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Il y a 3 produits.

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  • Auteurs: Hubert Ben Kemoun
  • Auteurs: Marcelle de Morthone
  • Auteurs: W.S. Foord

N° 412 - Un amour à la dérive (W.S. Foord)

3,95 €
La sympathique Stanley Baker, membre de l'équipe de sauvetage dont s'enorgueillit le petit port britannique de Haven Bay, éprouve un tendre penchant pour Marjorie Foster, la jolie institutrice. Mais la jeune fille se considère comme fiancée à Tommy Carr, habitant d'un port voisin ; il doit incessamment revenir d'Ostende pour présenter Marjorie à ses parents. Voici qu'une terrible tempête se déchaîne : le bateau qui ramène Tommy est perdu en mer. Stanley se porte aussitôt au secours des hommes en détresse : Tommy n'est point parmi les rescapés ! En revanche, y figurent Stott, un dévoyé, et sa complice, Millie, qui vont terroriser Haven Bay. Marjorie devient l'otage de Millie qui lui fait de curieuses révélations : Tommy Carr n'est pas allé à Ostende mais à Londres… A-t-il menti pour cacher une escapade sentimentale ? Accablée, prisonnière, la jeune institutrice ne peut imaginer le dénouement de la situation… !

Ma mère m'épuise (Hubert Ben Kemoun) - Le livre de poche N° 696

2,74 €
Mélusine est dans tous ses états : son petit ami, Bruno, vient de lui annoncer qu'il la quitte. Mais c'est compter sans sa mère, championne des déboires en tout genre ! Mélusine lui promet toujours de trouver une solution à ses problèmes. « Ma mère m'épuise », voilà le slogan que Mélusine pourrait écrire sur les murs de la ville, à la place des slogans racistes qui s'y trouvent. Mais quelqu'un d'autre a déjà pris la place… À partir de 12 ans

N° 1162 - Le triomphe de la jeunesse (Marcelle de Morthone)

3,05 €
Extrait : Dans le silence du vaste bureau, la sonnerie grêle du Morse retentit tout à coup. Une adolescente, tapie dans l'angle de la fenêtre, sombre silhouette disparaissant presque derrière un journal déplié, se redressa. — Ne vous dérangez pas, mademoiselle Cardonne… Je suis debout… dit une voix. L'interpellée se laissa retomber sur la chaise basse et replia le journal d'un geste nerveux, en levant sur son interlocutrice de grands yeux que la pupille d'un noir de jais remplissait presque. Le visage, d'un ovale parfait avait naturellement cette couleur mate obtenue par les élégantes grâce au concours savant des parfumeurs à la mode et la bouche un peu grande, mais au pur dessin, était du rouge foncé des cerises bien mûres. L'expression enfantine de cette bouche contrastait singulièrement avec le regard, un peu regard de femme qui semblait voir loin dans les âmes…
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