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  • Auteurs: Hilary Ford
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  • Auteurs: Jacky Goupil
Lorette et Harpye (Jacky Goupil, Crisse) - Vents d'Ouest

Lorette et Harpye (Jacky Goupil, Crisse)

6,60 €
C'est moi Lorette, c'est toi Harpye, C'est moi la maigre, c'est toi la bouffie… Avec leurs piedscrotteux et leurs balais, voisines deux sorcières échappées de l'Épée de Cristal. Elles sont un peu simples d'esprit, parfois méchantes, souvent bêtes, mais toujours drôles ! Ce recueil regroupe les meilleurs gags des albums Lorette et Harpye 1 et 2.
Les noces secrètes (Hilary Ford) - Modes de Paris N° 104 - Les Editions Mondiales

N° 104 - Les noces secrètes (Hilary Ford)

3,54 €
Patrick Harley est-il de noble extraction ? Quand un beau jour de l'an 1876, il annonce à sa fille Arabella, dite Bella, qu'il est le « vrai » marquis de Kheilleagh, elle n'est point étonnée : elle sait que son père a toujours eu des prétentions nobiliaires, mais… ses revendications sont-elles fondées ? Elle ne le croit pas ! Il tient ces idées de sa mère, une servante irlandaise, qui aurait été séduite par un gentilhomme puis abandonnée alors qu'elle avait des espoirs de maternité… Le gentilhomme était mort peu après. Harley pense que son père et sa mère se sont mariés en secret. Pour en avoir le coeur net, il décide de se rendre à Kheilleagh (ouest de l'Irlande) et s'installe à l'hôtel avec sa fille. Chez le pasteur du village, il rencontre un jeune baronet, sir John Dungillis ; celui-ci conseille à la jeune fille de rentrer en Angleterre sans pus attendre. Si son père s'obstine dans ses recherches, la charmante Arabella ne pourrait-elle pas en souffrir ?
Le fiancé a disparu - Une nouvelle policière de Jacky Fray - BS Lecture 2586

N° 2586 - Le fiancé a disparu (Jacky Fray)

2,90 €
Le fiancé a disparu Une nouvelle policière de Jacky Fray Extrait : L'architecte Paul Mesanger était plus que préoccupé. Pourtant, par une de ces habitudes qu'il avait conservées d'une jeunesse studieuse, économe et un tantinet étriquée, il épousseta longuement la neige de ses chaussures sur le paillasson de l'entrée. Puis, résolu à en finir une fois pour toutes, il attaqua les marches de l'escalier branlant. Sa main se rassurait sur la crosse froide…
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