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  • Auteurs: Barbara Sydney
  • Auteurs: Hubert Corbin
Droit de traque (Hubert Corbin) - Le livre de poche N° 17132
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Droit de traque (Hubert Corbin) - Le livre de poche N° 17132

2,15 €
« T'es pas au vingtième siècle mon gars, t'es à Haydenton. » Lorsque Rice, arrêté pour un délit mineur dans ce trou perdu de l'Ouest des États-Unis, entend cette phrase, il comprend qu'il s'est mis dans de sales draps. On n'aime guère les étrangers à Haydenton. Surtout s'ils sont noirs et un peu dealers. L'atmosphère est d'autant plus électrique qu'une mauvaise nouvelle vient de tomber : l'interdiction de la chasse au mouflon est reconduite pour un an afin de protéger l'espèce. Aussi, lorsqu'un meurtre est commis dans la petite ville, pour les inconditionnels de la meute et du gibier, c'est l'occasion ou jamais. Car il y a là un coupable tout désigné et une sacrée partie de chasse en perspective...

Domino N° 4 - Le matador bien aimé (Barbara Sydney)

5,95 €
Extrait : Les chapeaux et les mantilles volèrent dans l'arène, les applaudissements et les ovations jaillirent des gradins comme des bouquets multicolores de feux d'artifice. Un vrai délire s'était emparé des spectateurs et des spectatrices dont on sentait les nerfs mis à vif dans une surexcitation du regard et de l'âme qui les livrait à des transports fous. José Cazilla, le toréador à qui s'adressaient ces ovations enthousiastes, s'avança de sa démarche souple et balancée comparable à celle d'un danseur chorégraphe, vers la loge du Président à qui il allait remettre, selon la tradition, l'oreille du taureau qu'il venait de tuer en faisant preuve d'une audace et d'une témérité jusque-là encore inégalées. C'était là la suprême récompense que l'on pouvait donner à un matador et les vieux amateurs de corridas  affirmaient qu'ils n'avaient jamais vu une aussi remarquable démonstration…

Domino N° 4 - Le matador bien aimé (Barbara Sydney)

2,90 €
Extrait : Les chapeaux et les mantilles volèrent dans l'arène, les applaudissements et les ovations jaillirent des gradins comme des bouquets multicolores de feux d'artifice. Un vrai délire s'était emparé des spectateurs et des spectatrices dont on sentait les nerfs mis à vif dans une surexcitation du regard et de l'âme qui les livrait à des transports fous. José Cazilla, le toréador à qui s'adressaient ces ovations enthousiastes, s'avança de sa démarche souple et balancée comparable à celle d'un danseur chorégraphe, vers la loge du Président à qui il allait remettre, selon la tradition, l'oreille du taureau qu'il venait de tuer en faisant preuve d'une audace et d'une témérité jusque-là encore inégalées. C'était là la suprême récompense que l'on pouvait donner à un matador et les vieux amateurs de corridas  affirmaient qu'ils n'avaient jamais vu une aussi remarquable démonstration…
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