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  • Auteurs: Gérard Harry
  • Auteurs: Hubert Ben Kemoun
  • Auteurs: Suzanne Masson

Ma mère m'épuise (Hubert Ben Kemoun) - Le livre de poche N° 696

2,74 €
Mélusine est dans tous ses états : son petit ami, Bruno, vient de lui annoncer qu'il la quitte. Mais c'est compter sans sa mère, championne des déboires en tout genre ! Mélusine lui promet toujours de trouver une solution à ses problèmes. « Ma mère m'épuise », voilà le slogan que Mélusine pourrait écrire sur les murs de la ville, à la place des slogans racistes qui s'y trouvent. Mais quelqu'un d'autre a déjà pris la place… À partir de 12 ans

N° 147 - L'étrangère (Suzanne Masson)

24,90 €
Les deux jeunes voyageuses franchirent la grille du domaine des « Vieilles Roches » et, sur la dernière marche du perron, elles échangèrent un long regard bouleversé. La plus petite chuchota : — Je t’en supplie, Karline, prends la lettre et sonne. — Jamais ! C’est à toi que cela incombe ! Après tout, n’es-tu pas chez toi ? Ces quelques mots donnèrent un regain de courage à Ingrid. — Nous voudrions voir M. Pierre Lemercier. dit-elle à la vieille servante venue ouvrir. — Vous vous moquez j’imagine ! Notre maître est mort depuis trois ans… Voyant le regard affolé des jeunes filles elle ajouta : — Vous pourriez peut-être vous adresser à son fils ? Entrez, je préviens M. Olivier tout de suite. Ingrid tendit l’enveloppe cachetée au grand jeune homme qui venait d’apparaître. Il ne connaissait pas cette Eva Grützer, de Stuttgart… Et voici que son père avait eu un secret !… Ingrid était sa soeur !… Qu’allait-il faire ?… Que dirait sa mère ? Et la tante Annonciade, et Mlle Dorget, sa fiancée ? Ces deux « indésirables » auraient-elles place au foyer ?

N° 230 - Les petits émigrés belges en France (Gérard Harry)

7,50 €
10 Gravures Extrait : CRUELLE SEPARATION - « Les enfants dorment ? — Oui, tous les deux. Et ils dorment comme s'ils avaient bien dîné, les chers petiots. Ce n'est pourtant pas le cas ! — Ils mangeront mieux dans quelques jours, va. — Alors tu es toujours décidé à cette cruelle séparation ? — Plus que jamais ! » Ce dialogue échangé, les époux Gilbert demeurent silencieux. Ils sont assis près de la table sur laquelle ils ont pris leur triste repas, car l'on y voit encore la moitié d'un pain, couleur chocolat, et qui semble moisi. Une petite lampe éclaire les visages amaigri et soucieux de ces braves gens qui viennent d'endurer trois années des privations les plus dures et des plus odieux traitements au milieu des baïonnettes allemandes.
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