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  • Auteurs: Jacqueline Cervon
  • Auteurs: Marguerite Soleillant
Benoît, l'arbre et la lune - Jacqueline Cervon - Rouge et Or Dauphine N° 258
  • Nouveau

N° 258 - Benoît, l'arbre et la lune (Jacqueline Cervon)

4,94 €
Benoît à sept ans, il passe ses vacances dans un village du Morvan chez Bipépi, son arrière-grand-père. Benoît et Bipépi sont très amis : celui-ci offre à l'enfant pour son anniversaire un album de photos, destiné à recevoir les portraits des membres de « sa famille ». Mais voilà, Benoît doit trouver lui-même ces portraits là ou Bipépi les a cachés… Quelle passionnante course au trésor pour le petit garçon ! Pour faciliter sa tâche, Bipépi conte à Benoît une courte histoire sur chacun. Comme il est amusant alors de l'élancer dans la campagne muni des précieux indices ! Une idée très originale qui séduira les petits, et leurs aînés !

Corinne l'aventureuse (Marguerite Soleillant)

12,00 €
Extrait : Chapitre I : LA MAISON DES BRODEUSES Sous le feuillage d'un grand frêne, à l'écart du village, il y avait la maison des brodeuses. Elle était petite cette maison et basse sous son toit de tuiles brunes où des plaques de mousse posaient leur éclat d'or. A côté de la porte une large fenêtre brillait de tous ses carreaux, derrière un pot de géranium en fleurs. Dans le pignon, sur le rebord de l'autre fenêtre plus étroite, était posée une cage de chardonnerets. Les chardonnerets pépiaient dans leur prison ; le vent chantait aux branches du frêne. Le soleil marquait 5 heures au-dessus de la montagne. La porte s'ouvrit. Menue dans sa robe de bure bien froncée à la taille, un pli d'inquiétude au front, une vieille femme s'avança sur la marche du seuil. Elle abrita  ses yeux avec sa main pour fouiller du regard le chemin montant entre les murettes de pierre où couraient des lézards. « Je ne la vois pas revenir, dit-elle, rentrant dans la maison. — Il n'est pas encore tard, grand-mère, » répondit une fillette, assise devant un métier à broder, près de la fenêtre. « Il n'est pas tard, mais elle sait bien que nous avons du travail et qu'il faudrait t'aider, et que mes pauvres yeux ne voient plus pour enfiler des aiguilles. Ah! si je ne t'avais pas pour me consoler, Eléonore !… »
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