaient une pièce de drap. « Tu est belle comme l'image d'un conte de fées, » dit Jean à sa soeur. Pour ce compliment la fillette fait une révérence qui prouve son habitude à se trouver dans un monde où l'on sait saluer. Thérère Boucart, qui venait d'avoir quatorze ans, était employée chez une célèbre fleuriste de la rue Saint-Honoré, dont l'enseigne « Au Fleurs de Lis » était bien connue. On était en 1828. Charles X était roi de France, et c'était « Aux Fleurs de Lis » que la cour confiait la décoration de ses salons les jours de réception. « Alors, vous me trouvez bien ? » insiste Thérèse en exécutant trois petits tours qui font bouffer sa robe blanche ornée d'une large ceinture rose, et agitait les boucles blondes de ses cheveux qui encadrent le plus charmant des visages…

N° 527 - En Indochine (Henri Pellier)

4,20 €
Extrait  : I - UNE FAMILLE D'EXPLORATEURS Quand Jean et Francis étaient tout jeunes, une de leurs grandes joies était de se faire raconter, par leur père, des histoires d'Indochine. C'était, pour eux, plus beau que des contes de fées. D'abord, dans ces histoires-là, il était toujours question de la famille. On leur disait les aventures de leur aïeul Alexandre Duvernier, qui s'était embarqué, en 1789, pour la Cochinchine, ou bien les exploits de leur grand oncle Louis Duvernier, qui avait combattu, au Tonkin sous les ordres du lieutenant de vaisseau Francis Garnier et du commandant Rivière. Puis Jean et Francis pouvaient poser des questions à celui qui leur faisait tous ces beaux récits, car leur père, Robert Duvernier, passait huit mois de l'année dans ses domaines du Tonkin, sur le bord du fleuve Rouge. Il était même ravi de voir ses deux fils s'intéresser à ces souvenirs d'ancêtres et à ces récits d'aventures coloniales, car Robert Duvernier appartenait à une famille d'explorateurs, et il espérait bien que ses deux garçons continueraient la tradition…

N° 1300 - Une troublante tentation (Jennifer LaBrecque)

2,15 €
Est-il bien raisonnable d’emmener son meilleur ami quand on part en vacances sur une île de rêve avec son futur mari ? Phoebe, elle, n’a pas vu le problème. Lorsqu’elle s’est décidée pour une semaine de congés à la Jamaïque avec son fiancé, Elliott, elle a aussitôt proposé à son confident de toujours, Ryan, de venir avec eux - accompagné de sa petite amie du moment, bien sûr. Seulement voilà : au rythme languide de l’île où tout semble permis, la situation échappe lentement à Phoebe. Non seulement elle voit Elliott s’éloigner d’elle et s’intéresser ostensiblement à la fiancée de Ryan, mais elle-même découvre que Ryan ne lui inspire pas que de l’amitié et que cette attirance est réciproque. Que faire ? Résister à la tentation pour garder le meilleur ami qu’elle ait jamais eu… ou succomber au désir et risquer de tout perdre ?

N° 1174 - Pris au piège ! (Jennifer Labrecque)

2,95 €
— La directrice de l'agence m'a affirmé qu'il était l'un de leurs meilleurs éléments. D'ailleurs, il possède d'excellentes références. Elle a juste admis que ses méthodes, en matière de puériculture, ne sont pas toujours très classiques. Ça, pour ne pas être classiques, les méthodes de Sloane Matthews ne l'étaient pas, songea Jo en écoutant sa mère. Elle avait eu l'occasion de s'en rendre compte par elle-même quand elle l'avait vu prendre Tara, sa petite nièce, sous son bras comme un paquet de linge, pour la doucher sous le robinet du lavabo ! Quelque chose clochait, elle en avait la certitude. Et ce n'était pas seulement le fait que sa soeur, avant son départ en voyage, ait embauché un homme comme nounou pour s'occuper de ses trois petits monstres. Ni celui que l'homme en question ressemblait plus à un bel aventurier qu'à un papa gâteau. Non, son impression venait plutôt de l'aura de mystère dont il s'entourait dès qu'elle essayait de le faire parler de sa vie et de ce qui l'avait conduit à exercer une profession aussi originale pour un homme. Un mystère qu'elle était bien décidée à élucider en prolongeant son séjour auprès de lui et ses neveux aussi longtemps que nécessaire...
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