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  • Auteurs: Hertha von Gebhardt
  • Auteurs: Louise Fuller
  • Auteurs: Philippine Terris

N° 4.317 - L'affaire des sifflets à roulette (Hertha Von Gebhardt)

4,94 €
Depuis des années, le grand espace vert du bout de la rue des Longs-Prés est le domaine des enfants du quartier. Ils y inventent chaque jour de nouveaux jeux, sous la protection de leur vieil ami Monsieur Kienzel, le marchand de journaux. Hélas ! quelle n'est pas leur stupeur de découvrir un jour une pancarte qui se dresse, menaçante, sur « leur » terrain et annonce, à cet emplacement, la construction d'une maison de retraite. Aussitôt, c'est la révolte ! L'offensive, menée par Koschka, le chef de la bande, commence le jour même de la pose de la première pierre : un coup de sifflet strident vient troubler la cérémonie… Dans ce livre plein de rebondissements, mais aussi vibrant de tendresse, Herta von Gebhardt, auteur de talent, dont l'oeuvre a été traduite dans le monde entier, traite avec tact un problème qui est souvent posé dans le monde moderne.

N° 3801 - Un ardent face-à-face (Louise Fuller)

2,98 €
Flora peine à y croire. Ce Massimo Sforza pense-t-il vraiment qu’elle se laissera acheter de la sorte ? Maintenant qu’elle a enfin trouvé son havre de paix, il est hors de question qu’elle abandonne le palazzo aux mains de ce milliardaire impertinent qui désire le transformer en complexe hôtelier de luxe ! Peu importe le prix qu’il lui propose, elle ne cédera pas. Car elle en est convaincue : aucune somme d’argent ne pourrait acheter la sérénité que cet endroit lui procure. Massimo, aussi charmant et intimidant soit-il, peut bien lui imposer de cohabiter avec lui, rien ne la fera fléchir…

N° 3417 - Mensonge et passion (Philippine Terris)

3,75 €
Mensonge et passion Un roman inédit de Philippine Terris Extrait : J'eus un soupir exaspéré et, pendant une seconde, je crus que j'allais me jeter sur la toile, pour la lacérer. Je me contentai d'essuyer mon pinceau soigneusement. Par les vitres de l'atelier, une blafarde lumière d'hiver tombait sur le tableau que j'étais en train de peindre. Le costume de l'homme en rouge paraissait plus éclatant et plus pâle, son visage anguleux : — Mais les yeux… Je n'arrive pas à peindre les yeux… Et j'arrachai ma blouse, à grands gestes impatients. J'avais mal à la tête, une subite envie de pleurer. Il est terrible d'essayer de traduire en formes, en couleurs, ce qui est le reflet mouvant de votre imagination.. — Quelquefois, c'est même impossible, murmurai-je. Je détournai le regard de l'homme en rouge. Je finirais par le détester, ce visage sans regard, dont la bouche souriait, dédaigneuse…
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