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  • Auteurs: Henri Pellier
  • Auteurs: Joseph-Louis Sanciaume
  • Auteurs: Victoria Pade
Un insupportable milliardaire / Le retrouver à tout prix - Harlequin Passions N° 684
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N° 684 - Un insupportable milliardaire (Kay Cantrell) - Le retrouver à tout prix (Victoria Pade)

4,75 €
Un insupportable milliardaire (Kat Cantrell) Comment Reid Chamberlain ose-t-il lui claquer la porte au nez ? Nora n’en revient pas. Certes, elle vient de lui apprendre qu’elle était mère d’un petit garçon de deux ans, mais est-ce une raison pour qu’il se comporte comme le pire des goujats alors qu’ils viennent de passer la nuit ensemble ? Les dernières paroles de Reid sèment cependant le trouble dans son esprit. Ne lui a-t-il pas dit qu’il l’aimait, mais refusait l’idée qu’une famille l’abandonne à nouveau ? Décidée à éclaircir ce mystère, Nora se fait la promesse d’obtenir une explication… Le retrouver à tout prix (Victoria Pade) Lorsqu’elle apprend qu’elle attend un bébé, Livi est désemparée : tout ce qu’elle connaît de l’homme avec lequel elle a partagé une brûlante étreinte deux mois plus tôt est son prénom ! Et, si Callan et elle s’étaient mis d’accord pour ne partager qu’une nuit, elle ne peut lui cacher qu’il va être père ! Mais comment faire pour retrouver ce séduisant inconnu, dans le regard duquel elle a bien cru voir passer l’étincelle de l’amour ?
Princesse d'un jour (Joseph-Louis Sanciaume) - Collection Mirabelle N° 41 - Editions des Remparts
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N° 41 - Princesse d'un jour (Joseph-Louis Sanciaume)

9,90 €
Florence quitta le chalet et s'aventura dans un sentier de montagne... Si le colonel Werden s'apercevait de son absence, quelle scène ! Soudain, elle entendit des pas, tira vite de son sac ses lunettes noires. Un garçon débouchait du sentier : jeune et brun, avec des épaules droites et larges... Il la salua, elle répondit. Ils lièrent connaissance. — Voulez-vous que je vous apprenne à passer la frontière de Sylvistrie au nez et à la barbe des douaniers ? Quelques minutes plus tard, ils foulaient le sol de la principauté... — Otez vos lunettes, demanda-t-il au retour. Elles vous enlaidissent tellement ! Elle hésita, s'exécuta. — Je m'en doutais, murmura-t-il. La photo épinglée au mur de ma chambre que les deux inconnus m'ont remise, c'est vous ! Il expliqua son histoire. On lui avait donné cette photo comme celle d'une femme redoutable, par qui les jours de la jeune princesse Stéphanie étaient menacés... une femme à signaler. — On vous a dit des choses abominables, murmura-t-elle. Il éclata de rire : — Je sais qu'ils ont menti... ... Ainsi commence la passionnante histoire de la petite Princesse d'un jour...

N° 44 - La route dangereuse (Joseph-Louis Sanciaume)

12,00 €
A la pension Gaspardi, de Nice, Danielle attend, impatiente, cet engagement d'un impresario qui lui permettra enfin de faire valoir ses grands talents de musicienne. Enrico, le charmant camarade, qui est d'ailleurs amoureux d'elle, attend lui aussi. Mais voici que miss Brown, une autre pensionnaire, appelle à son chevet de mourante la douce Danielle. Elle lui confie deux enveloppes : l'une contient 25 billets de 10.000 francs (ils sont pour elle), l'autre un paquet de lettres qu'elle a mission de faire tenir au mystérieux M. Framon. Enrico, hélas ! s'emparera des lettres… Et Danielle ne pourra exécuter son serment. Rongée d'inquiétude, elle quitte Nice subrepticement et regagne Paris, pour échapper à ce fol amoureux. Un soir, au soir du concert où elle tient le piano, un automobiliste inconnu tente de l'enlever. Un jeune homme qui passait et l'agresseur en fuite. Et ce miraculeux sauveteur va devenir le chevalier servant de Danielle. Mais un jour, Danielle apprendra le vrai nom de Paul Brière. Et qu'il est lié, lui aussi, à cette dramatique histoire de lettres. Enrico est revenu… Mais Paul aussi reviendra. Et dans ce train d'Angers, qui semblait emporter Danielle vers l'oubli, surgira soudain la chère silhouette…

N° 223 - La jeune infirmière (Henri Pellier)

8,00 €
12 Gravures Extrait : Date mémorable et terrible que celle du 2 août 1914. Ce jour-là, dans toute la France, se répandait la nouvelle de la guerre avec l'Allemagne. Nous étions provoqués et la Belgique allait être envahie. L'heure de la diplomatie avait vite passé. Et voilà que déjà sonnait celle de l'action, celle de la résistance armée où chacun devait faire son devoir et se préparer aux plus grands sacrifices. Que de tragédies sublimes se jouèrent ce jour-là, et qu'il y eut de noble dévouement et d'admirables héroïsme dans un simple sourire, dans un regard où se cachaient les larmes, dans un bout de dialogue où l'on dissimulait le déchirement du coeur sous une phrase alerte ! Les Françaises furent vraiment à la hauteur de leur tâche. Elle avaient à souffrir dans leurs plus chères affections, et il leur fallait encore dissimuler leur douleur et leurs craintes pour ne pas attrister ceux qui allaient se battre…

