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  • Auteurs: Hubert Ben Kemoun
  • Auteurs: K.N. Casper
  • Auteurs: Paul Claude

Ma mère m'épuise (Hubert Ben Kemoun) - Le livre de poche N° 696

2,74 €
Mélusine est dans tous ses états : son petit ami, Bruno, vient de lui annoncer qu'il la quitte. Mais c'est compter sans sa mère, championne des déboires en tout genre ! Mélusine lui promet toujours de trouver une solution à ses problèmes. « Ma mère m'épuise », voilà le slogan que Mélusine pourrait écrire sur les murs de la ville, à la place des slogans racistes qui s'y trouvent. Mais quelqu'un d'autre a déjà pris la place… À partir de 12 ans

N° 884 - Les amants du Mississippi (K. N. Casper)

2,25 €
Les héritiers de Bellefontaine : Les amants du Mississippi - Tome 3/3 A la suite des actes de malveillance dirigés contre le domaine de Bellefontaine et ses propriétaires, un suspect a été arrêté. Mais alors que Jackson Fontaine pense enfin être au bout de ses ennuis, un incendie détruit entièrement la raffinerie… Cette fois, les affaires des Fontaine sont au plus bas. Jackson, désespéré, se rend compte qu'il est impuissant à lutter contre les ennemis de la famille qui agissent dans l'ombre. Le doute alors l'assaille: est-il réellement capable de reprendre la succession de son père ? Et les autres membres du clan - sa tante, ses soeurs, ses beaux-frères, et Megan, sa petite fille âgée de cinq ans - ont-ils raison de lui faire confiance ? Le poids des responsabilités que lui impose Bellefontaine s'alourdit de jour en jour. D'autant qu'une nouvelle personne fait irruption dans sa vie : Lea Cargill, une jeune femme qui s'est installée depuis peu en Louisiane avec sa fille de six ans, et qui a bien besoin de protection contre son ex-mari, volage et joueur…

N° 942 - Une chance d'aimer encore (K.N. Casper)

2,25 €
Quand elle vient solliciter l’aide de Craig pour le financement et la gestion de sa future fondation, Kerry est consciente de son audace : c’est un peu fort, de frapper à la porte de Craig après l’avoir abandonné du jour au lendemain, malgré les promesses échangées… Mais ce que Craig ignore, c’est qu’elle s’est tout de suite mordu les doigts de son escapade irréfléchie. Seule l’angoisse qu’il la rejette l’a retenue de retourner se blottir très vite dans ses bras. A présent, elle est plus mûre, elle se sent suffisamment forte pour le reconquérir. La fondation ne serait-elle pas une passerelle magnifique vers un nouveau bonheur ? Tandis qu’elle lui présente son projet, il écoute froidement. Puis déclare : — J’accepte de m’associer avec toi. A cette condition : il ne sera question que d’argent entre nous. Ce n’est pas exactement une main tendue. Mais il vient, sans le savoir, d’offrir à Kerry la chance inespérée qu’elle est venue chercher...

N° 1180 - Cette femme et lui (Paul Claude)

3,74 €
Extrait : Une fois de plus, Paulette Dorsannes et sa fillette, Baby-Rose, achèvent seules leur souper ; la mère consulte le carillon et l'enfant qui comprend traduit : — Il est méchant, papa. La jeune femme secoue la tête, elle n'en peut plus, non ! depuis un an que cela dure… Cela avait commencé un soir d'octobre à la même date qu'aujourd'hui qui se trouvait être la neuvième année de son mariage avec Georges. Ce jour-là, Baby avait pris ses huit ans, sa mère l'avait comblée de cadeaux, mais elle avait été seule à l'embrasser, son père avait oublié la double fête des anniversaires. Et ce soir… neuf ans. Neuf ans écoulés, non sans nuages, mais avec de longues éclaircies qui autrefois faisaient oublier les jours gris de l'hiver. Baby-Rose serrait sur son coeur sa nouvelle poupée, cadeau de petite mère, mais elle lui racontait des choses tristes comme celle-ci : — Tu n'auras jamais de peine, toi ! Tu n'auras pas un méchant papa…

N° 1250 - Le retour du bonheur (Paul Claude)

3,74 €
Extrait : Cette fin d'après-midi de dimanche, dans la campagne beauceronne, était infiniment paisible. Aux ardeurs du soleil d'août succédait une heure délicieuse, de celles qui semblent suspendre la marche rapide du temps pour accorder une halte de silence et d'oubli à tout le créé. Assis à califourchon, Martin Dupuis, contemplait la nature. Le regard plongé par-delà la grande cour de ferme où picore la volaille, où les canards s'ébrouent au bord de la mare, il considère l'étendue des champs de betteraves dont les larges feuilles dessinent sur le sol leurs arabesques et, plus loin, à perte de vue, la vaste plaine blonde, immobile sous le ciel. Un ciel d'azur sans nuages, calme et serein comme la terre. Le fermier subit ces instants de magique beauté sans les comprendre peut-être de la même façon que celui dont le front a ignoré les sueurs du travail acharné, parfois ingrat, que réclame le sol ; mais il jouit dans son âme silencieuse, attachée à la chaîne qu'il a toujours connue, toujours aimée, qui est depuis longtemps devenue sa liberté…
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