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  • Auteurs: Henri Pellier
  • Auteurs: Michel Ocelot
  • Auteurs: Stéphane Murat
Virage dangereux (Stéphane Murat) - BS Lecture 3044
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N° 3044 - Virage dangereux (Stéphane Murat)

2,90 €
Extrait : Georges Servan avait la passion de l'ordre. A peine rentré de vacances, il réorganisait son bureau. Il lui fallait sous la main sa calculatrice électronique, ses tables, son registre de formules chimiques. Il s'estimait prêt à reprendre son travail normal, lorsque, surpris, il fronça les sourcils. Le quatrième tiroir, de toute évidence, avait été forcé et fouillé. Plus exactement dépouillé. Le dossier qu'il avait intitulé « Recherches » n'était plus là. Georges Servan se tourna vers le dessinateur industriel : — Dites-moi, Jean-Louis, savez-vous où est André ? — André Tillier ?… Mais dans les ateliers, comme d'habitude. — Il savait cependant que je rentrais de vacances aujourd'hui. Et il était d'usage… — Oui, mais les choses ont beaucoup changé, depuis un mois André Tillier a pris ses distances… Georges Servan sourit d'un air distrait : — Qu'est-ce qui lui est arrivé ? Il a gagné Le Loto ?

N° 223 - La jeune infirmière (Henri Pellier)

8,00 €
12 Gravures Extrait : Date mémorable et terrible que celle du 2 août 1914. Ce jour-là, dans toute la France, se répandait la nouvelle de la guerre avec l'Allemagne. Nous étions provoqués et la Belgique allait être envahie. L'heure de la diplomatie avait vite passé. Et voilà que déjà sonnait celle de l'action, celle de la résistance armée où chacun devait faire son devoir et se préparer aux plus grands sacrifices. Que de tragédies sublimes se jouèrent ce jour-là, et qu'il y eut de noble dévouement et d'admirables héroïsme dans un simple sourire, dans un regard où se cachaient les larmes, dans un bout de dialogue où l'on dissimulait le déchirement du coeur sous une phrase alerte ! Les Françaises furent vraiment à la hauteur de leur tâche. Elle avaient à souffrir dans leurs plus chères affections, et il leur fallait encore dissimuler leur douleur et leurs craintes pour ne pas attrister ceux qui allaient se battre…

N° 527 - En Indochine (Henri Pellier)

4,95 €
Extrait : I - UNE FAMILLE D'EXPLORATEURS Quand Jean et Francis étaient tout jeunes, une de leurs grandes joies était de se faire raconter, par leur père, des histoires d'Indochine. C'était, pour eux, plus beau que des contes de fées. D'abord, dans ces histoires-là, il était toujours question de la famille. On leur disait les aventures de leur aïeul Alexandre Duvernier, qui s'était embarqué, en 1789, pour la Cochinchine, ou bien les exploits de leur grand oncle Louis Duvernier, qui avait combattu, au Tonkin sous les ordres du lieutenant de vaisseau Francis Garnier et du commandant Rivière. Puis Jean et Francis pouvaient poser des questions à celui qui leur faisait tous ces beaux récits, car leur père, Robert Duvernier, passait huit mois de l'année dans ses domaines du Tonkin, sur le bord du fleuve Rouge. Il était même ravi de voir ses deux fils s'intéresser à ces souvenirs d'ancêtres et à ces récits d'aventures coloniales, car Robert Duvernier appartenait à une famille d'explorateurs, et il espérait bien que ses deux garçons continueraient la tradition…

Vent de sable (Stephane Murat)

5,95 €
Extrait : Qui peut dire ce que vaut un homme avant de l'avoir vu à quelques minutes de la mort, à l'instant où il n'y a plus personne à tromper ? Marion Taylor avait vu Leslie Forrester sur le point de sombrer dans l'Océan comme les autres passagers. Elle ne se souvenait pas qu'il eût changé de visage. Elle n'avait encore rien rencontré qui fût comparable au regard inerte de Leslie Forrester entrant sereinement dans le royaume des morts. Un peu plus frêle, un peu plus pâle, sans doute, au niveau de ses joues creuses et de son front haut, mais inaccessible à la peur panique qui paralysait ses compagnons de voyage. Ce voyage avait été le dernier vol du DC 4 2087, ce vol auquel la Compagnie, aujourd'hui, donnait simplement le nom d' « incident » et auquel Marion devait aussi un congé exceptionnel de quinze jours. Au terme de ce congé, elle s'efforçait de rassembler ses souvenirs…

N° 525 - A Madagascar (Henri Pellier)

4,45 €
Extrait : Autour de la reine, les dames d'honneur riaient et bavardaient, regardant des robes qui venaient d'arriver dans une grande caisse, et essayant des chapeaux. Tout à coup, la reine s'écrie en frappant dans ses mains : « Marina, apporte le jeu de loto ! » Quand la reine était fatiguée de contempler des toilettes et d'essayer des chapeaux, elle jouait aux dames et au loto ; ce dernier jeu lui plaisait surtout comme étant le moins compliqué. Marina qui a la confiance de la reine, est une jeune esclave. Nous sommes à Madagascar, en 1895, et, à cette époque, dans la grande île, l'esclavage n'avait pas encore été aboli. Mais il y avait à Madagascar, toute une catégorie d'esclaves appartenant à la Couronne et qui jouissaient d'avantages particuliers, même d'une certaine considération.

