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Il y a 7 produits.

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  • Auteurs: Iris Danbury
  • Auteurs: Philippe Jean
  • Auteurs: Pierre Salva

N° 302 - La coupe du bonheur (Iris Danbury)

2,95 €
Extrait : Barbara Challon se sentait mal à l'aise. Pourquoi avait-elle éprouvé le besoin de mentionner les origines autrichiennes de sa grand-mère ? Elle connaissait pourtant l'impulsivité de Gina ! Elle jeta un rapide coup d'oeil rapide à sa demi-soeur qui conduisait la petite voiture verte, un sourire sur les lèvres. — Tu ne peux traverser l'Autriche sans rendre visite à cette branche de ta famille, insista Gina. Tu n'auras peut-être jamais l'occasion de revenir dans ce pays. — Ils ne savent même pas que j'existe. — Raison de plus pour te manifester. Parle-moi encore de grand-mère et de ce mariage romantique. Barbara soupira. — Que veux-tu que je te raconte ? Je t'ai dit qu'elle était autrichienne et qu'elle s'était enfuie de chez elle pour épouser mon grand-père paternel qui, lui, était anglais. Je ne les ai connus ni l'un ni l'autre…

N° 3078 - La Fontaine des Amours (Clarence May) - Le diable est mort (Pierre Salva)

4,50 €
Encarts Lecture BS 3078 à détacher La Fontaine des Amours d'après le roman de Clarence May Revenant après une longue absence vers son village natal, Onellia s'arrête à Rome, au pied de « La Fontaine des Amours », et, surprise autant que lui, y rencontre Fabrizzio della Rebbia, un garçon de son pays, qu'elle n'avait plus vu depuis une dizaine d'années. Après le départ d'Onellia, ce dernier avait épousé une Américaine, morte il y a deux ans. Il vit maintenant dans une très belle propriété, à peu de distance de la demeure du père d'Onellia, avec Fiorella, sa fille de huit ans, et son jeune frère Alberto, bossu, mais qui possède des dons certains pour le dessin. Comme Onellia est aussi peintre, l'adolescent sera vite attiré vers la jeune fille, tandis que le coeur de celle-ci se met à battre pour Fabrizzio. Le diable est mort d'après le roman policier de Pierre Salva.

Le diable et son train électrique d'après le roman policier de Pierre Salva

2,90 €
Extrait : Lorsque Jean descendit du TGV dans la vieille gare de Lyon-Brotteaux, personne ne l'attendait, du moins, il le supposait. Quand il avait téléphoné au notaire chargé de régler la succession de son père, il lui avait indiqué son heure d'arrivée, mais il avait ajouté qu'il se débrouillerait seul puisqu'il connaissait Lyon comme sa poche. Et soudain, Charles, son frère aîné, fut devant lui…

N° 3311 - Le bal de Mexico (Laurie Verlay) - Quand le diable ricane (Pierre Salva)

4,50 €
Encarts Lecture BS 3311 à détacher Extraits  : Le bal de Mexico  d'après le roman de Laurie Verlay L'année finissait en beauté, par un froid vif, sous un ciel clair… Florence soupira et traversa le pont Alexandre III. Pour la première fois, elle allait passer ces heures de fête sans réveillon, sans visage ami ou aimé près d'elle. Comme elle s'engageait dans l'avenue Franklin Roosevelt, les réverbères s'allumèrent. Des guirlandes d'ampoules électriques brillèrent sur les branches des arbres bordant les Champs-Elysées… Quand le diable ricane  d'après le roman policier de Pierre Salva Adrien avait résolu de passer a nuit sur le voilier, ancré à deux cents mètres de la rive… Patrice pourrait donc rester un peu, après le départ des autres invités. A cette pensée, Sabine sentit une brusque chaleur l'envahir. Pour la première fois, à quarante ans, elle comprenait pleinement le sens de l'expression populaire : « avoir quelqu'un dans la peau »…

N° 1689 - Une femme unique (Philippe Jean)

4,15 €
Extrait : La nuit était douce. Une brise très légère venait de la mer, juste assez fraîche pour chasser la chaleur accumulée par le sol et les pierres de la villa durant toute une journée ensoleillée sous le ciel sans nuages, de la Côte d'Azur. Marie-Elise et Geneviève avaient mis, sur leurs épaules nues, l'une un châle, l'autre une veste de flanelle. Seule Nora gardait sa tenue de plage. …

N° 1659 - Coeur de pierre (Philippe Jean)

3,74 €
Extrait : Dans tout le village de Brauvoy, on ne voyait que deux lumières en dehors de l'immense clarté qui venait de la place du Marché. C'étaient deux petits lumignons jaunes et tristes : l'un à la ferme des Furet, l'autre dans la maisonnette des Digard. Tous les autres foyers étaient obscurs, car la foule des villageois s'était répandue ce soir-là dans les rues, sur la route, dans les cabarets avoisinant la place où avait lieu le bal. La jeunesse s'en donnait à coeur joie au son d'un orchestre infatigable, tandis que les marmots contemplaient cette agitation avec extase, les doigts dans le nez, ou se poursuivaient à grands cris parmi les couples qu'ils bousculaient. Les jeunes mères étaient assises sous les arbres du mail vaguement éclairés par les derniers reflets des lampes du bal ; elles serraient contre elles leurs enfants endormis, mais elles n'auraient pas voulu être exclues de la fête où, l'année précédente, nombre d'entre elles, encore légères, avaient dansé…

N° 1712 - Prisonnière de son destin (Philippe Jean)

4,50 €
Extrait : — Atelier Didier Dyon ? répéta la concierge. Septième, face. — Merci, madame… Munie du renseignement, Régine attaqua l'escalier, puis sonna… au premier étage. C'était ainsi qu'elle s'y prenait pour forcer le barrage : quand on fait du « porte à porte », le plus dur est de s'introduire dans l'immeuble : aussi relevait-elle dans l'annuaire  le nom d'un locataire qui servait de Sésame ouvre-toi vis-à-vis de la concierge ; et une fois dans la place, elle visitait, un à un, tous les appartements de la maison. Le « truc » n'est pas infaillible. Ainsi, ce matin, depuis que, descendue au métro Montparnasse, elle avait entamé, par en haut, la rue de Rennes, cela n'avait pas encore réussi une seule fois : ou le locataire-clé avait déménagé, ou il était mort, ou il venait de sortir, ou il était en voyage… ou c'était le concierge qui, comme le signalait un écriteau, était « dans l'escalier », et risquait, par conséquent, d'éventer le subterfuge et de chasser, honteusement celle qui cherchait à enfreindre l'interdiction (affichée partout) « aux représentants » et démonstrateurs de pénétrer dans l'immeuble ». Donc, Régine avait essuyé toute une série d'échecs avant d'être, enfin, en mesure de prendre contact avec d'éventuels clients…
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