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  • Auteurs: Hubert Ben Kemoun
  • Auteurs: Jean Vignaud
  • Auteurs: Monique Ponty

Ma mère m'épuise (Hubert Ben Kemoun) - Le livre de poche N° 696

2,74 €
Mélusine est dans tous ses états : son petit ami, Bruno, vient de lui annoncer qu'il la quitte. Mais c'est compter sans sa mère, championne des déboires en tout genre ! Mélusine lui promet toujours de trouver une solution à ses problèmes. « Ma mère m'épuise », voilà le slogan que Mélusine pourrait écrire sur les murs de la ville, à la place des slogans racistes qui s'y trouvent. Mais quelqu'un d'autre a déjà pris la place… À partir de 12 ans

N° 2.748 - Ursula (Monique Ponty)

7,95 €
Octobre 1944. Les enfants des départements les plus exposés sont évacués en Suisse. Monique, 12 ans, est accueillie dans une famille inconnue. Nouvelles habitudes, nouveau langage, le dépaysement est complet… Mais il y a Ursula, la petite fille de la maison ! Bien vite les enfants sympathisent et c'est une vie pleine de péripéties, d'imprévus, de découvertes qui commence pour Monique. Laissons-lui la parole…

L'inconnu de la Proiselière (Monique Ponty)

2,56 €
Que faire quand on est l'unique témoin d'un crime incroyable ? Comment réagir alors que l'assassin vous a vu et menacé ?  Une seule solution s'impose au garçon : partir… Partir en catastrophe, s'éloigner du lieu maudit, fuir la vision de cauchemar.  Mais comment survivre seul, à 13 ans, au coeur de l'hiver, sans abri et sans but ? 

La maison du maltais (Jean Vignaud) - Collection Gründ illustrée N° 16

4,50 €
Extrait : Chapitre VII Le matin jeta dans la rue un autre Matteo, un Matteo impatient, qui, dans sa hâte de se mettre au travail, bouscula sans le reconnaître le fumigateur dont l'encens parfumé de benjoin distribue, pour la semaine, du bonheur dans chaque maison. Franchie la Porte de la mer, il enleva ses sandales pour courir plus vite vers le quai aux phosphates. Il avait suffi d'une nuit d'amour pour opérer ce miracle. Jamais Matteo n'avait connu semblables délices ; certains mots l'exaltaient encore comme si Safia eût été présente. Lui, pauvre portefaix, avait été salué par cette beauté des îles comme un prophète « Ia Robbi, Ia Allah, ô mon maître, ô mon Dieu ! » Safia entre ses bras avait soupiré ces paroles, le corps palpitant comme celui d'un pigeon qu'on étouffe. Et c'est pour réentendre ces mots, ces soupirs, qu'il lui fallait de l'argent. Il voulait, tout comme les notables qui cachaient des fortunes derrière leurs haies de tabias, dans la banlieue sfaxienne, pouvoir parer sa maîtresse, l'étourdir de cadeaux. Fini, désormais, le temps où Matteo musait d'une barque à l'autre, criblant de ses quolibets Maltais et Siciliens ; finies, les flâneries chez Gordina, les siestes sur le sable chaud du chenal. Tout cela était le passé, un cadavre que Safia avait piétiné de ses petits talons marqués de henné…
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