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  • Auteurs: Jackie Merritt
  • Auteurs: Louis Noël
  • Auteurs: Marcel Aymé

Les bottes de sept lieues et autres nouvelles (Marcel Aymé) - Folio Junior N° 150

2,56 €
Les bottes de sept lieues et autres nouvelles (Marcel Aymé) Les bottes de sept lieues -A et B - Le proverbe A l'école, Antoine fait partie d'une bande. Un soir, en jouant un peu trop violemment, les enfants se blessent. Bras et jambes fracturés, ils se retrouvent à l'hôpital. Tout cela par la faute des « bottes de sept lieues » la merveille d'une vitrine d'un curieux magasin de la ville. Tous les enfants rêvent de ces bottes, chacun voudrait pouvoir les acheter. Mais Antoine est très pauvre. Peut-être n'est-ce pas ce qui compte le plus…

N° 1176 - Trop beau pour être honnête (Jackie Merritt)

2,95 €
La vive et jolie Gus a un diminutif de garçon, un travail de garçon mais, face à l'irrésistible et dangereux Cash Saxon, elle est la plus vulnérable des femmes. En effet, Cash use de toutes les armes de sa séduction naturelle — et Dieu sait s'il en a — pour manoeuvrer contre Gus et l'évincer de l'exploitation forestière dont il voudrait reprendre la direction exclusive. Du moins, est-ce ainsi que la jeune femme voit les choses dans ses moments les plus noirs... Mais dès qu'elle se retrouve dans le lit de Cash, dans ses bras, elle peint la vie en rose… Alors, comment choisir entre l'illusion du bonheur et la certitude de la trahison ; ou entre la certitude du bonheur et l'illusion de la trahison ? Cash est-il vraiment trop beau pour être honnête ?

N° 32 - Mademoiselle de Sérances (Louis Noël)

8,00 €
Extrait : Dix heures venaient de sonner au cartel du grand salon ; la porte donnant dans la salle à manger s'ouvrit et le maître d'hôtel annonça : — Mademoiselle est servie. — Vite à table, Mesdames, dit joyeusement le comte Hubert de Sérances en offrant le bras à la vieille tante Euphrosine, il faut qu'à onze heures nous soyons en selle. J'espère vous présenter tout à l'heure un gaillard capable de nous faire voir du pays. Le comte, secondé par sa fille Françoise depuis la mort de sa femme, recevait comme on ne reçoit plus guère auourd'hui, souvent parce qu'on ne peut pas, quelquefois parce qu'on ne veut pas s'en donner la peine. Au centre de la table trônait sur un vaste plat d'argent une énorme hure de sanglier toute bardée de truffes. Tout autour s'arrondissait une jonchée de chrysanthèmes pourpre et chamois, couleurs de l'équipage ; parmi les fleurs galopait toute une meute en biscuit de Sèvres. Devant chaque convive une série de quatre verres s'emplissait peu à peu de vins couleur de topaze ou de rubis ; seul le maître de maison ne buvait que de l'eau…
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