N° 527 - En Indochine (Henri Pellier)

4,95 €
Extrait : I - UNE FAMILLE D'EXPLORATEURS Quand Jean et Francis étaient tout jeunes, une de leurs grandes joies était de se faire raconter, par leur père, des histoires d'Indochine. C'était, pour eux, plus beau que des contes de fées. D'abord, dans ces histoires-là, il était toujours question de la famille. On leur disait les aventures de leur aïeul Alexandre Duvernier, qui s'était embarqué, en 1789, pour la Cochinchine, ou bien les exploits de leur grand oncle Louis Duvernier, qui avait combattu, au Tonkin sous les ordres du lieutenant de vaisseau Francis Garnier et du commandant Rivière. Puis Jean et Francis pouvaient poser des questions à celui qui leur faisait tous ces beaux récits, car leur père, Robert Duvernier, passait huit mois de l'année dans ses domaines du Tonkin, sur le bord du fleuve Rouge. Il était même ravi de voir ses deux fils s'intéresser à ces souvenirs d'ancêtres et à ces récits d'aventures coloniales, car Robert Duvernier appartenait à une famille d'explorateurs, et il espérait bien que ses deux garçons continueraient la tradition…

N° 525 - A Madagascar (Henri Pellier)

4,45 €
Extrait : Autour de la reine, les dames d'honneur riaient et bavardaient, regardant des robes qui venaient d'arriver dans une grande caisse, et essayant des chapeaux. Tout à coup, la reine s'écrie en frappant dans ses mains : « Marina, apporte le jeu de loto ! » Quand la reine était fatiguée de contempler des toilettes et d'essayer des chapeaux, elle jouait aux dames et au loto ; ce dernier jeu lui plaisait surtout comme étant le moins compliqué. Marina qui a la confiance de la reine, est une jeune esclave. Nous sommes à Madagascar, en 1895, et, à cette époque, dans la grande île, l'esclavage n'avait pas encore été aboli. Mais il y avait à Madagascar, toute une catégorie d'esclaves appartenant à la Couronne et qui jouissaient d'avantages particuliers, même d'une certaine considération.

N° 704 - L'inventeur des allumettes (Jean Hesse, Henri Pellier)

5,90 €
Extrait : I - Quatre amis de collège Au collège de Dôle, parmi les plus grands, quatre amis se retrouvaient groupés, soit en classe, soit dans leurs jeux ou leurs promenades : Charles Sauria, Juditte Grévy, Fritz Kammerer et Léon Grincheux. Fritz était un jeune Allemand venu en France pour y étudier notre langue. Il était désireux de s'instruire, et ne manquait aucune occasion d'augmenter son bagage littéraire ou scientifique. Quant à celui qu'on nommait Grincheux, c'était un surnom, mais qui lui allait si bien qu'on ne l'appelait jamais autrement. Il avait pourtant de bons yeux et un petit nez en trompette qui prêtait à rire, et il était heureux chaque fois qu'il pouvait rendre service, mais toujours il se plaignait et grognait. Il avait une fâcheuse disposition à voir les choses du mauvais côté. Ses camarades avaient fini par s'en amuser et par lui donner ce surnom de Grincheux. Si Léon Grincheux se plaignait toujours, Fritz était rêveur et silencieux. Seuls Charles Sauria et Juditte Grévy aimaient échanger leurs idées et leurs projets d'avenir. Mais tandis que Juditte Grévy recherchait dans les livres les belles phrases et les discours, Charles Sauria ne s'occupait que de science, d'expériences et surtout de chimie…

N° 627 - La poupée de caoutchouc (Jean Hesse, Henri Pellier)

4,90 €
Extrait : En rentrant de son cours de chimie, André fut très étonné de trouver dans la cuisine sa mère et sa soeur en train de confectionner une superbe galette. Et dans la salle à manger le grand couvert était mis avec des fleurs sur la table et une bouteille de champagne sur le buffet. « Quel est le convive pour lequel on met ainsi les petits plats dans les grands ? demande André intrigué. — Ce convive, c'est toi ! » s'écrie en riant Madeleine, la soeur d'André. Et sa mère embrassant son fils, lui explique : « C'est fête aujourd'hui, mon cher André, parce que c'est le jour de tes quinze ans…

N° 551 - Walter Scott à Paris (Henri Pellier)

3,50 €
Extrait : I - LA PERLE DES ONCLES « Comment me trouvez-vous ? » demande une voix joyeuse. Et une fillette, gracieuse et souriante, s'avance en sautillant dans la grande pièce où Adrien Boucart et son neveu Jean examinaient une pièce de drap. « Tu est belle comme l'image d'un conte de fées, » dit Jean à sa soeur. Pour ce compliment la fillette fait une révérence qui prouve son habitude à se trouver dans un monde où l'on sait saluer. Thérère Boucart, qui venait d'avoir quatorze ans, était employée chez une célèbre fleuriste de la rue Saint-Honoré, dont l'enseigne « Au Fleurs de Lis » était bien connue. On était en 1828. Charles X était roi de France, et c'était « Aux Fleurs de Lis » que la cour confiait la décoration de ses salons les jours de réception. « Alors, vous me trouvez bien ? » insiste Thérèse en exécutant trois petits tours qui font bouffer sa robe blanche ornée d'une large ceinture rose, et agitait les boucles blondes de ses cheveux qui encadrent le plus charmant des visages…

N° 527 - En Indochine (Henri Pellier)

4,20 €
Extrait  : I - UNE FAMILLE D'EXPLORATEURS Quand Jean et Francis étaient tout jeunes, une de leurs grandes joies était de se faire raconter, par leur père, des histoires d'Indochine. C'était, pour eux, plus beau que des contes de fées. D'abord, dans ces histoires-là, il était toujours question de la famille. On leur disait les aventures de leur aïeul Alexandre Duvernier, qui s'était embarqué, en 1789, pour la Cochinchine, ou bien les exploits de leur grand oncle Louis Duvernier, qui avait combattu, au Tonkin sous les ordres du lieutenant de vaisseau Francis Garnier et du commandant Rivière. Puis Jean et Francis pouvaient poser des questions à celui qui leur faisait tous ces beaux récits, car leur père, Robert Duvernier, passait huit mois de l'année dans ses domaines du Tonkin, sur le bord du fleuve Rouge. Il était même ravi de voir ses deux fils s'intéresser à ces souvenirs d'ancêtres et à ces récits d'aventures coloniales, car Robert Duvernier appartenait à une famille d'explorateurs, et il espérait bien que ses deux garçons continueraient la tradition…

Les Coltons T5 : Une dangereuse révélation (Victoria Pade)

2,95 €
Leur famille est riche, puissante, respectée. Leur nom symbolise la réussite, la chance, l'amour. Mais une tentative d'assassinat va soudain menacer l'empire des Coltons... C'est avec bien des hésitations que Lucy considère le poste de secrétaire par intérim qu'on vient de lui proposer. Car Rand Coltons a beau être un avocat de renom doté d'une personnalité hors du commun, c'est aussi un patron colérique et exigeant qui ne ménage guère ses collaborateurs. Certes, il peut aussi se montrer plein de charme, mais Lucy n'y est guère sensible. Traumatisée par l'attitude de son ancien amant, un professeur d'université qui l'a abandonnée enceinte et sans ressources, elle s'est juré de ne plus jamais s'engager dans une aventure susceptible de perturber son nouvel équilibre et celui de son fils Max... Outre sa séduction, cependant, Rand Coltons a des qualités qui déstabilisent Lucy. L'affection qu'il porte au jeune Max, mais aussi l'amour sincère et plein d'inquiétude qu'il voue à sa propre famille qui traverse une crise terrible au même moment. Car non seulement le couple de ses parents semble au bord du naufrage, non seulement la personne qui a attenté à la vie de son père n'est toujours pas sous les verrous, mais voilà que sa soeur Emily vient de l'appeler, terrifiée, pour lui faire part des pires soupçons et lui demander d'enquêter sur le passé de leur mère. Leur mère... ou celle qui se fait passer pour telle.

N° 129 - La maison sur la plage (Teresa Southwick) - Une incroyable attirance (Victoria Pade)

3,90 €
La maison sur la plage (Teresa Southwick) Située sur une magnifique plage sauvage au bord du Pacifique, la maison de Gavin Spencer est un véritable paradis. C'est pourtant à contrecoeur que Mary Jane accepte de s'y installer pour prendre soin du fils de ce richissime milliardaire. En s'occupant de nouveau d'un très jeune enfant, ne prend-elle pas le risque de réveiller de douloureux souvenirs ? Mais ce qu'elle craint le plus en réalité, c'est de devoir partager le quotidien de Gavin, un homme arrogant et désagréable, pour lequel elle éprouve néanmoins une irrésistible attirance... Une incroyable attirance (Victoria Pade) Afin de se remettre d'un divorce difficile, Faith décide de passer quelques jours au calme à Northbridge, la ville de son enfance. Mais voilà qu'à peine arrivée, elle fait la rencontre de Boone Pratt, le nouveau vétérinaire. Et, même si avec ses bottes poussiéreuses et son jean élimé, il est exactement le type d'homme qu'elle s'est juré de ne jamais fréquenter, elle succombe très vite à son charme viril et sauvage. Bien sûr, il ne peut s'agir que d'une aventure sans lendemain, rien de plus. Comment pourrait-elle s'attacher à un cow-boy aux allures de mauvais garçon, elle l'élégante femme d'affaires de Boston ?
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