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  • Auteurs: Barbara Sydney
  • Auteurs: Ingo Siegner

POMINO PIMENTO et les méchants pirates (Ingo Siegner)

2,74 €
Pomino Pimento, le petit dragon souffleter, et sa copine Mathilda se rendent sur l'île aux Tortues. En chemin, ils croisent un bateau pirate. C'est celui du cruel Jimmy le Borgne ! Mais les deux amis ne se méfient pas… et, bientôt, ils se retrouvent aux fers, prisonniers en fond de cale ! Comment sortir de cette galère ? Dès 6 ans.

Domino N° 4 - Le matador bien aimé (Barbara Sydney)

5,95 €
Extrait : Les chapeaux et les mantilles volèrent dans l'arène, les applaudissements et les ovations jaillirent des gradins comme des bouquets multicolores de feux d'artifice. Un vrai délire s'était emparé des spectateurs et des spectatrices dont on sentait les nerfs mis à vif dans une surexcitation du regard et de l'âme qui les livrait à des transports fous. José Cazilla, le toréador à qui s'adressaient ces ovations enthousiastes, s'avança de sa démarche souple et balancée comparable à celle d'un danseur chorégraphe, vers la loge du Président à qui il allait remettre, selon la tradition, l'oreille du taureau qu'il venait de tuer en faisant preuve d'une audace et d'une témérité jusque-là encore inégalées. C'était là la suprême récompense que l'on pouvait donner à un matador et les vieux amateurs de corridas  affirmaient qu'ils n'avaient jamais vu une aussi remarquable démonstration…

Domino N° 4 - Le matador bien aimé (Barbara Sydney)

2,90 €
Extrait : Les chapeaux et les mantilles volèrent dans l'arène, les applaudissements et les ovations jaillirent des gradins comme des bouquets multicolores de feux d'artifice. Un vrai délire s'était emparé des spectateurs et des spectatrices dont on sentait les nerfs mis à vif dans une surexcitation du regard et de l'âme qui les livrait à des transports fous. José Cazilla, le toréador à qui s'adressaient ces ovations enthousiastes, s'avança de sa démarche souple et balancée comparable à celle d'un danseur chorégraphe, vers la loge du Président à qui il allait remettre, selon la tradition, l'oreille du taureau qu'il venait de tuer en faisant preuve d'une audace et d'une témérité jusque-là encore inégalées. C'était là la suprême récompense que l'on pouvait donner à un matador et les vieux amateurs de corridas  affirmaient qu'ils n'avaient jamais vu une aussi remarquable démonstration…
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