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Il y a 3 produits.

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  • Auteurs: Jackie Merritt
  • Auteurs: Jacques Orbières
  • Auteurs: Jean de Fervacques

Un secret en danger (Ernest Fornel) - Collection Printemps Recueil N° 37

12,00 €
Recueil de 6 romans complets - Un secret en danger (Ernest Fornel) : N° 217 paru en 1937, - L'aire des aiglons (Jean de Fervacques) : N° 218 paru en 1937, - Tôt ou tard (Michel Dorlys) : N° 219 paru en 1937, - La maison cernée (Claude Renaudy) : N° 220 paru en 1937, - Sports d'hiver (Thérèse Bernardis) : N° 221 paru en 1937, - Rose-des-vents (Maria de Crisenoy) : N° 222 paru en 1937.

N° 1176 - Trop beau pour être honnête (Jackie Merritt)

2,95 €
La vive et jolie Gus a un diminutif de garçon, un travail de garçon mais, face à l'irrésistible et dangereux Cash Saxon, elle est la plus vulnérable des femmes. En effet, Cash use de toutes les armes de sa séduction naturelle — et Dieu sait s'il en a — pour manoeuvrer contre Gus et l'évincer de l'exploitation forestière dont il voudrait reprendre la direction exclusive. Du moins, est-ce ainsi que la jeune femme voit les choses dans ses moments les plus noirs... Mais dès qu'elle se retrouve dans le lit de Cash, dans ses bras, elle peint la vie en rose… Alors, comment choisir entre l'illusion du bonheur et la certitude de la trahison ; ou entre la certitude du bonheur et l'illusion de la trahison ? Cash est-il vraiment trop beau pour être honnête ?

N° 1145 - Le bonheur par le devoir (Jacques Orbières)

3,74 €
Extrait : — Alors, c'est dit, Paul, tu quittes tantôt ton agence d'où j'ai tant de mal à te sortir, et tu me consacres cette belle après-midi. Et coquette, gentille, Louise posait ses deux mains sur les épaules de son mari, certaine qu'il accepterait. Paul Berliet sourit à sa femme et fit enfin oui de la tête. Louise battit des mains. — Bravo !… La belle journée !… Nous irons ensemble faire un grand tour au Bois, comme deux amoureux. Vite, je m'habille. Paul quitta le fauteuil où il était assis et se promena un instant, le front barré par ses réflexions, tandis que sa femme, légère comme un oiseau, disparaissait du salon. Elle y revint un moment après, ayant fait rapidement sa toilette pour sortir. Elle était charmante, simple, pleine d'élégance et de goût. Paul la contempla un instant, puis ouvrit ses bras et la serra tendrement contre lui. — Ma chère, chère Louise ! murmura-t-il…
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