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Les clients du Bon Chien Jaune (Pierre Mac Orlan) - Folio junior N° 494
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Les clients du Bon Chien Jaune (Pierre Mac Orlan) - Folio junior N° 494

2,74 €
Les clients du Bon Chien Jaune À la mort de son père, Louis-Marie Bénic est recueilli par son oncle, propriétaire de l'auberge du Bon Chien Jaune à Brest, lieu mal famé où s'organisent d'étranges commerces. Notamment entre l'oncle de Louis-Marie et un certain Pain Noir, qui réclame que lui soient livrés des morts… Intrigué, Louis-Marie décide d'en savoir plus. Mais il regrette bientôt sa curiosité. Prisonnier d'un vaisseau fantôme de sinistre réputation, le voici contraint de jouer une comédie macabre ! À partir de 9 ans.

N° 104 - Les noces secrètes (Hilary Ford)

3,54 €
Patrick Harley est-il de noble extraction ? Quand un beau jour de l'an 1876, il annonce à sa fille Arabella, dite Bella, qu'il est le « vrai » marquis de Kheilleagh, elle n'est point étonnée : elle sait que son père a toujours eu des prétentions nobiliaires, mais… ses revendications sont-elles fondées ? Elle ne le croit pas ! Il tient ces idées de sa mère, une servante irlandaise, qui aurait été séduite par un gentilhomme puis abandonnée alors qu'elle avait des espoirs de maternité… Le gentilhomme était mort peu après. Harley pense que son père et sa mère se sont mariés en secret. Pour en avoir le coeur net, il décide de se rendre à Kheilleagh (ouest de l'Irlande) et s'installe à l'hôtel avec sa fille. Chez le pasteur du village, il rencontre un jeune baronet, sir John Dungillis ; celui-ci conseille à la jeune fille de rentrer en Angleterre sans pus attendre. Si son père s'obstine dans ses recherches, la charmante Arabella ne pourrait-elle pas en souffrir ?

N° 1696 - Sa vraie maman ! (Léopold Remon)

2,92 €
Extrait : C'était une pauvre demeure que celle où la vieille Marie Méry se mourait. Une grande pièce au sol dallé, une alcôve et un petit réduit où l'on gardait quelques provisions, composaient le modeste intérieur. Des bouquets d'oignons suspendus décoraient les poutres. La vaste cheminée, quelques misérables meubles ornaient la pièce principale qui s'ouvrait de plain-pied sur le jardinet. Parfois, deux ou trois poules effrontées s'aventuraient jusqu'à la paillasse où dormait Pierrette. C'était toute la basse-cour de Marie Méry qui nourrissait ces volatiles de quelques miettes, et leur laissait le soin de dénicher dans les champs d'alentour le plus clair de leur subsistance. Pauvre, Marie Méry l'était, mais à la façon indifférente des vieilles paysannes qui savent côtoyer la misère sans tomber dans le sordide. Elle ne possédait aucun bien, n'avait ni bétail, ni terre. Et la maison ne lui appartenait qu'en vertu de son abandon dont elle avait su profiter depuis si longtemps…

N° 1714 - Personne au monde... (Léopold Rémon)

3,74 €
Extrait : Quand Charles Bocham pénétra dans son bureau, le scribe indigène était déjà au travail. Le jeune homme bourra sa pipe, déplaça quelques dossiers, prit un roman policier. C'était vraiment un emploi de tout repos. L'employé maori se chargeait des paperasses et s'en tirait fort bien tout seul. Pourtant, le règlement prévoyait que le titulaire du poste devait être licencié en droit. Voilà pourquoi, depuis trois ans, Charles Bocham avait quitté la France. Trois ans ! Il avait débarqué à Tahiti comme Alice au pays des merveilles. C'était presque trop beau, trop colorié. L'air était trop doux, les parfums trop sucrés, la mer et le ciel trop bleus. Mais avec le temps, les couleurs s'étaient ternies, les parfums fanés. Aujourd'hui, Charles Bocham crevait d'ennui. Même la prochaine venue de sa fiancée ne parvenait pas à le tirer de sa lassitude. Le bateau, actuellement, devait franchir le canal de Panama. Il lui faudrait dix-huit jours avant de pénétrer dans la rade de Papeete. Ce délai parût soudain formidablement long à Charles Bocham, plus long que les trois années pendant lesquelles il avait attendu, tout d'abord, sa titularisation, constitué ensuite un petit pécule pour monter son ménage. A présent que le but était en vue, il se rendait compte qu'il n'en pouvait plus, que sa chair et son âme se refusaient à prolonger l'épreuve…
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