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  • Auteurs: Hilary Ford
  • Auteurs: Meg Aulnay
  • Auteurs: René-Paul Noël

N° 104 - Les noces secrètes (Hilary Ford)

3,54 €
Patrick Harley est-il de noble extraction ? Quand un beau jour de l'an 1876, il annonce à sa fille Arabella, dite Bella, qu'il est le « vrai » marquis de Kheilleagh, elle n'est point étonnée : elle sait que son père a toujours eu des prétentions nobiliaires, mais… ses revendications sont-elles fondées ? Elle ne le croit pas ! Il tient ces idées de sa mère, une servante irlandaise, qui aurait été séduite par un gentilhomme puis abandonnée alors qu'elle avait des espoirs de maternité… Le gentilhomme était mort peu après. Harley pense que son père et sa mère se sont mariés en secret. Pour en avoir le coeur net, il décide de se rendre à Kheilleagh (ouest de l'Irlande) et s'installe à l'hôtel avec sa fille. Chez le pasteur du village, il rencontre un jeune baronet, sir John Dungillis ; celui-ci conseille à la jeune fille de rentrer en Angleterre sans pus attendre. Si son père s'obstine dans ses recherches, la charmante Arabella ne pourrait-elle pas en souffrir ?

N° 3249 - L'Étoile de l'Oregon d'après le roman de Meg Aulnay

3,75 €
Samantha, partie de son Irlande natale à la recherche de travail, parvient en Oregon, le pays des séquoias millénaires, un paradis ! Après quelques vicissitudes qui n'entament pas son courage, elle finit par trouver un emploi qui lui plait. Un jour qu'elle conduit d'une main ferme la carriole de ses patrons, un jeune homme abime la voiture en la doublant inconsidérément avec son élégant tilbury. Il ose de surcroît, l'odieux personnage ! se moquer insolemment de la jolie rousse qu'il vient d'envoyer au fossé ! C'est Stephen Hamilton, le plus important propriétaire de la contrée : il est fiancé à Carole, une jeune aristocrate, aussi riche et ravissante qu'elle est méprisante. Samantha, qui ne possède rien, ne se montrerait-elle pas raisonnable en épousant David, l'instituteur qui lui témoigne de tendres sentiments ? Mais qu'a affaire la raison avec l'amour ? Or la jeune fille est tombée amoureuse de son ennemi, qui se révèle il est vrai, malgré son incorrigible ironie, l'homme le plus généreux qui soit. Alors, l'Irlandaise décide soudain de devenir quelqu'un, de réussir matériellement, à force de ténacité, de labeur, de risques aussi… L'ETOILE DE L'OREGON, le passionnant roman de Meg Aulnay, vous dira si Samantha, en même temps que son pari, parviendra à gagner l'amour de celui qu'elle aime.

N° 1644 - On peut rêver d'amour (René-Paul Noël)

4,92 €
Extrait : Quelqu'un dit : — C'est scandaleux !  Mais on ne l'écoutait pas. Sur le quai de la gare, un employé s'avançait et la foule des voyageurs bloqués à Saint-Sulpice se porta à sa rencontre dans un mouvement impétueux. Le cheminot ouvrit les bras d'un air désappointé : — Je vous en prie… On vient de me téléphoner : les dépôts sont en grève, aucune machine ne peut sortir. …

N° 1654 - Rendez-moi mon enfant (René-Paul Noël)

6,00 €
Extrait : Myrtille Lacaule s'était adossé à la cheminée et, le visage crispé, elle suivait le manège de Deschamps présentant Simone à ses amis. Mais quoi que fasse Myrtille, son regard revenait se poser sur sa rivale ! Ainsi c'était là la jeune fille qui lui avait ravi l'amour de Pierre. Avec la sévérité d'une femme jalouse, elle la jugeait insignifiante et fade…

N° 1715 - Fille du Canada (René-Paul Noël)

4,50 €
Extrait : Les chevaux étaient rassemblés dans un vaste enclos de perches, près d'un village dont on apercevait les fumées par-dessus le petit rideau de trembles. La journée était précieuse comme une opale. Des paysans endimanchés, Canadiens français ou Irlandais, se pressaient sur la place du marché. Des gosses criaient, des chiens aboyaient et le crincrin d'un violon rythmant une clogg-dance mettait sur le tout une joyeuse atmosphère de Kermesse. Jean Leclerc avait pris le bras de Pierre Daix, son vieux copain retrouvé. La bière et le Whisky aidant, les jeunes gens, entre deux éclats de rire, cédaient à l'attendrissement et évoquaient leur jeunesse — pas si lointaine ! — avec des : « Te souviens-tu… » qui introduisaient, dans leur conversation, un peu de la mélancolie des choses fanées. La foule s'ouvrait sur leur passage. Ce qui attirait surtout l'attention sur le couple, c'était le vêtement de Jean Leclerc, anachronique comme un gibus à la vitrine d'un chapelier. Les gosses, bouche bée, lui faisaient une escorte discrète, les jeunes  filles le regardaient avec une inlassable curiosité…
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