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  • Auteurs: Alain d'Aix
  • Auteurs: Hilary Ford
  • Auteurs: Karen McCombie

N° 104 - Les noces secrètes (Hilary Ford)

3,54 €
Patrick Harley est-il de noble extraction ? Quand un beau jour de l'an 1876, il annonce à sa fille Arabella, dite Bella, qu'il est le « vrai » marquis de Kheilleagh, elle n'est point étonnée : elle sait que son père a toujours eu des prétentions nobiliaires, mais… ses revendications sont-elles fondées ? Elle ne le croit pas ! Il tient ces idées de sa mère, une servante irlandaise, qui aurait été séduite par un gentilhomme puis abandonnée alors qu'elle avait des espoirs de maternité… Le gentilhomme était mort peu après. Harley pense que son père et sa mère se sont mariés en secret. Pour en avoir le coeur net, il décide de se rendre à Kheilleagh (ouest de l'Irlande) et s'installe à l'hôtel avec sa fille. Chez le pasteur du village, il rencontre un jeune baronet, sir John Dungillis ; celui-ci conseille à la jeune fille de rentrer en Angleterre sans pus attendre. Si son père s'obstine dans ses recherches, la charmante Arabella ne pourrait-elle pas en souffrir ?

Le monde délirant d'Ally T5 : Garçons, frangins et danse du ventre (Karen McCombie)

2,15 €
Les garçons sont des animaux bizarres, d'accord. Mais ces temps-ci, ceux de mon entourage sont plus que bizarres. Prenez Billy, mon meilleur ami : il est devenu débile, comme ça, paf ! (L'incident des soutiens-gorge sur la tête le montre bien.) Mais le pire, c'est que l'éprouve des sentiments nouveaux pour le débile en question : comme (aaaaargh!) la jalousie.

N° 328 - L'Amour est une révélation (Alain d'Aix) - Virginia GIBSON en couverture

3,50 €
L'amour est une révélation Grand roman inédit par Alain d'Aix Extrait : Chaque fois que Freddy avait un rendez-vous, son coeur battait à se rompre. C'était un de ces garçons souvent paralysé par une sensibilité extrême. « Les femmes ne me comprendront jamais !… Elles aiment la force brutale ou les égoïstes, parce qu'ils ont la puissance de l'indifférence !… » songeait-il en parcourant la paisible avenue des faubourgs, où habitait Josette. Une fois de plus, il allait vers elle, le coeur angoissé. Au seuil de la petite maison bourgeoise, il fit une pause, avant de sonner. Dans un instant, il la verrait !… Tante Hélène vint ouvrir : — Bonjour, Freddy, je dois appeler Josette, sans doute ?… La jeune fille apparut aussitôt, rayonnante, ses cheveux noirs ébouriffés.
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