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  • Auteurs: Anne Claire
  • Auteurs: Hubert Ben Kemoun
  • Auteurs: Kathryn Ross

Ma mère m'épuise (Hubert Ben Kemoun) - Le livre de poche N° 696

2,74 €
Mélusine est dans tous ses états : son petit ami, Bruno, vient de lui annoncer qu'il la quitte. Mais c'est compter sans sa mère, championne des déboires en tout genre ! Mélusine lui promet toujours de trouver une solution à ses problèmes. « Ma mère m'épuise », voilà le slogan que Mélusine pourrait écrire sur les murs de la ville, à la place des slogans racistes qui s'y trouvent. Mais quelqu'un d'autre a déjà pris la place… À partir de 12 ans

N° 2632 - Un homme à aimer (Kathryn Ross)

2,56 €
Alors qu'elle le croit mort depuis des années, Libby reconnaît un jour son père à la télévision, en la personne d'un célèbre acteur de cinéma. Dès lors, les questions se bousculent dans la tête de la jeune femme. Pourquoi sa mère lui a-t-elle menti ? Et pourquoi son père n'a-t-il jamais cherché à la revoir depuis le jour où il a disparu ? Bien déterminée à comprendre ce qui s'est passé, Libby s'envole pour Cannes où son père s'est installé. Mais un obstacle de taille se dresse bientôt sur son chemin : le beau et séduisant Marc Clayton, l'agent qui gère la carrière de son père et qui ne voit en elle qu'une créature cupide, uniquement intéressée par la fortune d'un père à présent richissime...

N° 1656 - Je vous aime ! (Anne Claire)

3,74 €
Extrait : Eric Sauvage marchait lentement dans le petit square ombragé de vieux marronniers qui commençaient à se couvrir du brouillard vert des nouvelles feuilles. Il poussa du pied, à plusieurs reprises, un caillou rond comme du temps où il était petit garçon. Il se souvint soudain des gronderies de sa mère « Eric, Eric, je t'en supplie, tu m'uses toujours ton soulier droit deux fois plus vite que le gauche à cause de tes maudits cailloux !… Ne peux-tu voir à terre une pierre ou une vieille boîte sans la transformer en ballon de football, Eric ?… » Il sourit en lui-même à la chère image qui commençait à s'estomper. Ce rappel de sa mère lui réchauffa le coeur et lui rendit du courage. L'horloge du lycée sonna les trois quarts d'une heure. Des gamins passèrent près du jeune homme en se bousculant et en criant. Ils jetèrent leur cartable sur un banc et sortirent de leur poche un sac de billes. — Un quart d'heure encore avant le bahut, les vieux, on a le temps d'en faire une, cria le plus grand d'une voix éraillée de gamin qui s'égosille tout le jour…

N° 1647 - Une femme survint (Anne Claire)

3,05 €
Extrait : — Il me semble que j'entends battre la porte des chevaux. Crois-tu que Firmin l'ait fermée avant de monter se coucher ? — Je ne sais pas. Il n'oublie jamais, en général, mais il se peut que le vent l'ait rouverte. On dirait que tous les diables de l'enfer sont déchaînés ce soir. Tiens, les chevaux doivent sentir l'orage. Entends-tu la Blanche qui hennit. — Je crois que nous ferions bien d'aller voir et de vérifier si le poulailler est bien fermé, également. La nuit sera terrible. Depuis des années je n'ai vu un temps pareil ! Jean Michel se leva pesamment du fauteuil où il fumait sa pipe et se dirigea vers la porte. Son frère Robert se leva pour le suivre. Ils avaient tellement l'habitude de vivre ensemble, les deux « ours des Ronciers », comme on les appelait, que leurs mouvements avaient un synchronisme parfait. Jean ouvrit la porte qui donnait sur la terrasse et, tête baissé, résista en maugréant contre le vent…

N° 1692 - Douloureux problème (Anne Claire)

3,05 €
Extrait  : — Florence, appela une voix basse et impérieuse du fond de l'appartement, Florence où es-tu ? Une jeune femme mince et blonde qui se tenait devant la fenêtre et regardait les filles et les garçons en toilettes claires passer dans la rue, tressaillit comme si une main s'était posée sur son épaule. Elle repoussa brusquement les battants de la fenêtre. Il semblait qu'on venait de la surprendre en faute. — Je viens Régis, cria-t-elle. En traversant la pièce, elle s'arrêta devant un grand vase d'où jaillissaient des branches de lilas blanc et enfouit son visage dans les grappes fraîches et odorantes. Elle les respira avidement comme un prisonnier aspire l'air de la liberté. Du fond de l'appartement, la voix appela de nouveau : — Florence, j'ai besoin de toi, viens. La jeune femme se dirigea rapidement vers la chambre d'où venait l'appel. Dans un lit, face à lêa fentre, gisait un homme si ravagé par la souffrance et la maladie qu'il était difficile de lui donner un âge. Son visage était couleur de cire, ses yeux brillant de fièvre, s'enfonçaient profondément dans les orbites. Il respirait rapidement, avec peine…

N° 2221 - Un parfum d'innocence (Kathryn Ross)

2,56 €
Avec une grande ferme à exploiter et deux petits enfants à charge, Ethan Langston ne sait plus où donner de la tête. Et comme si sa vie n'était pas assez compliquée, voilà que son plus fidèle client, Francis Bernards, pose une condition au contrat sur lequel il comptait absolument ! Contrarié, Ethan est également perplexe, car la clause en question porte sur la propre fille de Francis, Zoë... Installée à Londres, cette jeune femme indépendante donne bien du souci à son père : il s'inquiète de ses fréquentations et voudrait l'éloigner d'un petit ami qu'il pense être un escroc. Aussi Ethan ne pourrait-il lui rendre service et embaucher Zoë - en toute discrétion - pour quelques semaines comme aide à domicile ? Mis au pied du mur, Ethan se montre hésitant : certes, il aurait bien besoin de renfort à la maison... Mais comment cette jeune citadine, probablement trop sophistiquée pour être débrouillarde, pourrait-elle lui être d'une quelconque utilité ?

N° 2532 - Un trop séduisant voisin (Kathryn Ross)

2,56 €
Lorsqu’elle découvre la petite maison du sud de la France que lui a léguée son vieil ami Murdo, Caitlin déchante aussitôt. Il faut dire que la propriété en question n’a rien du ravissant mas provençal qu’elle s’est imaginé ! Au contraire, la vieille bâtisse est délabrée, éloignée de tout et même dépourvue d’électricité… Mais cette mauvaise surprise n’est rien en comparaison de l’accueil que lui réserve Léo Pascal, son plus proche voisin, qui ne cache pas son hostilité à son égard. En effet, celui-ci, propriétaire de la somptueuse villa jouxtant la sienne, est convaincu que la jeune femme a manipulé Murdo pour hériter de sa maison… et veut la faire partir en lui rachetant son bien coûte que coûte. Mais pour Caitlin, il n’est pas question de céder à la pression de Léo Pascal… aussi puissant et séduisant soit-il !
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