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  • Auteurs: Hubert Ben Kemoun
  • Auteurs: Johannes Udhen
  • Auteurs: Maurice Bernard

Ma mère m'épuise (Hubert Ben Kemoun) - Le livre de poche N° 696

2,74 €
Mélusine est dans tous ses états : son petit ami, Bruno, vient de lui annoncer qu'il la quitte. Mais c'est compter sans sa mère, championne des déboires en tout genre ! Mélusine lui promet toujours de trouver une solution à ses problèmes. « Ma mère m'épuise », voilà le slogan que Mélusine pourrait écrire sur les murs de la ville, à la place des slogans racistes qui s'y trouvent. Mais quelqu'un d'autre a déjà pris la place… À partir de 12 ans

N° 254 - Claudia (Johannes Udhen)

2,95 €
Extrait : — Il fait une chaleur intolérable ! Et dire que tu as eu l'idée ridicule de venir ici et de choisir cette table en plein soleil, s'écria d'une voix acariâtre Mme Birkner, née von Castelat. — Une idée ridicule ! Vraiment ? Les enfants voulaient se baigner, toi aussi d'ailleurs, et vous trouvez qu'il y a trop de monde sur la plage et aux bains d'Undosa, tu te plains toujours de la chaleur ! Je ne connais pas à Starnberg d'autres lieux où l'on puisse se baigner. Mais si tu veux partir, cela m'est égal. Appelle les enfants, répondit M. Birkner exaspéré par les continuelles récriminations de son épouse. — Ah ! tu as le chic pour gâcher les vacances ! lui lança-t-elle, furieuse, en se levant pour aller à la recherche de ses filles. La mine renfrognée, Werner Birkner la suivit des yeux. Pour lui, une chose était certaine : ce n'était évidemment pas lui qui avait le « chic » pour gâcher les vacances !…

N° 230 - Le passé est mort (Maurice Bernard) - Yvonne DE CARLO en couverture

3,50 €
Le passé est mort Roman d'amour inédit par Maurice Bernard Extrait : — Une transfusion est nécessaire immédiatement, dit le professeur Malret, après qu'il eût examiné le blessé qui venait d'être transporté dans sa clinique. Celui-ci avait été trouvé chez lui, baignant dans une mare de sang, le poignet gauche portant la marque d'une entaille profonde par où s'était échappé la vie. Un coup de téléphone avait prévenu le service intéressé de la clinique de l'urgence du transport. Dans le portefeuille du jeune homme on avait trouvé ses papiers d'identité. Il s'appelait Jean Berty, 25 ans, demeurant rue Mercelis, pas très loin de la clinique. Sa carte portait comme profession : peintre. C'est tout ce qu'on savait de lui. Il était là, livide, sur la civière roulante. Aucun signe de vie ne se manifestait en lui. On l'aurait cru mort si les faibles pulsations qui se révélaient encore au pouls n'avaient prouvé le contraire…

N° 254 - Claudia (Johannes Udhen)

2,95 €
Extrait : — Il fait une chaleur intolérable ! Et dire que tu as eu l'idée ridicule de venir ici et de choisir cette table en plein soleil, s'écria d'une voix acariâtre Mme Birkner, née von Castelat. — Une idée ridicule ! Vraiment ? Les enfants voulaient se baigner, toi aussi d'ailleurs, et vous trouvez qu'il y a trop de monde sur la plage et aux bains d'Undosa, tu te plains toujours de la chaleur ! Je ne connais pas à Starnberg d'autres lieux où l'on puisse se baigner. Mais si tu veux partir, cela m'est égal. Appelle les enfants, répondit M. Birkner exaspéré par les continuelles récriminations de son épouse. — Ah ! tu as le chic pour gâcher les vacances ! lui lança-t-elle, furieuse, en se levant pour aller à la recherche de ses filles. La mine renfrognée, Werner Birkner la suivit des yeux. Pour lui, une chose était certaine : ce n'était évidemment pas lui qui avait le « chic » pour gâcher les vacances !…
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