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  • Auteurs: Anne Claire
  • Auteurs: Hilary Ford
  • Auteurs: Roz Denny Fox

N° 104 - Les noces secrètes (Hilary Ford)

3,54 €
Patrick Harley est-il de noble extraction ? Quand un beau jour de l'an 1876, il annonce à sa fille Arabella, dite Bella, qu'il est le « vrai » marquis de Kheilleagh, elle n'est point étonnée : elle sait que son père a toujours eu des prétentions nobiliaires, mais… ses revendications sont-elles fondées ? Elle ne le croit pas ! Il tient ces idées de sa mère, une servante irlandaise, qui aurait été séduite par un gentilhomme puis abandonnée alors qu'elle avait des espoirs de maternité… Le gentilhomme était mort peu après. Harley pense que son père et sa mère se sont mariés en secret. Pour en avoir le coeur net, il décide de se rendre à Kheilleagh (ouest de l'Irlande) et s'installe à l'hôtel avec sa fille. Chez le pasteur du village, il rencontre un jeune baronet, sir John Dungillis ; celui-ci conseille à la jeune fille de rentrer en Angleterre sans pus attendre. Si son père s'obstine dans ses recherches, la charmante Arabella ne pourrait-elle pas en souffrir ?

N° 880 - Secrète Louisiane (Roz Denny Fox)

2,25 €
Les héritiers de Bellefontaine : Secrète Louisiane - Tome 2/3 A la mort de Duke Fontaine, riche planteur de Louisiane, ses enfants apprennent avec stupéfaction que leur père a eu autrefois un enfant secret, une fille avec qui ils vont devoir partager leur héritage… Aussitôt que leur demi-soeur apparaît sur le seuil de la maison, Jackson et Casey Fontaine comprennent qu’ils n’arriveront pas à se débarrasser d’elle aussi vite qu’ils le croyaient. Sourde à leurs insinuations, insensible à leurs attaques, Noelani est bien décidée à ne regagner Hawaii qu’après avoir touché l’argent que son père lui a légué. Ce qu’elle ignore encore, c’est que la plantation constitue à elle seule la totalité de l’héritage. Bientôt, la tentation de vivre sur le domaine de ses ancêtres devient plus forte que son désir de retourner dans son pays natal, et c’est l’amour enfin qui la décide à rester sur cette terre de Louisiane qui la fascine déjà.

N° 987 - Sept ans de secrets (Roz Denny Fox)

2,95 €
Belle, riche, issue d'une famille puissante, Mallory Forest offre l'image d'une femme comblée par la vie. Pourtant, une constante inquiétude la ronge : sa fille, Liddy Bea, souffre une malformation rénale et survit dans l'attente d'une greffe. Un jour, les événements se précipitent et il faut d'urgence trouver un donneur compatible. Vers qui se tourner, alors que Mallory a déjà épuisé toutes les solutions possibles ? Toutes les solutions — sauf une, à laquelle elle se trouve désormais acculée si elle veut sauver sa fille : retrouver le père de Liddy. Mais qu'est devenu Connor, complètement perdu de vue il y a sept ans, après leur violente rupture ? Et comment va-t-il prendre la nouvelle de sa paternité, lui à qui elle a délibérément caché sa grossesse et qui ignore jusqu'à l'existence de Liddy ? Portée par l'énergie du désespoir, Mallory repousse les questions et se lance à sa recherche.

N° 1656 - Je vous aime ! (Anne Claire)

3,74 €
Extrait : Eric Sauvage marchait lentement dans le petit square ombragé de vieux marronniers qui commençaient à se couvrir du brouillard vert des nouvelles feuilles. Il poussa du pied, à plusieurs reprises, un caillou rond comme du temps où il était petit garçon. Il se souvint soudain des gronderies de sa mère « Eric, Eric, je t'en supplie, tu m'uses toujours ton soulier droit deux fois plus vite que le gauche à cause de tes maudits cailloux !… Ne peux-tu voir à terre une pierre ou une vieille boîte sans la transformer en ballon de football, Eric ?… » Il sourit en lui-même à la chère image qui commençait à s'estomper. Ce rappel de sa mère lui réchauffa le coeur et lui rendit du courage. L'horloge du lycée sonna les trois quarts d'une heure. Des gamins passèrent près du jeune homme en se bousculant et en criant. Ils jetèrent leur cartable sur un banc et sortirent de leur poche un sac de billes. — Un quart d'heure encore avant le bahut, les vieux, on a le temps d'en faire une, cria le plus grand d'une voix éraillée de gamin qui s'égosille tout le jour…

N° 1647 - Une femme survint (Anne Claire)

3,05 €
Extrait : — Il me semble que j'entends battre la porte des chevaux. Crois-tu que Firmin l'ait fermée avant de monter se coucher ? — Je ne sais pas. Il n'oublie jamais, en général, mais il se peut que le vent l'ait rouverte. On dirait que tous les diables de l'enfer sont déchaînés ce soir. Tiens, les chevaux doivent sentir l'orage. Entends-tu la Blanche qui hennit. — Je crois que nous ferions bien d'aller voir et de vérifier si le poulailler est bien fermé, également. La nuit sera terrible. Depuis des années je n'ai vu un temps pareil ! Jean Michel se leva pesamment du fauteuil où il fumait sa pipe et se dirigea vers la porte. Son frère Robert se leva pour le suivre. Ils avaient tellement l'habitude de vivre ensemble, les deux « ours des Ronciers », comme on les appelait, que leurs mouvements avaient un synchronisme parfait. Jean ouvrit la porte qui donnait sur la terrasse et, tête baissé, résista en maugréant contre le vent…

N° 1692 - Douloureux problème (Anne Claire)

3,05 €
Extrait  : — Florence, appela une voix basse et impérieuse du fond de l'appartement, Florence où es-tu ? Une jeune femme mince et blonde qui se tenait devant la fenêtre et regardait les filles et les garçons en toilettes claires passer dans la rue, tressaillit comme si une main s'était posée sur son épaule. Elle repoussa brusquement les battants de la fenêtre. Il semblait qu'on venait de la surprendre en faute. — Je viens Régis, cria-t-elle. En traversant la pièce, elle s'arrêta devant un grand vase d'où jaillissaient des branches de lilas blanc et enfouit son visage dans les grappes fraîches et odorantes. Elle les respira avidement comme un prisonnier aspire l'air de la liberté. Du fond de l'appartement, la voix appela de nouveau : — Florence, j'ai besoin de toi, viens. La jeune femme se dirigea rapidement vers la chambre d'où venait l'appel. Dans un lit, face à lêa fentre, gisait un homme si ravagé par la souffrance et la maladie qu'il était difficile de lui donner un âge. Son visage était couleur de cire, ses yeux brillant de fièvre, s'enfonçaient profondément dans les orbites. Il respirait rapidement, avec peine…
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