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  • Auteurs: Jacques Lob
  • Auteurs: Jean-Pierre Ferrière
  • Auteurs: Jean Glachant

N° 2832 - Le vent de la plaine (Ginette Briant) - Cadavres en mitaines (Jean-Pierre Ferrière)

4,50 €
Encarts Lecture BS 2832 à détacher Extraits : Le vent de la plaine d'après le roman de Ginette Briant Que me dit-on Sandra ? interrogea le baron Ranyi en s'avançant vers le fauteuil où une jeune fille se tenait immobile. Vous êtes souffrante ? — Une affreuse migraine me serre les tempes. — J'espérais que vous dîneriez avec moi. Oubliez-vous que vous avez vingt ans aujourd'hui ? Je comptais vous souhaitez comme il convent un événement aussi heureux. — Heureux ? répéta la jeune fille. Est-ce vraiment heureux d'avoir vingt ans quand on est orpheline depuis plus d'un an ?… Cadavres en mitaines d'après le roman de Jean-Pierre Ferrière Petite boulotte aux cheveux de neige, Blanche, soixante-douze ans, exerçait une véritable domination sur sa soeur, domination dont la grande Berthe, timide et myope, ne songeait pas à se plaindre, rendant grâce à son aînée d'avoir de la volonté pour deux.  C'était Blanche qui choisissait leurs toilettes (rigoureusement identiques), leurs lectures et le lieu où les deux soeurs allaient passer leurs vacances. …

Blanche Épiphanie T1 (Jacques Lob, Georges Pichard)

8,95 €
Blanche Épiphanie, la petite porteuse de chèques Mais quelle est donc cette beauté frêle et émouvante, pauvrement vêtue, qui trottine d'un pas vif dans les beaux quartiers ? C'est Blanche Épiphanie, une enfant de 17 ans, orpheline de naissance, qui va livrer les chèques du banquier Adolphus pour un salaire de misère tout en essayant de protéger sa vertu…

N° 925 - Nuit de folie... (Jean Glachant)

2,92 €
Extrait : A six heure du soir, la rue de la Paix était emplie, comme de coutume, du fourmillement joyeux des ouvrières sortant des grandes maisons de couture. Il y en avait de toutes sortes, et un oeil avisé eût discerné en elles leurs attributions respectives : les plus jeunes, de douze à quinze ans, aux manières gamines et bruyantes, rentraient sans hâte à la maison paternelle ; c'étaient « les arpètes » dont le nez retroussé, les lèvres moqueuses, semblaient rire de tout… narguer la vie. Les autres, élancées, élégantes, aux visages savamment fardés, aux robes d'un chic simple mais étudié, étaient la réclame vivante de la maison, les poupées qui revêtent par jour mille robes différentes pour le seul bon plaisir du « client » : les mannequins. A leurs côtés, et comme des parentes pauvres, venait la cohue des ouvrières d'atelier dont la plupart, vêtues simplement, semblaient pressées de retrouver le home familial où les attendaient, impatiemment sans doute, le mari, les enfants… et peut-être aussi un amoureux ?…
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