N° 3012 - Le Prisonnier de Junqueira (Liliane Robin) - Lingots en solde (Stéphane Murat)

4,50 €
Encarts Lecture BS 3012 à détacher Extraits : Le Prisonnier de Junqueira d'après le roman de Liliane Robin Les silhouettes de deux cavaliers chevauchant à bride abattue, ce soir de mai 1760, se profilaient dans la nuit. De temps en temps, l'un d'eux se retournait pour scruter le chemin. Le bruit d'une troupe à cheval résonnait derrière eux. — Plus vite ! Ils gagnent du terrain ! La lune jetait une clarté blafarde sur le paysage. La chevauchée se poursuivit à travers la campagne Lisbonnaise. — Fontavila ! cria brusquement le plus jeune des fuyards. … Lingots en solde , une nouvelle policière de Stéphane Murat L'idée était simple : monter quatre perforatrices de chantier sur une plateforme-établi, laquelle reposait sur un système de vérins. Un seul homme suffisait pour manoeuvrer les vérins et les élever régulièrement. De la sorte, les forets attaquaient lentement la voûte de brique, sans bruit excessif. …

N° 704 - L'inventeur des allumettes (Jean Hesse, Henri Pellier)

5,90 €
Extrait : I - Quatre amis de collège Au collège de Dôle, parmi les plus grands, quatre amis se retrouvaient groupés, soit en classe, soit dans leurs jeux ou leurs promenades : Charles Sauria, Juditte Grévy, Fritz Kammerer et Léon Grincheux. Fritz était un jeune Allemand venu en France pour y étudier notre langue. Il était désireux de s'instruire, et ne manquait aucune occasion d'augmenter son bagage littéraire ou scientifique. Quant à celui qu'on nommait Grincheux, c'était un surnom, mais qui lui allait si bien qu'on ne l'appelait jamais autrement. Il avait pourtant de bons yeux et un petit nez en trompette qui prêtait à rire, et il était heureux chaque fois qu'il pouvait rendre service, mais toujours il se plaignait et grognait. Il avait une fâcheuse disposition à voir les choses du mauvais côté. Ses camarades avaient fini par s'en amuser et par lui donner ce surnom de Grincheux. Si Léon Grincheux se plaignait toujours, Fritz était rêveur et silencieux. Seuls Charles Sauria et Juditte Grévy aimaient échanger leurs idées et leurs projets d'avenir. Mais tandis que Juditte Grévy recherchait dans les livres les belles phrases et les discours, Charles Sauria ne s'occupait que de science, d'expériences et surtout de chimie…

N° 627 - La poupée de caoutchouc (Jean Hesse, Henri Pellier)

4,90 €
Extrait : En rentrant de son cours de chimie, André fut très étonné de trouver dans la cuisine sa mère et sa soeur en train de confectionner une superbe galette. Et dans la salle à manger le grand couvert était mis avec des fleurs sur la table et une bouteille de champagne sur le buffet. « Quel est le convive pour lequel on met ainsi les petits plats dans les grands ? demande André intrigué. — Ce convive, c'est toi ! » s'écrie en riant Madeleine, la soeur d'André. Et sa mère embrassant son fils, lui explique : « C'est fête aujourd'hui, mon cher André, parce que c'est le jour de tes quinze ans…

Kirikou et les bêtes sauvages (Michel Ocelot)

2,54 €
Le noble grand-père de Kirikou trône dans sa grotte bleue, et il nous parle : — L'histoire de Kirikou et sa sorcière était trop courte. On n'a pas eu le temps de rapporter tout ce que l'enfant Kirikou avait accompli. Et il a vraiment accompli de belles et bonnes actions, qu'il ne faudrait pas oublier. Alors, je vous les raconte…

N° 551 - Walter Scott à Paris (Henri Pellier)

3,50 €
Extrait : I - LA PERLE DES ONCLES « Comment me trouvez-vous ? » demande une voix joyeuse. Et une fillette, gracieuse et souriante, s'avance en sautillant dans la grande pièce où Adrien Boucart et son neveu Jean examinaient une pièce de drap. « Tu est belle comme l'image d'un conte de fées, » dit Jean à sa soeur. Pour ce compliment la fillette fait une révérence qui prouve son habitude à se trouver dans un monde où l'on sait saluer. Thérère Boucart, qui venait d'avoir quatorze ans, était employée chez une célèbre fleuriste de la rue Saint-Honoré, dont l'enseigne « Au Fleurs de Lis » était bien connue. On était en 1828. Charles X était roi de France, et c'était « Aux Fleurs de Lis » que la cour confiait la décoration de ses salons les jours de réception. « Alors, vous me trouvez bien ? » insiste Thérèse en exécutant trois petits tours qui font bouffer sa robe blanche ornée d'une large ceinture rose, et agitait les boucles blondes de ses cheveux qui encadrent le plus charmant des visages…

N° 527 - En Indochine (Henri Pellier)

4,20 €
Extrait  : I - UNE FAMILLE D'EXPLORATEURS Quand Jean et Francis étaient tout jeunes, une de leurs grandes joies était de se faire raconter, par leur père, des histoires d'Indochine. C'était, pour eux, plus beau que des contes de fées. D'abord, dans ces histoires-là, il était toujours question de la famille. On leur disait les aventures de leur aïeul Alexandre Duvernier, qui s'était embarqué, en 1789, pour la Cochinchine, ou bien les exploits de leur grand oncle Louis Duvernier, qui avait combattu, au Tonkin sous les ordres du lieutenant de vaisseau Francis Garnier et du commandant Rivière. Puis Jean et Francis pouvaient poser des questions à celui qui leur faisait tous ces beaux récits, car leur père, Robert Duvernier, passait huit mois de l'année dans ses domaines du Tonkin, sur le bord du fleuve Rouge. Il était même ravi de voir ses deux fils s'intéresser à ces souvenirs d'ancêtres et à ces récits d'aventures coloniales, car Robert Duvernier appartenait à une famille d'explorateurs, et il espérait bien que ses deux garçons continueraient la tradition…
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