Accueil

Accueil

Il y a 11 produits.

Affichage 1-11 de 11 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Henri Pellier
  • Auteurs: Loïc Léo
  • Auteurs: Netty Delance

N° 223 - La jeune infirmière (Henri Pellier)

8,00 €
12 Gravures Extrait : Date mémorable et terrible que celle du 2 août 1914. Ce jour-là, dans toute la France, se répandait la nouvelle de la guerre avec l'Allemagne. Nous étions provoqués et la Belgique allait être envahie. L'heure de la diplomatie avait vite passé. Et voilà que déjà sonnait celle de l'action, celle de la résistance armée où chacun devait faire son devoir et se préparer aux plus grands sacrifices. Que de tragédies sublimes se jouèrent ce jour-là, et qu'il y eut de noble dévouement et d'admirables héroïsme dans un simple sourire, dans un regard où se cachaient les larmes, dans un bout de dialogue où l'on dissimulait le déchirement du coeur sous une phrase alerte ! Les Françaises furent vraiment à la hauteur de leur tâche. Elle avaient à souffrir dans leurs plus chères affections, et il leur fallait encore dissimuler leur douleur et leurs craintes pour ne pas attrister ceux qui allaient se battre…

N° 527 - En Indochine (Henri Pellier)

4,95 €
Extrait : I - UNE FAMILLE D'EXPLORATEURS Quand Jean et Francis étaient tout jeunes, une de leurs grandes joies était de se faire raconter, par leur père, des histoires d'Indochine. C'était, pour eux, plus beau que des contes de fées. D'abord, dans ces histoires-là, il était toujours question de la famille. On leur disait les aventures de leur aïeul Alexandre Duvernier, qui s'était embarqué, en 1789, pour la Cochinchine, ou bien les exploits de leur grand oncle Louis Duvernier, qui avait combattu, au Tonkin sous les ordres du lieutenant de vaisseau Francis Garnier et du commandant Rivière. Puis Jean et Francis pouvaient poser des questions à celui qui leur faisait tous ces beaux récits, car leur père, Robert Duvernier, passait huit mois de l'année dans ses domaines du Tonkin, sur le bord du fleuve Rouge. Il était même ravi de voir ses deux fils s'intéresser à ces souvenirs d'ancêtres et à ces récits d'aventures coloniales, car Robert Duvernier appartenait à une famille d'explorateurs, et il espérait bien que ses deux garçons continueraient la tradition…

N° 525 - A Madagascar (Henri Pellier)

4,45 €
Extrait : Autour de la reine, les dames d'honneur riaient et bavardaient, regardant des robes qui venaient d'arriver dans une grande caisse, et essayant des chapeaux. Tout à coup, la reine s'écrie en frappant dans ses mains : « Marina, apporte le jeu de loto ! » Quand la reine était fatiguée de contempler des toilettes et d'essayer des chapeaux, elle jouait aux dames et au loto ; ce dernier jeu lui plaisait surtout comme étant le moins compliqué. Marina qui a la confiance de la reine, est une jeune esclave. Nous sommes à Madagascar, en 1895, et, à cette époque, dans la grande île, l'esclavage n'avait pas encore été aboli. Mais il y avait à Madagascar, toute une catégorie d'esclaves appartenant à la Couronne et qui jouissaient d'avantages particuliers, même d'une certaine considération.

N° 704 - L'inventeur des allumettes (Jean Hesse, Henri Pellier)

5,90 €
Extrait : I - Quatre amis de collège Au collège de Dôle, parmi les plus grands, quatre amis se retrouvaient groupés, soit en classe, soit dans leurs jeux ou leurs promenades : Charles Sauria, Juditte Grévy, Fritz Kammerer et Léon Grincheux. Fritz était un jeune Allemand venu en France pour y étudier notre langue. Il était désireux de s'instruire, et ne manquait aucune occasion d'augmenter son bagage littéraire ou scientifique. Quant à celui qu'on nommait Grincheux, c'était un surnom, mais qui lui allait si bien qu'on ne l'appelait jamais autrement. Il avait pourtant de bons yeux et un petit nez en trompette qui prêtait à rire, et il était heureux chaque fois qu'il pouvait rendre service, mais toujours il se plaignait et grognait. Il avait une fâcheuse disposition à voir les choses du mauvais côté. Ses camarades avaient fini par s'en amuser et par lui donner ce surnom de Grincheux. Si Léon Grincheux se plaignait toujours, Fritz était rêveur et silencieux. Seuls Charles Sauria et Juditte Grévy aimaient échanger leurs idées et leurs projets d'avenir. Mais tandis que Juditte Grévy recherchait dans les livres les belles phrases et les discours, Charles Sauria ne s'occupait que de science, d'expériences et surtout de chimie…

N° 627 - La poupée de caoutchouc (Jean Hesse, Henri Pellier)

4,90 €
Extrait : En rentrant de son cours de chimie, André fut très étonné de trouver dans la cuisine sa mère et sa soeur en train de confectionner une superbe galette. Et dans la salle à manger le grand couvert était mis avec des fleurs sur la table et une bouteille de champagne sur le buffet. « Quel est le convive pour lequel on met ainsi les petits plats dans les grands ? demande André intrigué. — Ce convive, c'est toi ! » s'écrie en riant Madeleine, la soeur d'André. Et sa mère embrassant son fils, lui explique : « C'est fête aujourd'hui, mon cher André, parce que c'est le jour de tes quinze ans…

N° 551 - Walter Scott à Paris (Henri Pellier)

3,50 €
Extrait : I - LA PERLE DES ONCLES « Comment me trouvez-vous ? » demande une voix joyeuse. Et une fillette, gracieuse et souriante, s'avance en sautillant dans la grande pièce où Adrien Boucart et son neveu Jean examinaient une pièce de drap. « Tu est belle comme l'image d'un conte de fées, » dit Jean à sa soeur. Pour ce compliment la fillette fait une révérence qui prouve son habitude à se trouver dans un monde où l'on sait saluer. Thérère Boucart, qui venait d'avoir quatorze ans, était employée chez une célèbre fleuriste de la rue Saint-Honoré, dont l'enseigne « Au Fleurs de Lis » était bien connue. On était en 1828. Charles X était roi de France, et c'était « Aux Fleurs de Lis » que la cour confiait la décoration de ses salons les jours de réception. « Alors, vous me trouvez bien ? » insiste Thérèse en exécutant trois petits tours qui font bouffer sa robe blanche ornée d'une large ceinture rose, et agitait les boucles blondes de ses cheveux qui encadrent le plus charmant des visages…

N° 527 - En Indochine (Henri Pellier)

4,20 €
Extrait  : I - UNE FAMILLE D'EXPLORATEURS Quand Jean et Francis étaient tout jeunes, une de leurs grandes joies était de se faire raconter, par leur père, des histoires d'Indochine. C'était, pour eux, plus beau que des contes de fées. D'abord, dans ces histoires-là, il était toujours question de la famille. On leur disait les aventures de leur aïeul Alexandre Duvernier, qui s'était embarqué, en 1789, pour la Cochinchine, ou bien les exploits de leur grand oncle Louis Duvernier, qui avait combattu, au Tonkin sous les ordres du lieutenant de vaisseau Francis Garnier et du commandant Rivière. Puis Jean et Francis pouvaient poser des questions à celui qui leur faisait tous ces beaux récits, car leur père, Robert Duvernier, passait huit mois de l'année dans ses domaines du Tonkin, sur le bord du fleuve Rouge. Il était même ravi de voir ses deux fils s'intéresser à ces souvenirs d'ancêtres et à ces récits d'aventures coloniales, car Robert Duvernier appartenait à une famille d'explorateurs, et il espérait bien que ses deux garçons continueraient la tradition…

N° 1558 - Vengeance posthume (Netty Delance)

3,05 €
Extrait : Antonio Tempico s'approcha de la fenêtre, se pencha sur le jardin, d'où montait le rire clair de Madalena. Madalena riait, Madalena était heureuse ! Il n'en fallait pas plus pour le remplir d'une profonde joie. Depuis dix ans, depuis la mort de sa femme, il ne vivait que pour sa fille, sans autre but que la combler, la choyer, lui faire une existence douce. Il travaillait, il gagnait de l'argent, beaucoup d'argent… pour elle. Et, s'il avait de l'ambition, c'était encore et uniquement pour elle. Il s'était promis que, lorsqu'elle aurait dix-huit ans, elle serait une des jeunes filles les plus richement dotées du pays. Il avait eu le courage, alors qu'elle n'était âgée que de huit ans, de s'en séparer, de la confier à une nourrice, et de s'enfoncer dans le fin fond du Mexique pour essayer d'y faire fortune. Plusieurs années durant, il avait mené la vie rude des prospecteurs de pétrole. La chance avait fini par lui sourire. Il se hâta de vendre le terrain pétrolifère qu'il avait découvert et vint s'installer dans une des régions tempérées — terras templados — du pays, sur les contreforts de la Sierra Madre , face au golfe de la Californie…

N° 1710 - Esclave du désir (Netty Delance)

3,74 €
Extrait : D'un même mouvement, tous les pensionnaires déjà attablés inclinèrent la tête avec un rapide coup d'oeil vers la porte. L'homme à qui s'adressait ce salut collectif — en réponse au sien — se désintéressa d'ailleurs immédiatement de l'assistance et gagna à grands pas la table qui lui était réservée. La pension de famille de Mlle Vertuchon comptait deux genres de clientèle : celle qui prenait ses repas à la table d'hôte et la clientèle plus restreinte mais privilégiée qu'on servait par petites tables. A vrai dire, les menus et les rations étaient les mêmes, et la très sensible différence de prix n'était pas justifiés par le blanchissage du linge — on servait sur des nappes de papier. C'était donc, tout simplement, une sorte de taxe supplémentaire imposée aux quelques individualistes qui préféraient la solitude ou l'intimité à la conversation générale, et leurs aises au coude-à-coude… Yvonne, la grosse servante dont les vingt ans opulents se passaient — à tort ! — de soutien-gorge, appelait ironiquement ces délicats les « serviettes » par opposition aux « torchons » qui constituaient le gros des pensionnaires…

N° 1672 - L'impossible vengeance (Netty Delance)

3,74 €
Extrait : — Je t'assure, dit Simone en riant, que nous sommes venues par là !... Claudine haussa les épaules sans cacher sa mauvaise humeur : — Avec toi, on a toujours des avatars de ce genre !... Il était si simple, trop simple, sans doute, de rester avec les autres, devant la terasse... Mais non, il a fallu aller visiter le parc !... La prochaine fois, je te laisserai aller seule. Au lieu de se fâcher, Simone pouffait. Elle était aussi « parigote » et fille des faubourgs, avec son petit nez en l'air et son accent, que Claudine était racée, distinguée, d'une dignité un peu hautaine d'ailleurs. Et leurs caractères étaient tels que le laissait deviner leur aspect respectif. Belle et dominatrice, Claudine avait, dès son entrée dans la maison Jean-Jacques Flath, subjugué sa camarade de travail dont le coeur sensible ne demandait qu'à se dévouer…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire